Une Semaine Du Petit Elfe Ferme-L’oeil, Suivi de La Petite Fille aux Allumettes
Une Semaine Du Petit Elfe Ferme-L’oeil, Suivi de La Petite Fille aux Allumettes
Ref.: FA917

Deux Contes d’Hans Christian Andersen 

Bruno et Béatrice Belthoise 

Ref.: FA917

Label :  FREMEAUX & ASSOCIES

Total duration of the pack : 48 minutes

Nbre. CD : 1

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Presentation

Every evening, the Little Elf Closes the Eye appears to tell enchanting stories to children, dressed in a changing frock coat, wearing multicolored ribbons and a top hat. He visits young Hialmar to tell him seven enchanting stories, one for each day of the week. With his magic umbrella, he transforms his tales into living dreams. Adapted by Bruno and Béatrice Belthoise, with music by Florent Schmitt, this tale presents the seven stories of Ferme-l'OEil, each a fascinating dream or adventure.
Followed by La Petite Fille aux allumettes, a touching tale that touches on universal themes of poverty, hope and empathy, offering a valuable lesson in life. Andersen's delicate descriptions and poetic language captivate and move listeners, and awaken reflection. Tales for children, in French.
Claude COLOMBINI FRÉMEAUX



UNE SEMAINE DU PETIT ELFE FERME-L’OEIL • LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES.

ADAPTATION : BRUNO ET BÉATRICE BELTHOISE 
MISE EN MUSIQUE : FLORENT SCHMITT ET CLARA BELTHOISE JOSSE

À partir de 5/6 ans

Tracklist
  • Piste
    Title
    Main artist
    Autor
    Duration
    Registered in
  • 1
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Ferme-l’oeil apparaît 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:02:42
    2024
  • 2
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Lundi : Hialmar et son cahier d’écriture 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:02:46
    2024
  • 3
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Mardi : La cigogne voyageuse 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:00:00
    2024
  • 4
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Mercredi : Au bal des souris 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:08:08
    2024
  • 5
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Jeudi : À travers le tableau de Hialmar 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:06:00
    2024
  • 6
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Vendredi : En Chine ! 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:07:26
    2024
  • 7
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Samedi : La poupée Berthe se marie 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:06:55
    2024
  • 8
    Une semaine du petit elfe Ferme-l'œil - Dimanche : Un cheval magnifique 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:04:46
    2024
  • 9
    La Petite Fille aux allumettes - Il faisait froid 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:02:19
    2024
  • 10
    La Petite Fille aux allumettes - Réchauffer ses doigts 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:03:10
    2024
  • 11
    La Petite Fille aux allumettes - La troisième allumette 
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:02:34
    2024
  • 12
    La Petite Fille aux allumettes - Le jour de l’an se leva
    Bruno Belthoise, Béatrice Belthoise, João Costa Ferreira
    Hans Christian Andersen
    00:02:03
    2024
Booklet

UNE SEMAINE DU PETIT ELFE FERME-L’ŒIL, SUIVI DE LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES

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Hans Christian Andersen
et les contes pour enfants

 

Né à Odense (Danemark) le 2 avril 1805, Hans Christian Andersen (1805-1875) vit dans une famille pauvre. Son père, cordonnier, meurt lorsqu’il a onze ans. Il cessa d’aller à l’école et construisit lui-même un petit théâtre jouet, restant chez lui à fabriquer des vêtements pour ses marionnettes en lisant toutes les œuvres qu’il pouvait emprunter. Puis, il part seul à quatorze ans chercher fortune à Copenhague. Il est tenté par le chant, le théâtre puis la danse et commence à publier ses premiers textes, des récits fantastiques inspirés par ceux d’Hoffmann (1776-1822). Il commença alors à avoir quelque notoriété et fit son premier long voyage en Europe, écrivit des romans, des poèmes, des pièces de théâtre, des livres de voyage… Andersen fut un très grand voyageur et visita entre autres le Portugal, la Grèce, l’Allemagne ou l’Orient d’où il rapporta des nouvelles idées pour ses écrits, notamment pour ses contes dans lesquels il imagine des décors riches et variés.

