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LU PAR PIERRE VANECK EN 1954
PIERRE VANECK
Ref.: FA8108
Label : FREMEAUX & ASSOCIES / INA
Total duration of the pack : 2 hours 43 minutes
Nbre. CD : 3
LU PAR PIERRE VANECK EN 1954
This 3 CD box set delivers the historical interpration of Joseph Conrad Typhon red by Pierre Vaneck in 1954. It was recorded for the National Broadcasting company, using the French translation by André Gide (under copyright from Gallimard). French audiobook.
Lu par JEAN TOPART
LU PAR JEAN NEGRONI
Lu par JACQUES GAMBLIN
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PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
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1L'Aspect du Capitaine Mac Whirr…Vaneck PierreConrad Joseph00:06:162008
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2Le Nan Shan venait du sud…Vaneck PierreConrad Joseph00:02:492008
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3Le matin suivant: Mac Whirr se tenait devant eux…Vaneck PierreConrad Joseph00:02:362008
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4Le vieux monsieur Sigg aimait les hommes…Vaneck PierreConrad Joseph00:05:112008
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5A ce moment le Capitaine Mac Whirr…Vaneck PierreConrad Joseph00:03:152008
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6Le Capitaine Mac Whirr cependant…Vaneck PierreConrad Joseph00:05:092008
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7Monsieur Jukes lui célibataire et incapable de généralisation…Vaneck PierreConrad Joseph00:05:042008
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8En observant la baisse persistante du baromètre…Vaneck PierreConrad Joseph00:04:332008
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9Dans la chambre des machines la température s'était…Vaneck PierreConrad Joseph00:05:542008
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10En se couchant, le soleil au diamètre rétréci…Vaneck PierreConrad Joseph00:09:092008
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11Jukes fit un plongeon comme un homme acculé…Vaneck PierreConrad Joseph00:11:162008
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PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
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1Jukes était résolu comme n'importe quel autre…Vaneck PierreConrad Joseph00:06:162008
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2Les extravagantes ambardées du Nan Shan…Vaneck PierreConrad Joseph00:04:382008
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3Fichu se répétait-il et ses Pensées s'agitèrent…Vaneck PierreConrad Joseph00:07:172008
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4Parmi les vociférations du maître d'équipage…Vaneck PierreConrad Joseph00:05:102008
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5La pleine force de l'ouragan…Vaneck PierreConrad Joseph00:09:032008
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6La Capitaine Mac Whirr avait fait comprendre…Vaneck PierreConrad Joseph00:11:552008
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7Mr Rout était revenu au porte-voix…Vaneck PierreConrad Joseph00:10:332008
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PisteTitleMain artistAutorDurationRegistered in
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1Il patienta devant ses yeux les machines tournaient…Vaneck PierreConrad Joseph00:14:412008
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2A travers une échancrure…Vaneck PierreConrad Joseph00:03:552008
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3Il n'avait de sa vie vu le Baromètre aussi bas…Vaneck PierreConrad Joseph00:06:432008
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4Comme un cri roulant à travers les échos…Vaneck PierreConrad Joseph00:03:352008
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5Par un brillant jour ensoleillé le Nan Shan...Vaneck PierreConrad Joseph00:03:312008
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6Mais cette même lettre quand elle parvint à Madame…Vaneck PierreConrad Joseph00:06:282008
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7Le compte rendu de Monsieur Dukes…Vaneck PierreConrad Joseph00:08:332008
Typhon Joseph Conrad
Typhon - Joseph Conrad
Traduction d’André Gide
© Éditions Gallimard
Lu par Pierre Vaneck
Enregistrement historique de 1954
Texte intégral
CD1
1. Chapitre 1 : L’aspect du capitaine Mac Whirr, pour autant qu’on en pouvait juger… 6’16
2. Chapitre 1 : Le Nan Shan venait du sud, faisait route vers le port de commerce… 2’49
