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JACQUES BONNAFFE
Ref.: FA8038
Label : Frémeaux & Associés
Total duration of the pack : 2 hours 32 minutes
Nbre. CD : 3
- - RECOMMANDÉ PAR L’ENSEIGNANT
- - SÉLECTION LE MAGAZINE LITTERAIRE
A major philosopher of the 17th century, Rene Descarte is mostly famous for his Discours de la methode. This masterpiece is read in French by the celebrated French actor Jacques Bonaffe.
PASCAL
Lu par MICHEL PICCOLI
TEXTE INTEGRAL LU PAR DENIS PODALYDES
LU PAR DENIS PODALYDES
LU PAR MICHEL AUMONT
L’OEUVRE PHILOSOPHIQUE EXPLIQUÉE
-
PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
-
1INTRODUCTIONJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:01:292002
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2PREMIERE PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:032002
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3J AI ETE NOURI AUX LETTRES DES MON ENFANCEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:082002
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4J ESTIMAIS FORT L ELOQUENCEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:07:072002
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5DEUXIEME PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:06:572002
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6C EST POURQUOI JE NE SAURAIS AUCUNEMENT APPROUVERJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:04:522002
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7J AVAIS UN PEU ETUDIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:03:352002
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8CES LONGUES CHAINES DE RAISONJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:06:292002
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9TROISIEME PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:04:122002
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10MA SECONDE MAXIME ETAIT D ETRE LE PLUS FERMEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:07:352002
-
PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
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1APRES M ETRE AINSI ASSURE DE CES MAXIMESJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:522002
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2QUATRIEME PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:10:422002
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3JE VOULUS CHERCHER APRES CELA D AUTRES VERITESJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:10:162002
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4CINQUIEME PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:04:232002
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5AINSI PREMIEREMENT JE DECRIVIS CETTE MATIEREJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:04:452002
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6TOUTEFOIS JE NE VOULAIS PAS INFERERJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:322002
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7JE VOUDRAIS AUSSI QU ON LEUR MONTRATJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:222002
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PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
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1MAIS SI ON ME DEMANDE COMMENT LE SANGJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:09:002002
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2J AVAIS EXPLIQUE ASSEZ PARTICULIEREMENTJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:09:432002
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3SIXIEME PARTIEJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:07:322002
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4APRES CELA J AI EXAMINE QUELS ETAIENT LES PREMIERSJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:07:572002
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5ON PEUT DIRE QUE CES OPPOSITIONS SERAIENT UTILESJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:07:322002
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6IL EST VRAI QUE POUR CE QUI EST DES EXPERIENCESJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:05:042002
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7ET J AI PENSE QU IL M ETAIT AISE DE CHOISIRJACQUES BONNAFFERENE DESCARTES00:06:202002
DISCOURS DE LA MÉTHODE DESCARTES
DISCOURS DE LA MÉTHODE
DESCARTES
Lu par Jacques Bonnaffé
TEXTE INTÉGRAL
DISCOURS DE LA MÉTHODE - DESCARTES
CD1
01. Introduction 1’29
02. Première partie 5’03
03. “J’ai été nourri aux lettres dès mon enfance...” 5’08
04. “J’estimais fort l’éloquence...” 7’07
05. Deuxième partie 6’57
06. “C’est pourquoi je ne saurais aucunement approuver...” 4’52
07. “J’avais un peu étudié, ...” 3’35
08. “Ces longues chaînes de raison...” 6’29
09. Troisième partie 4’12
10. “Ma seconde maxime était d’être le plus ferme...” 7’35
11. “Après m’être ainsi assuré de ces maximes...” 5’52
CD2
01. Quatrième partie 10’42
02. “Je voulus chercher après cela d’autres vérités...” 10’16
03. Cinquième partie 4’23
04. “Ainsi premièrement je décrivis cette matière...” 4’45
05. “Toutefois, je ne voulais pas inférer...” 5’32
06. “Je voudrais aussi qu’on leur montrât...” 5’22
07. “Mais, si on me demande comment le sang...” 9’00
CD3
01. “J’avais expliqué assez particulièrement...” 9’43
02. Sixième partie 7’32
03. “Après cela, j’ai examiné quels étaient les premiers...” 7’57
04. “On peut dire que ces oppositions seraient utiles...” 7’32
05. “Il est vrai que, pour ce qui est des expériences...” 5’04
06. “Et j’ai pensé qu’il m’était aisé de choisir...” 6’20
Le plan du Discours de la méthode d’après Descartes
“Si ce discours semble trop long pour être lu en une fois, on pourra le distinguer en six parties. Et, en la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l’auteur a cherchée. En la 3, quelques-unes de celles de la morale qu’il a tirée de cette méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l’existence de Dieu et de l’âme humaine, qui sont les fondements de sa métaphysique. En la 5, l’ordre des questions de physique qu’il a cherchées, et particulièrement l’explication du mouvement du cœur et de quelques autres difficultés qui appartiennent à la médecine, puis aussi la différence qui est entre notre âme et celle des bêtes. Et en la dernière, quelles choses il croit être requises pour aller plus avant en la recherche de la nature qu’il n’a été, et quelles raisons l’ont fait écrire.”