Entre 1832 et 1842, il commence à publier ses premiers courts récits merveilleux, Contes pour enfants (1835), qu’il ne destine d’ailleurs pas uniquement à un public enfantin. Le succès immédiat l’encourage à poursuivre et à publier chaque année d’autres textes. Naissent ainsi 164 contes, imprégnés de romantisme et associant le merveilleux et l’ironie. Ils mettent en scène des rois et des reines réels ou légendaires, des animaux, des plantes, des créatures magiques et même des objets : Les Habits neufs de l’Empereur, La petite sirène, La reine des neiges, Le vilain petit canard, La petite fille aux allumettes sont parmi les plus célèbres.

Andersen aime écrire l’histoire d’une vie, que ce soit celle d’un être humain ou légendaire, d’un animal, d’un végétal ou bien encore d’un objet. Il donne vie, langage et sentiments humains aux objets et aux animaux, comme dans le genre traditionnel des fables. Cependant, l’auteur ne met pas en scène de mauvais personnages, il n’y a pas vraiment de “méchants”, il y a des bons et des moins bons. Cela vient peut-être du fait que chez Andersen il n’y a pas d’opposition bien/mal, alors que celle-ci est présente dans tous les contes de Charles Perrault et Grimm. Andersen ne cherche en aucun cas à être moralisateur, certes ses contes véhiculent un message, mais celui-ci est voilé. Les personnages d’Andersen tiennent du narrateur : ils suivent leur vocation propre. En effet, Andersen qui pensait devenir chanteur ou danseur et se produire sur une scène devant un public, était convaincu dès l’adolescence qu’il serait un jour célèbre. Malgré un certain nombre d’échecs, Hans Christian ne s’est jamais découragé, et sa persévérance, jointe à son talent, a donné l’œuvre que nous connaissons.

À travers ses contes, dans lesquels il arrive à exprimer admirablement les émotions les plus subtiles et les idées les plus fines, Hans Christian Andersen incarne le génie populaire nordique. Il reste aujourd’hui l’un des auteurs les plus lus du monde entier et continue à inspirer des écrivains, des metteurs en scène, des réalisateurs, des chorégraphes, des sculpteurs, des peintres et des musiciens comme pour les deux adaptations musicales que propose cet album : celle de Florent Schmitt (1912) et celle de Clara Josse Belthoise (2023).

  

Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil

Le petit elfe Ole Ferme-l’Œil est le marchand de sable danois qui, au pays d’Andersen, vient rendre visite aux enfants. S’ils ont été sages, il ouvre pour eux son parapluie magique, leur raconte des histoires et les emmène vivre toutes ces aventures au pays des rêves.

Pendant sept soirs de la semaine, Ole Ferme-l’Œil emmène Hialmar dans un monde où les objets s’animent, où l’on se promène dans les paysages des tableaux, où les animaux parlent, les souris font un bal, les objets prennent vie... Le petit elfe commence par remettre de l’ordre dans le travail de classe du jeune garçon mais les jours suivants, c’est dans des lieux étonnants qu’il emmène Hialmar : dans le terrier des souris à une drôle de fête d’anniversaire, dans un bateau où il rencontre une belle cigogne fatiguée, dans la chambre de la poupée Berthe qui se marie à chaque fois qu’elle a besoin d’habits neufs, dans le tableau de sa chambre pour admirer un paysage fascinant, en Chine pour admirer un magnifique feu d’artifice (chinois !), enfin dans un galop irrésistible sur un beau cheval aux yeux sombres pour vaincre ses appréhensions ...

Ce conte, présenté par Andersen comme parmi les plus «bariolés» qu’il ait écrit, est dominé par la fantaisie, la richesse des descriptions, des sensations. Andersen possède une capacité à créer et à imposer un univers merveilleux et onirique où la nature est personnifiée et magnifiée. Sa structure - un récit-cadre et sept histoires discontinues - permet à l’auteur d’aborder, dans un mélange de gravité et d’humour, les thèmes qui lui sont chers : le courage, le voyage, l’initiation, la nature, l’inconnu, la peur...