3. Chapitre 1 : Le matin suivant, Mac Whirr se tenait devant eux, imperturbable… 2’36
4. Chapitre 1 : Le vieux Monsieur Sigg aimait les hommes de peu de mots… 5’11
5. Chapitre 1 : A ce moment, le capitaine Mac Whirr revenant de terre… 3’15
6. Chapitre 1 : Le capitaine Mac Whirr cependant s’était rendu sur la passerelle… 5’09
7. Chapitre 1 : Monsieur Jukes, lui, célibataire et incapable de généralisations… 5’04
8. Chapitre 2 : En observant la baisse persistante du baromètre… 4’33
9. Chapitre 2 : Dans la chambre des machines, la température s’était élevée… 5’54
10. Chapitre 2 : En se couchant, le soleil au diamètre rétréci… 9’09
11. Chapitre 2 : Jukes fit un plongeon comme un homme acculé… 11’16
CD2
1. Chapitre 3 : Jukes était résolu comme n’importe quel autre de ses jeunes seconds… 6’16
2. Chapitre 3 : Les extravagantes ambardées du Nan Shan … 4’38
3. Chapitre 3 : “Fichu”, se répétait-il ; et ses pensées s’agitèrent comme s’il découvrait… 7’17
4. Chapitre 4 : Parmi les vociférations du maître d’équipage… 5’10
5. Chapitre 4 : La pleine force de l’ouragan n’avait pas plutôt assailli le Nan Shan… 9’03
6. Chapitre 4 : Le capitaine Mac Whirr avait fait comprendre à Jukes… 11’55
7. Chapitre 4 : Mr Rout était revenu au porte-voix… 10’33
CD3
1. Chapitre 5 : Il patienta. Devant ses yeux les machines tournaient… 14’41
2. Chapitre 5 : A travers une échancrure, au haut du dôme de nuages lacérés… 3’55
3. Chapitre 5 : Il n’avait de sa vie vu le baromètre aussi bas… 6’43
4. Chapitre 5 : Comme un cri roulant à travers les échos d’une gorge rocheuse… 3’35
5. Chapitre 6 : Par un brillant jour ensoleillé, le Nan Shan fit son entrée… 3’31
6. Chapitre 6 : Mais cette même lettre, quand elle parvint à Madame Mac Whirr… 6’28
7. Chapitre 6 : Le compte rendu de Monsieur Jukes était par contre fort animé… 8’33
Né le 7 décembre 1857 dans le sud de la Pologne, Joseph Conrad vécu deux vies : une sur les mers, de son embarcation comme mousse à Marseille à l’âge de 16 ans jusqu’à son adoption par la marine marchande britannique ; puis, faute d’embauche, connaissant des crises répétées de dysenterie, une autre sur terre, toute consacrée à l’écriture, jusqu’à sa mort en 1924.
Tempête dans l’encrier
“Rien d’étonnant, donc, si, dans mes deux livres exclusivement consacrés à la mer : Le Nègre du “Narcisse” et Le Miroir de la mer – et dans quelques nouvelles comme “Jeunesse” et “Typhon” – j’ai tenté avec un respect presque filial de rendre la vibration vitale du vaste monde des eaux, du cœur des hommes simples qui, depuis des siècles, traversent ses solitudes (Préface familière aux Souvenirs personnels)”. Typhon n’est pas une “marine”, simple traduction littéraire des souvenirs du marin Conrad. L’aventure y est imaginaire, d’une autre solitude : “on ne peut condamner un artiste qui poursuit… un but créateur. Dans ce monde intérieur où sa pensée et ses émotions vont cherchant l’expérience d’aventures imaginaires, il n’est ni gendarme, ni loi, ni pression des circonstances, ni crainte de l’opinion pour le retenir. Qui donc dira : “Non !” à ses tentations, sinon sa conscience ? (ibid.)”. Seul maître sur son navire intérieur, il n’y a que lui pour affronter les tempêtes de ses émotions. Tout l’art de l’écrivain consistera à en maîtriser les effets : “Peut-être ma formation de marin a-t-elle agi sur une disposition naturelle à ne pas lâcher la seule chose qui soit vraiment à moi, mais le fait est que j’ai positivement horreur de perdre ne fût-ce que pendant un instant d’émotion, cette pleine possession de moi-même, qui est la première condition pour bien servir (ibid.)”. L’apprentissage de la maîtrise de soi sur les bateaux de la marine marchande, cette circonscription rigoureuse des passions, définit un caractère, style vertueux d’écriture sans épanchements gratuits. L’émotion littéraire naît de sa contention ; Conrad s’en tient à la seule chose qui soit vraiment à lui : à sa ténacité face à ce qui le mettrait hors de lui – “Du rire et des pleurs, il est facile de tomber aux pleurnicheries et aux gloussements (ibid.)”. La composition de Typhon, qui a pu paraître à certains bancale, est un exemple d’économie des effets littéraires : le récit s’interrompt au moment où le vapeur va sortir de l’œil du cyclone et le subir une deuxième fois. Conrad ne répète pas sa description de la tempête, préfère comme le remarque Gide, son traducteur et ami “laisser à l’imagination du lecteur libre jeu… c’est une commune erreur, de croire que la sublimité de la peinture tient à l’énormité du sujet (Voyage au Congo)”.
