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LU PAR SAPHO
SAPHO
Ref.: FA8028
Artistic Direction : CLAUDE COLOMBINI
Label : Frémeaux & Associés
Total duration of the pack : 3 hours 6 minutes
Nbre. CD : 3
- - RECOMMANDÉ PAR L’ENSEIGNANT
- - RECOMMANDÉ PAR LE MAGAZINE LITTERAIRE
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- - RECOMMANDÉ PAR LE FIGARO
LU PAR SAPHO
(3-CD set) Artist Sapho, born in Morocco, a celebrated singer in France, reads – in French– “Les Milles et une nuits” (1001 Nights). Her voice and character slip into Sheherazade and incarnates the distant East, including the Mediterranean, Persia and India, being a little pagan, Christian, Jewish and Muslim. Her narration is above all a fight against the fatal death sentence for each of Shariar’s wives ever since he had been ridiculed by a voluptuous sultana. Frémeaux & Associés recently released another 3-CD set with Sapho reading the follow-up, under the ref. FMX 8029.
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1SHEHERAZADE 1SAPHOTRADITIONNEL00:04:362001
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2SHEHERAZADE 2SAPHOTRADITIONNEL00:05:492001
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3SHEHERAZADE 3SAPHOTRADITIONNEL00:04:582001
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4SHEHERAZADE 4SAPHOTRADITIONNEL00:05:182001
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5SHEHERAZADE 5SAPHOTRADITIONNEL00:04:482001
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6SHEHERAZADE 6SAPHOTRADITIONNEL00:06:142001
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7SHEHERAZADE 7SAPHOTRADITIONNEL00:02:052001
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8NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 1SAPHOTRADITIONNEL00:05:482001
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9NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 2SAPHOTRADITIONNEL00:06:052001
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10NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 3SAPHOTRADITIONNEL00:06:072001
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11NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 4SAPHOTRADITIONNEL00:06:362001
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12NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 5SAPHOTRADITIONNEL00:05:222001
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13NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 6SAPHOTRADITIONNEL00:06:052001
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1NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 7SAPHOTRADITIONNEL00:06:192001
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3NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 9SAPHOTRADITIONNEL00:06:202001
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5NOURREDIN ALI ET BEDDREDIN HASSAN 11SAPHOTRADITIONNEL00:07:232001
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1HISTOIRE DU PECHEUR 1SAPHOTRADITIONNEL00:05:312001
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2HISTOIRE DU PECHEUR 2SAPHOTRADITIONNEL00:04:212001
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6HISTOIRE DU PECHEUR 6SAPHOTRADITIONNEL00:05:032001
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7HISTOIRE DU JEUNE ROI DES ILES 1SAPHOTRADITIONNEL00:04:432001
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8HISTOIRE DU JEUNE ROI DES ILES 2SAPHOTRADITIONNEL00:05:412001
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11HISTOIRE DU JEUNE ROI DES ILES 5SAPHOTRADITIONNEL00:02:572001
LES MILLE ET UNE NUITS
LES MILLE ET UNE NUITS
LU PAR SAPHO
Les Mille et une Nuits de tous les Orients…
L’origine de cet ensemble de contes, réunis dans le vaste récit des Mille et une Nuits, est fort ancienne et pose au moins mille et une questions ! D’après les anciens savants arabes, l’origine des contes est persane et s’appuie sur les coutumes des califes Abbassides. Aujourd’hui encore, l’apport de cette tradition est la plus forte et d’emblée la plus perceptible dans la structure des récits. Ainsi, on ne saurait s’étonner de rencontrer maintes fois ça-et-là une philosophie toute inspirée de la culture musulmane et du Coran, dès lors que l’on se rappelle que les Abbassides eux-mêmes sont issus d’une dynastie dont la lignée remonte à Abbas, Oncle du Prophète Mahomet. Mais se souvenir de cette seule influence, c’est tronquer l’histoire de l’ensemble qui, à lui seul, est une épopée de plusieurs civilisations. En effet, l’enveloppe actuelle des contes recouvre d’autres sources plus anciennes. Ainsi la construction des récits, imbriqués les uns dans les autres et paraissant infinis et toujours renouvelés cependant, laisse transparaître une tradition des conteurs de l’Inde, par ailleurs sensibles aux génies et aux êtres surnaturels… Mais ils sont aussi faits de maints emprunts aux contes d’Iraq, que les caravanes de marchands ont pu véhiculer lentement, ou d’Egypte, du Caire même, où se mêlent de surcroît des influences juives et des récits inspirés des premiers écrits apocryphes chrétiens, que l’emploi de talismans propres aux croyances populaires révèle. Il apparaît donc que l’ensemble de ces contes ne peut être attribué à un seul auteur, mais à une longue lignée de conteurs qui se sont tous servis d’une forme de récit, dont les actes se déroulent la nuit. Cette structure permettait non seulement de mémoriser le déroulement des faits, mais encore d’enrichir de nombreux passages. Quoiqu’il en soit, la forme définitive des diverses histoires semble se fixer vers le commencement du XIIe s., dès lors que l’on considère que le dernier souverain arabe historique cité est Hakim bi-Amr’Illah (985 – 1021), mais plus certainement encore à la fin du XIIIe s. ou au début du XIVe s.