 

 La petite fille aux allumettes

Le 18 novembre 1845, Andersen, alors hôte du duc d’Augus­tenborg, reçoit la lettre de l’éditeur A.C. Flinch qui lui demande d’écrire un conte. Pour l’aider à choisir un thème, l’expéditeur lui envoie trois illustrations. Andersen opte pour une gravure représentant une petite fille tenant un paquet d’allumettes. Les allumettes soufrées furent inventées en 1830 et à cette époque la mendicité était interdite. Cette image lui rappelle l’existence misérable de sa grand-mère : enfant, elle mendiait et avait même dû passer toute une journée sans manger, cachée sous un pont. Publié pour la première fois dans la Calendrier populaire danois de 1846, La petite Filles aux allumettes est un conte poignant à la rigoureuse progression dramatique. Il oppose, par métaphores successives, ténèbres glaciales et chaleur lumineuse qui suscitent un monde immatériel. Et par l’anonymat de sa protagoniste, Andersen livre à la postérité un prototype universel d’enfant maltraité. Contrairement à Victor Hugo avec Cosette ou Charles Dickens avec Oliver Twist, Andersen n’attribue à la fillette ni nom ni prénom. Probablement volontaire, l’anonymat qui fond la protagoniste dans la foule d’une métropole permet au lecteur de s’approprier, non sans paradoxe, cette incarnation de l’enfant maltraité, qui acquiert ainsi une portée universelle.

Avec habileté, Andersen fonde son récit sur une répétition : un même geste (craquer une allumette) déclenche diverses visions qui s’enchaînent dans une progression dramatique. Tout d’abord en proie à des besoins élémentaires (s’abriter, se réchauffer, se nourrir), la fillette ressent ensuite l’envie de jouer, nécessaire à la construction psychologique d’un enfant, puis éprouve un désir on ne peut plus humain d’amour. Ces trois états successifs - physique, mental et affectif - dessinent un mouvement qui préfigure l’ascension finale. On connaît la fascination précoce d’Andersen pour le théâtre. À cet égard, le conte peut se lire comme une petite pièce dont les quatre actes respectent la «règle des trois unités».

 

 

Florent Schmitt (1870-1958)

Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil, op.58

ou Les songes de Hialmar

 

Florent Schmitt s’est inspiré du conte d’Andersen, Une semaine du petit elfe Ferme l’Œil, pour écrire en 1912 sa suite op.58 qui porte également comme sous-titre Les songes de Hialmar. Dans cette suite, le compositeur, lecteur ébloui et éblouissant du conteur danois, élabore sept mouvements correspondant aux sept soirs de la semaine qu’il a voulus d’ambiances et de couleurs très contrastées. La partition originale est pour piano à quatre mains, elle fut composée pour ses élèves et pour son fils Jean. Il écrivit la partie prima pour que les étudiants n’aient jamais besoin de déplacer leurs doigts de la position de départ mais cette contrainte n’a jamais limité sa créativité, au contraire ! Quant à la partie seconda, elle s’avère très riche sur le plan harmonique. L’ensemble des quatre mains, qui se complètent habilement, développe une musique extrêmement originale, nécessitant néanmoins un « savoir-faire » souvent très exigeant sur le plan technique. Cette suite op.58 s’avère être l’une des œuvres pour piano de Florent Schmitt les plus populaires. Elle est aussi l’une des œuvres de musique française les plus réussies dans le genre du piano à quatre mains. Le compositeur l’orchestra et, sous cette forme, après avoir été jouée au concert en 1923, Une semaine du Petit Elfe Ferme-l’Œil devint un Ballet créé le 5 février 1924 à l’Opéra-Comique. Dans cet album Frémeaux & associés, les deux pianistes interprètent la version originale pour à quatre mains de cette suite (1912) et improvisent également autour de motifs issus de la partition de Florent Schmitt. Le conte d’Andersen a été entièrement ré-écrit par Bruno et Béatrice Belthoise dans l’optique une correspondance intime entre texte et musique, afin que les mots, les évocations, les images interagissent avec les ponctuations musicales, créant un dialogue créatif au cours de la narration.