Après Marc Aurèle, à qui il emprunte l’avertissement solennel “Que toutes tes paroles aient l’accent de la vérité héroïque”, il s’évertue à “ bien servir ”, autrement dit à être à sa place, à son poste sur un navire, vrai dans son écriture (sans en faire trop ni trop peu), en accord avec l’ordre du monde : “je crois que la véritable sagesse est de vouloir ce que veulent les dieux, sans savoir peut-être avec certitude, quelle est leur volonté – ou même s’ils ont une volonté propre (ibid.)”. Son exigence toute stoïcienne de service – soumission volontaire au destin –, explique la dureté avec laquelle il juge son œuvre, jamais à la hauteur, plus énervée que contrôlée : “Non seulement mes gribouillages sont épouvantablement en retard mais il n’y a plus en moi de “ressort” pour m’y attaquer efficacement. Jadis, dans ma vie en mer, une difficulté me stimulait à l’effort (A Wells, 30 novembre 1903)”. Une même énergie est invoquée pour naviguer comme pour écrire ; cette énergie, Conrad écrivain se désole de ne plus la maîtriser comme avant. Il a perdu la possession de lui-même : “Pour moi, l’écriture – la seule écriture possible – est tout simplement la conversion d’énergie nerveuse en phrases. Pour vous aussi, j’en suis sûr, encore que dans votre cas le signal ou l’élan soit donné par l’intelligence disciplinée. Pour moi c’est une question de chance, de hasard stupide. Mais le fait demeure : quand l’énergie nerveuse est épuisée, les phrases ne viennent pas – et bander ma volonté ne m’est d’aucun secours (ibid.)”. Au gré du vent, son écriture dépend des caprices du corps plus que des commandements de l’esprit. Typhon est l’image de l’art héroïque de l’écrivain : un capitaine sans grande imagination, Mac Whirr, dirige son vapeur, le Nan-Shan, dans l’œil d’un typhon, sans chercher à l’éviter. Stoïcien malgré lui, il ne se soucie pas de ce qui va arriver, ne vit que le moment présent : il ne dépend pas de lui de voir avant la providence. D’où un mépris pour les stratégies livresques qui expliquent comment contourner les tempêtes qu’il partage avec Iago : “c’est un grand calculateur, un Michel Cassio… qui ne connaît pas mieux la manœuvre qu’une donzelle ! Ne possédant que la théorie des bouquins (Shakespeare, Othello, acte I scène1). Opposition néanmoins entre ces deux personnages de terrain : Mac Whirr est ce qu’il est, Iago ce qu’il n’est pas – “Je ne suis pas ce que je suis (ibid.)”. Avant comme pendant la tourmente, le capitaine reste fidèle à lui-même, à son poste, vrai, ne cherchant pas à tromper son monde sur sa valeur.
Point de repère pour le reste de l’équipage, il maintient, par sa seule présence, un ordre sur le bateau. Là où il doit être, l’événement extérieur, bien qu’effroyable, ne le fait pas sortir de ses gonds – il se possède. À la fin du récit, la redistribution équitable de l’argent des travailleurs chinois que le tumulte avait dispersé dans l’entre pont du vapeur est une autre expression de la vertu stoïcienne de Mac Whirr : chaque chose à sa place, justement, quoi qu’il arrive. Conrad, paradoxalement, défend un art littéraire sans imagination, aussi “court”, littéral que le héros de Typhon : contre l’idée qu’on s’en fait généralement, il raconte moins des aventures qu’il ne tente de trouver sa place dans une vie qu’il est obligé d’imaginer maintenant qu’il ne peut plus naviguer. L’écriture est un constat d’impuissance.
La traduction de Gide
À rebours, Gide, dans la traduction qu’il donne de Typhon (publié en 1902 chez Heinemann) dans la Revue de Paris (1er au 15 mars 1918), fuit le littéral, cherche à s’identifier à l’auteur : “ce n’est pas seulement le sens qu’il s’agit de rendre ; il importe de ne pas traduire des mots, mais des phrases, et d’exprimer, sans rien en perdre, pensée et émotion… ce qui ne se peut que par une tricherie perpétuelle (Lettre sur la traduction)”. Son intrusion dans la solitude de l’écrivain, sa façon de faire sortir l’émotion rentrée de Conrad, dérange la vérité de l’écriture. Fier, reconnaissant de l’intérêt fraternel que Gide porte à son œuvre, Conrad ne peut s’empêcher d’être critique à son égard : “C’est merveilleusement réussi – par endroits. Par ailleurs, c’est totalement faux. Et ce qui me désole, c’est de constater que tout en connaissant les deux langues, je ne puisse suggérer rien d’autre. Je ne me rendais pas compte à quel point le Typhon est profondément anglais (A J. B. Pinker)”. Gide, qui a appris l’anglais sur le tard vers quarante ans, comme le remarque le traducteur André Ruyter à qui il dédie sa traduction, n’a pas su rendre le langage argotique et technique des marins. L’écriture de Conrad n’aime pas être dérangée, se veut anglaise, indéracinable, à sa place : “la faculté d’écrire en anglais m’est aussi naturelle que toute autre aptitude que j’eusse pu posséder de naissance… ses idiotismes mêmes, le je crois sincèrement, agirent directement sur mon caractère (Souvenirs personnels, note de l’auteur)”.