Discours de la méthode pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences.
René Descartes, 1637
“Ce qui a fort plu… quand cette philosophie a commencé de paraître, c’est qu’on entendait ce que disait M. Descartes, au lieu que les autres philosophes nous donnaient des paroles qui ne faisaient rien comprendre comme ces qualités, formes substantielles, espèces intentionnelles, etc. Mais ce qui a surtout recommandé sa philosophie, c’est qu’il n’est pas demeuré à donner du dégoût pour l’ancienne, mais qu’il a osé substituer des causes qu’on peut comprendre de tout ce qu’il y a dans la nature.” Ainsi le grand savant Christaan Huygens (1629-1695) expliquait-il le prodigieux succès du Discours de la méthode.
Une philosophie pour l’âge de la science
Le terme de “philosophie”, au XVIIe siècle, englobe aussi la physique ou “philosophie naturelle”. Mais les physiciens du temps (comme encore les médecins, qui avaient osé surmonter l’interdit de la dissection) prenaient de plus en plus un chemin divergent de celui des philosophes et des théologiens, dont le langage, inspiré d’Aristote, leur paraissait abscons et inutile. En 1633, la condamnation par l’Église de Galilée – parce qu’il considérait la thèse de Copernic, selon laquelle la Terre tourne autour du Soleil, comme démontrée : théorie aujourd’hui universellement acceptée, mais qui paraissait alors contraire à l’enseignement de la Bible, et que les théologiens romains auraient voulu n’admettre au mieux qu’à titre d’hypothèse – marquait le divorce entre les sciences exactes, appuyées sur l’expérience, l’observation, la démonstration mathématique, la représentation géométrique, et la métaphysique enseignée dans les écoles. À cette date, René Descartes s’apprêtait à publier une ambitieuse synthèse de ses travaux scientifiques, qui appliquaient le principe mécaniste d’explication des phénomènes (c’est-à-dire par analogie avec le fonctionnement d’une machine) non seulement à la physique, l’astrophysique, l’astronomie, mais aussi aux sciences du vivant (“dualisme” de l’âme et du corps). Il décide alors de renoncer à cette publication (Le Monde ou Traité de la lumière, comme le Traité de l’homme qui en faisait partie, ne seront édités qu’après sa mort), mais pour livrer divers “essais”, comme autant de preuves, en différents domaines, de la fécondité et de l’importance de la “méthode” qu’il prendra soin d’exposer en introduction : un petit traité d’optique, dans lequel il énonce, le premier, la loi de la réfraction; un échantillon du Monde sur les “météores”; enfin ses principaux résultats dans le domaine des mathématiques.