De l’aimable Turquerie de Salon, aux prémices d’une rencontre avec l’Orient islamique.
“Très peu de littérateurs parmi nous connaissent le Coran. Nous nous en faisons presque toujours une idée ridicule, malgré les recherches de nos véritables savants ” (Voltaire, Dictionnaire philosophique) C’est dans cette ambiance, composée à la fois de méfiance ancestrale face à une religion inconnue, trop souvent réputée ennemie, et dans un contexte plus léger et mondain de fêtes éprises d’un exotisme remis sans cesse au goût du jour par les facéties des Turqueries, que les Contes des Mille et une Nuits arrivent à Paris en 1704. Pour la première fois l’Occident découvre de véritables contes orientaux et remet en cause sa vision lointaine et imaginaire d’un monde qui, avec surprise, on le discerne bien, se révèle largement méconnu. Tout le mérite de cette découverte revient à Antoine Galland (1646-1715), qui fils de “petites gens” de Picardie, est devenu par sa seule valeur l’une des figures les plus importantes de la découverte de l’Orient. Secrétaire du Marquis de Nointel, ambassadeur de Louis XIV, il découvre dès 1670 Constantinople [Istanbul], Les Iles grecques et la Grèce, la Syrie et la Palestine. Pétrit de culture classique, Galland se laisse vite imprégner de ces cultures et se perfectionne dans la connaissance des langues arabe, turque et persane. Après ces premiers voyages avec le marquis de Nointel, il est chargé par le roi de missions. Il part pour Smyrne, puis, pour Colbert, s’occupe des intérêts de la Compagnie d’Orient. De retour en France (1688), il est chargé par Thévenot, à la Bibliothèque du Roi, de travaux d’érudition consacrés aux cultures et religions orientales. C’est sans doute de son second voyage (1677-1688) qu’Antoine Galland rapporte les manuscrits des contes (aujourd’hui conservés à la Bibliothèque Nationale de France). La chance veut aussi que ces écrits, du XVe s., achetés auprès de marchands d’Alep, soient parmi les plus belles versions de ces récits. Sans relâche Galland travaille à leur traduction, et jusque 1713, peaufine les versions des histoires. Toutefois, il ne convient pas de voir dans ces publications destinées à un public occidental de fidèles versions. Galland livre plutôt une adaptation qui convient à la fois à langue et à l’esprit français. Le succès est immédiat. Lamarre, auteur d’une Histoire des Conquêtes d’Espagne souligne dès 1708 que l’ouvrage de Galland permet de voir “qu’il y a de la valeur et de la politesse partout”…
Les nuits des Mille et une Nuits…
Comme les peuples de l’Antiquité, les anciens Arabes faisaient la division du temps non en jours mais en nuits. Elles seules permettaient de compter le passage des quantièmes, évaluer les durées... connaître le temps qui reste à vivre aux condamnés et particulièrement, dans la fable des Mille et une Nuits, aux condamnées. Car telle est, au commencement de ce récit, la destinée de chaque femme du roi Schahriar qui avait connu le malheur d’être bafoué par son épouse, belle sultane des Indes trop ardente : mourir après une seule nuit avec le royal époux. “Persuadé qu’il n’y avait pas de femme sage, pour prévenir les infidélités de celles qu’il prendrait à l’avenir, il résolut d’en épouser une chaque nuit, et de la faire étrangler le lendemain.” Dès lors ce plan macabre, dicté par une jalousie piquée au vif, fut mis à exécution “ et enfin chaque jour, c’était une fille mariée et une femme morte. ” Bientôt des rumeurs de mécontentement montent de partout. Mais rien ne peut infléchir la royale résolution. Chaque annonce de mariage est perçue comme une infamie de plus en plus cruelle, les peuples gémissent et grondent… en vain. Mais un jour, Schéhérazade, belle et fort distinguée fille du Grand-vizir, et “qui avait un courage au dessus de son sexe” dit : “ – Mon père, j’ai une grâce à vous demander ; je vous supplie très humblement de me l’accorder. Je ne vous la refuserai pas, répondit-il, pourvu qu’elle soit juste et raisonnable. Pour juste, répliqua Shéhérazade, elle ne peut l’être davantage. Et vous pouvez en juger par le motif qui m’oblige à vous la demander. J’ai le dessein d’arrêter le cours de cette barbarie que le sultan exerce sur les familles de cette ville. Je veux dissiper la crainte que tant de mères ont de perdre leur fille de manière si funeste. Votre intention est fort louable, ma fille, dit le vizir ; mais le mal auquel vous voulez remédier me paraît sans remède. Comment prétendez-vous en venir à bout ? Mon père, repartit Shéhérazade, puisque par votre entremise chaque jour le sultan célèbre chaque jour un nouveau mariage, je vous conjure par la tendre affection que vous avez pour moi de me procurer l’honneur de sa couche. Le vizir ne put entendre ce discours sans horreur… ”