Alexandre Wong
© 2009 Frémeaux & Associés / Groupe Frémeaux Colombini SAS
Pierre Vaneck
Fils d’un officier belge, Pierre Vaneck passe sa jeunesse à Anvers avant de poursuivre des études de médecine à Paris. Après quelques temps, il change de cap et décide de s’inscrire aux cours d’art dramatique de René Simon, puis à ceux du Conservatoire. Ses premiers pas sur les planches s’effectuent au Théâtre Saint-Martin en 1952, pour le rôle de Louis XIII, dans une adaptation du livre Les Trois mousquetaires. Deux ans après, il joue pour la première fois au cinéma dans Marianne de ma jeunesse de Julien Duvivier, qui sera un énorme succès. Il enchaîne ensuite les rôles pour le réalisateur Pierre Kast (La Morte Saison des amours, 1961), qu’il retrouvera également pour Vacances portugaises (1963), et pour Le Soleil en face (1980). Le comédien, qui veut diversifier son jeu, accepte ensuite des rôles plus impétueux, comme dans Pardonnez nos offenses de Robert Hossein, Celui qui doit mourir de Jules Dassin (1956), ou encore Une balle dans le canon, sorti en 1958. Enchaînant les tournages prestigieux, on le voit également dans des œuvres connues et reconnues : Les Amours célèbres de Michel Boisrond et Un nommé La Rocca de Jean Becker, en 1961, puis en 1966 Paris brûle-t-il ? de René Clément. Ne cessant jamais de jouer, alternant théâtre, télévision et cinéma on notera ensuite la présence de l’acteur à l’affiche des films Vent d’est de Robert Enrico (1993), Furia d’Alexandre Aja (2000), Là-bas... mon pays d’Alexandre Arcady (2000) et La Science des Rêves de Michel Gondry (2006), entre autres. Pierre Vaneck qui s’illustre également au théâtre joue depuis 1953, aussi bien Wilde, Sagan, Shakespeare que Yasmina Reza. Il reçoit un Molière en 1988 (meilleur comédien dans un second rôle) pour Le Secret. Il est par ailleurs nommé par le Syndicat de la critique meilleur comédien pour sa prestation dans Déjeuner chez Wittgenstein. Il a également été nominé deux fois au Molière en 1995 pour Arts et en 2005 pour Déjeuner chez Wittgenstein.
Ecouter Typhon Joseph conrad (livre audio) © Frémeaux & Associés / Frémeaux & Associés est l'éditeur mondial de référence du patrimoine sonore musical, parlé, et biologique. Récompensés par plus de 800 distinctions dont le trés prestigieux "Grand Prix in honorem de l'Académie Charles Cros", les catalogues de Frémeaux & Associés ont pour objet de conserver et de mettre à la disposition du public une base muséographique universelle des enregistrements provenant de l'histoire phonographique et radiophonique. Ce fonds qui se refuse à tout déréférencement constitue notre mémoire collective. Le texte lu, l'archive ou le document sonore radiophonique, le disque littéraire ou livre audio, l'histoire racontée, le discours de l'homme politique ou le cours du philosophe, la lecture d'un texte par un comédien (livres audio) sont des disques parlés appartenant au concept de la librairie sonore. (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, cours sur CD, entretiens à écouter, discours d'hommes politiques, livres audio, textes lus, disques parlés, théâtre sonore, création radiophonique, lectures historiques, audilivre, audiobook, audio book, livre parlant, livre-parlant, livre parlé, livre sonore, livre lu, livre-à-écouter, audio livre, audio-livre, lecture à voix haute, entretiens à haute voix, parole enregistrée, etc...). Les livres audio sont disponibles sous forme de CD chez les libraires et les disquaires, ainsi qu’en VPC. Enfin certains enregistrements de diction peuvent être écoutés par téléchargement auprès de sites de téléchargement légal.