 

Béatrice Belthoise 

Reçue à 16 ans à l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théatre (autrefois Rue Blanche), Béatrice Belthoise fait à cette époque sa première télévision en direct avec Marie Dubois et Yves Renier. Elle entre alors au Conservatoire National Supérieur d’Art Dra­matique où elle côtoie Anny Duperrey, Marlene Jobert, Nicole Garcia, André Dussolier (qui sera son «fiancé» dans la série Les chemins de Pierre). Commence alors une intense car­rière : dramatiques, séries, théâtre classique et moderne, productions Au Théâtre ce soir. Elle joue notamment avec Pierre Dux, Michael Lonsdale, Micheline Dax, Jean Le Poulain, Michel Duchaussoy... Béatrice Belthoise participe à de nombreuses séries, pièces et lectures pour la radio, elle est aussi la voix de plusieurs comé­diennes américaines ainsi que de nombreux dessins animés. Elle crée les voix féminines des «Guignols de l’Info» sur Canal +, enregistre des cours de langue, des commentaires ainsi que des histoires pour enfants (Alors Raconte, Gallimard-Jeunesse...). Fille de la violoniste Yvonne Lephay-Belthoise, Béatrice Belthoise est naturellement intéressée par le travail sur l’articulation musique-narration. Avec son neveu Bruno Belthoise, elle se tourne à partir des années 1990 vers l’écriture pour le jeune public. Ils signent ensemble plusieurs textes ainsi que des albums édités par Frémeaux & Associés dans sa collection jeunesse : Le Carnaval des Animaux, Hänsel & Gretel, Jeux d’Enfants, Les Aventures de Poucette. Parallèlement à ce travail d’écriture, elle élabore la mise en scène de spectacles musicaux, comme «Mozart, de Vienne ?» pour l’ensemble Le Concert Impromptu ainsi que la version scénique des «Aventures de Pou­cette», créé à l’Auditorium du CRR de Cergy-Pontoise.

  

Clara Belthoise Josse 

Musicienne instrumentiste (violoncelle), Clara Belthoise Josse étudie notamment auprès d’Emmanuelle Bertrand et de Xavier Phillips. Elle obtient son « Bachelor of Art » à Haute École de Musique de Lausanne, puis étudie en Master Concert à la HEM de Genève. Elle inter­prète en soliste le Concerto pour violoncelle et orchestre d’Antonín Dvorˇák au Festival Musique en Ré 2017. Elle réalise également des concerts en formations de musique de chambre comme membre du nonette Les Voraces et du Duo Lakmé pour deux violoncelles. Comme narratrice, elle participe au spectacle Le Petit prince produit au CRR d’Aubervilliers. Restant très liée au monde de la musique et proche de son violoncelle qu’elle veut toujours créatif, Clara Belthoise Josse est aujourd’hui fabricante d’acces­soires pour le spectacle. Elle est habitée par l’envie d’explorer les matières tangibles et sonores en repoussant ses propres limites. Ayant mis de côté le devant de la scène, elle se consacre actuellement à développer de multiples spécialités manuelles la destinant à la magie de l’ombre. Tapissière, scénographe, factrice de masques en cuir, sculptrice, peintre et constructrice, sa curiosité insatiable l’a conduite à travailler pour le cinéma (Les femmes préfèrent en rire, Arthur & Diana) mais aussi au sein de grandes institutions telles que l’Opéra de Paris, l’Opéra d’Avignon et celui de Lyon où elle est également régisseuse de scène. Ce qu’elle préfère cependant, c’est créer en étroite collaborations avec les compagnies (La Nébuleuse, CCl’feu, La Sanguine, le CDDV...) pour soutenir de plus près ses choix artistiques et s’enrichir au contact d’un public de proximité.