L’ensemble paraît à Leyde (Pays-Bas), anonymement, en 1637 : Discours de la méthode pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences. Plus la Dioptrique, les Météores et la Géométrie qui sont des essais de cette méthode. Le Discours apparaît d’emblée comme le manifeste de la pensée moderne. Qui est René Descartes ? L’auteur en est facilement identifiable, qui décrit lui-même dans le premier des six chapitres (ou “parties”) du Discours sa formation intellectuelle. Né en 1596 en Touraine, à dix ans il est placé par son père, conseiller au Parlement de Bretagne, dans le collège jésuite de La Flèche (aujourd’hui dans la Sarthe), où il reçoit le meilleur de l’éducation du temps ; bon élève mais de santé fragile, il est souvent laissé libre de rester le matin dans sa chambre, où il prend tôt l’habitude de réfléchir à loisir. Reçu bachelier et licencié en droit à Poitiers (1616), il opte en 1618 pour le métier des armes. Enrôlé dans l’armée de Maurice de Nassau, il gagne les Pays-Bas où il rencontre le mathématicien Isaac Beeckman, à l’invitation duquel il rédige ses premiers écrits, dont un Traité de musique. Il s’engage l’année suivante dans les troupes de Maximilien de Bavière, et c’est en Allemagne, comme il le raconte au début du deuxième chapitre du Discours, que le 10 novembre 1619, “tout le jour enfermé seul dans un poêle” (une petite chambre), il a la révélation des “fondements d’une science admirable”. Il renonce dès lors à la carrière militaire pour s’appliquer à ses recherches, tout en continuant de voyager : Allemagne, Hollande, France (1622-1625), Italie, France à nouveau (1627-1628) où il se fait connaître des savants de son temps et fréquente un moment les salons de Paris; en 1629, il choisit de s’installer aux Pays-Bas, où il changera plusieurs fois de résidence (en 1635 lui naît une petite fille, Francine – dont la mort cinq ans plus tard lui laissera, nous dit son biographe Baillet, “le plus grand regret qu’il eût jamais senti de sa vie”); vers 1628, il avait rédigé pour lui-même, en latin, des Règles pour la direction de l’esprit. Disposant d’une fortune personnelle suffisante, il se consacre exclusivement à ses travaux scientifiques – connus par sa correspondance avec d’autres savants, comme le Père Mersenne (traducteur des Mécaniques de Galilée en 1634) – puis, après la publication du Discours, surtout à la philosophie et d’abord la métaphysique. Célèbre dans toute l’Europe, il est appelé à Stockholm par la reine Christine de Suède, pour y poursuivre des entretiens commencés par lettres, et qui portent principalement sur la morale (elle sut aussi le convaincre de rédiger pour elle un Projet d’Académie, et quelques vers de circonstance). C’est là qu’il meurt, le 11 février 1650, après avoir pris froid en se rendant au Palais.
Le Discours, œuvre charnière
Le Discours de la méthode est un texte composite, assez peu méthodique en vérité, qui touche à la morale, la logique, les sciences (voir page 4). La méthode proprement dite se résume en peu de règles : “ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle”; “diviser chacune des difficultés que j’examinerais”; “conduire par ordre mes pensées” et m’assurer, par des “dénombrements si entiers, et des revues si générales”, de n’avoir rien omis dans ces “chaînes de raisons”, sur le modèle des géomètres. Mais c’est cette économie même qui fait sa force : il faut commencer par mettre en doute tout ce que l’on croit connaître. Le Discours ne se donne donc pas comme un traité de la méthode, mais comme une simple invitation, qui engage le lecteur à l’“essayer” à son tour. Il suppose donc (et expose) des acquis scientifiques. Mais simultanément, il fait table rase de l’édifice du savoir ancien. Descartes sait qu’il lui faudra désormais reconstruire : la morale du Discours se donne comme “provisoire”, il y reviendra dans Les passions de l’âme (son dernier livre, 1649); rapidement esquissée, sa métaphysique appelle un développement, que seront les admirables Méditations métaphysiques (Mediationes de prima philosophia, le premier ouvrage publié sous son nom, en 1641). Le Discours esquisse ainsi le programme de la grande œuvre systématique à venir : les Principes de la philosophie (Principia philosophiae, 1644). Il marque le début du cartésianisme : point de référence obligé de tous les philosophes après lui, de la génération qui suit immédiatement Descartes (Spinoza, Leibniz, Malebranche, Locke) au criticisme de Kant et à la phénoménologie de Husserl (Méditations cartésiennes, 1929) – pour ne donner que quelques exemples.