  

Bruno Belthoise

Bruno Belthoise est un interprète atypique, toujours en recherche d’horizons créatifs et de nouvelles collaborations. Il aime particulièrement se confronter à des répertoires inattendus et voyager à la rencontre de nouveaux projets. Pianiste soliste, il obtient le Diplôme Supérieur d’Exécution à l’École Normale de Musique de Paris en 1989. Lauréat de la Fondation Laurent-Vibert, il reçoit le Prix de la Fondation de France en 1988 puis est « Révélation Classique » de l’ADAMI en 1997. Invité par des festivals en France et à l’étranger, Bruno Belthoise interprète un répertoire qui va de Bach aux compositeurs d’aujourd’hui. Membre du Trio Pangea, il est très impliqué dans la création contemporaine et dédicataire de nombreuses œuvres, restant aussi très engagé au service de la musique française (Debussy, Poulenc, Fauré, Schmitt, Saint-Saëns…) Sa discographie compte à ce jour plus de 30 CDs qui accompagnent son parcours d’interprète créatif. Passionné par l’art du conte associé à son piano, il réalise depuis trente ans  de nombreux concert narratifs pour le jeune public, assumant les deux rôles de musicien et conteur. Il enregistre quatre albums pour La Librairie Sonore jeunesse de Frémeaux & Associés et un livre-disque pour les Editions Chandeigne. Autre facette de son activité musicale : la culture portugaise qui est devenue comme une seconde nature pour Bruno Belthoise, impliqué dans la diffusion des compositeurs du Portugal et créant des passerelles avec la musique française. Découvreur de partitions, il interprète, enregistre, donne des récitals et conférences à travers le monde. En 2013, il crée une édition pédagogique Compositeurs portugais-Répertoire pour pianistes, collection de 12 volumes de partitions éditées chez AvA Musical Editions. Sa démarche absolument novatrice dans ce domaine est soutenue par plusieurs institutions liées à la culture portugaise : Fondation Gulbenkian, Institut Camões, Fondation GDA,  Arte Institute et RDP-Antena 2.

  

João Costa Ferreira 

Directeur de la Maison du Portugal de la Cité internationale universitaire de Paris, João Costa Ferreira est un pianiste et chercheur por­tu­gais titulaire du Diplôme supérieur d’exécution de l’École normale de musique de Paris et doc­teur en Musique et Musicologie de Sorbonne Université. Il commence l’étude du piano à onze ans au Conservatório de Artes do Orfeão de Leiria (Portugal) dans la classe de Luís Batalha. À l’âge de dix-neuf ans, il se rend à Paris où il travaille avec Marian Rybicki, Jean Martin et Guigla Katsarava. En tant que boursier de la Fun­dação para a Ciência e a Tecnologia du Minis­tério da Ciência, Tecnologia e Ensino Superior du Portugal, il obtient son doctorat sous la direction de la philosophe et musicologue Danielle Cohen-Levinas. Bien que son répertoire couvre l’en­semble des styles depuis le baroque, João Costa Ferreira se spécialise dans la musique du 19e et de la première moitié du 20e siècle. Dans ses projets en solo et en musique de chambre, il s’intéresse tout autant à l’interprétation du grand répertoire classique qu’à la découverte de compositeurs oubliés. João Costa Ferreira joue un rôle actif dans la réhabilitation et la valorisation du patrimoine musical portugais à travers la publication et l’enregistrement des œuvres de José Vianna da Motta. Depuis 2015, en collaboration avec l’éditeur AvA Musical Editions, il a publié plus de trente œuvres, dont la plupart étaient inédites. Depuis 2018, il a lancé plusieurs disques avec des premiers enregistrements mondiaux chez les labels Grand Piano Records, MPMP et Coriolan / Inventive Art Music. Plusieurs de ses concerts et travaux discographiques sont retransmis par RTP-Antena 2 (radio classique portugaise) mais aussi France Musique et diverses autres radios européennes.

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