Un succès d’écrivain
Il est remarquable que le Discours ait été publié en français : à sa date, la langue savante est le latin; Descartes fait donc le choix délibéré d’un public “éclairé”, voire mondain, par opposition au public “docte”; des savants (au sens moderne) par opposition aux théologiens; d’une forme discursive (il s’agit d’une sorte de récit, à la première personne) par opposition à la forme du manuel ou de la somme. Il n’est sans doute pas le premier (Pierre Charron l’avait précédé au début du siècle avec la Sagesse, et dans un genre plus familier, à la fin du siècle précédent, Montaigne; avant eux le réformé Calvin, pour la théologie), mais l’effet de rupture n’en est pas moins éclatant, et son talent d’écrivain manifeste. D’ailleurs n’a-t-il pas correspondu, au début des années 1630, avec le plus célèbre homme de lettres de son temps, Guez de Balzac? Sa langue est accessible – marque évidente de sa modernité, elle l’est demeurée jusqu’à nous –, efficace, à l’opposé de tout pédantisme. Elle ne dédaigne pas l’ironie, ainsi dans la fameuse phrase qui ouvre le Discours : “le bon sens est la chose du monde la mieux partagée”. Il se trouve que ce choix a précédé de peu la suprématie de la France en Europe (à partir du règne de Louis XIV et jusqu’au Premier Empire), qu’il annonce par conséquent l’hégémonie de la langue française, dans les cours européennes comme dans les milieux lettrés : langue des diplomates et des “Philosophes”. Rivarol, dans son discours De l’universalité de la langue française (réponse à la question mise au concours par l’Académie de Berlin, en 1784 : “Qu’est-ce qui a rendu la langue française universelle? Pourquoi mérite-t-elle cette prérogative? Est-il à présumer qu’elle la conserve?”), attribue au français les qualités d’ordre et de clarté : “ce qui n’est pas clair n’est pas français”. L’identification de Descartes à la “clarté française”, le qualificatif devenu si commun (et pas toujours laudatif) de “cartésien” pour désigner un supposé “esprit français”, ont fait du Discours de la méthode une œuvre à part dans la tradition scolaire et les débats idéologiques en France. Cette célébrité quelque peu encombrante ne doit pas dissuader le public contemporain de renouer directement avec l’un des textes fondateurs de l’histoire de la pensée – le ferait-il par la magie d’une voix.
François Trémolières
© FRÉMEAUX & ASSOCIÉS / GROUPE FRÉMEAUX COLOMBINI S.A. 2003.
Ecouter DISCOURS DE LA MÉTHODE DESCARTES Lu par JACQUES BONNAFFÉ (livre audio) © Frémeaux & Associés / Frémeaux & Associés est l'éditeur mondial de référence du patrimoine sonore musical, parlé, et biologique. Récompensés par plus de 800 distinctions dont le trés prestigieux Grand Prix in honorem de l'Académie Charles Cros, les catalogues de Frémeaux & Associés ont pour objet de conserver et de mettre à la disposition du public une base muséographique universelle des enregistrements provenant de l'histoire phonographique et radiophonique. Ce fonds qui se refuse à tout déréférencement constitue notre mémoire collective. Le texte lu, l'archive ou le document sonore radiophonique, le disque littéraire ou livre audio, l'histoire racontée, le discours de l'homme politique ou le cours du philosophe, la lecture d'un texte par un comédien (livres audio) sont des disques parlés appartenant au concept de la librairie sonore. (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, cours sur CD, entretiens à écouter, discours d'hommes politiques, livres audio, textes lus, disques parlés, théâtre sonore, création radiophonique, lectures historiques, audilivre, audiobook, audio book, livre parlant, livre-parlant, livre parlé, livre sonore, livre lu, livre-à-écouter, audio livre, audio-livre, lecture à voix haute, entretiens à haute voix, parole enregistrée, etc...). Les livres audio sont disponibles sous forme de CD chez les libraires et les disquaires, ainsi qu’en VPC. Enfin certains enregistrements de diction peuvent être écoutés par téléchargement auprès de sites de téléchargement légal.