Mille et une Nuits pour un rêve
Temps de toutes les incertitudes, les nuits sont aussi faites de silences. Shéhérazade qui “avait de l’esprit infiniment, avec une pénétration admirable” et de plus était savante dans les choses de la philosophie, de la médecine, de l’histoire et des beaux-arts et encore “qui faisait des vers mieux que les poètes les plus célèbres de son temps” le savait bien. C’est justement cette magnifique perspective qui va tant séduire le public occidental. Dans notre tradition la nuit était inquiétante et profonde. Vaste comme une forêt inconnue, sombre comme un antre et peuplée de monstres et de noirs fantasmes. La nuit est le rendez-vous de toutes les peurs et des angoisses, de la mort même. Mais lors des premières publications de ce vaste ensemble de contes, en 1704, la nuit perd un peu de la puissance de son règne d’inquiétude. Car elle devient un lieu où la puissance évocatrice du rêve, la parole merveilleuse retrouve toute sa force. Certes l’opinion avait été, depuis plus d’un siècle, préparée à recevoir cet Orient doux et séduisant. On ne compte plus les turqueries, les entrées perses ou indiennes des fêtes, des ballets et des opéras même. Mais en réalité on ne sait que peu de choses. Certes aussi dans le milieu des Ambassadeurs du Roi on essaie de nouer des liens avec la Sublime Porte (Turquie), mais la réalité de l’Orient demeure pour l’immense majorité des occidentaux plus que floue. Pourtant un véritable engouement pour ces Contes des Mille et une Nuits précipite les choses. Par delà les récit mêmes, c’est pour la première fois un vaste mouvement d’opinion tourné vers l’Orient qui suscite un intérêt dépassant bien vite les effets de salons de quelques “mamamouchis” à la Molière !.. En 1710, une traduction du Coran est même offerte à un public soucieux d’approfondir ses connaissances. C’est de nouveau Antoine Galland qui en est l’auteur, mais cette fois l’auteur est plus fidèle au texte original. Avec stupeur les Parisiens découvrent aussi tout le pouvoir évocateur des nuits. Comment en une nuit, le Prophète fut transporté à la Mecque [Sourate 17, verset 1] ou, comme on assure aussi, Il put voyager de planètes en planètes… Que la nuit orientale paraît douce propice à toutes les évasions !.. et la toute fin salvatrice, puisque au bout de Mille et une Nuits, c’est à dire toujours, la belle Shéhérazade est rendue libre, aimée et a, dans le même moment, délivré toutes les filles de son peuple de la fureur jalouse du roi Schahriar.
Mille et une Nuits pour toutes les voluptés…
Quel bonheur que ces nuits infinies ! Elles sont douces et voluptueuses autant que le sont les promesses de Paradis. Quelle découverte aussi que cet amour qui bouleversera tous les lecteurs du XVIIIe s. et étonne encore aujourd’hui ! L’amour dans les Mille et une Nuits n’est plus une vertu héroïque revenue d’une Antiquité rêvée et sans doute trop interprétée par tous les auteurs classiques. Ce n’est pas non plus un vague dérèglement des mœurs, un vice que combattent à la fois les vieilles barbes de la cour de Louis XIV et que stigmatisent les moralistes. Ce n’est pas non plus une douceur honteuse, un plaisir efféminé… Non c’est une sorte de révélation, une révélation d’une nature semblable à celle qu’attendaient les libertins, une révélation qui fera long feu : le charme et ses pouvoirs voluptueux. C’est une force supérieure qui s’impose à l’être humain même le plus farouche, même au roi qui avait juré de ne plus risquer d’être abusé par l’amour d’une femme qui pourrait se révéler infidèle ou indigne de ses feux. C’est une sorte de certitude heureuse qui dépasse toutes les connaissances raisonnées. C’est une force qui, insensiblement, rend ses lettres de noblesse au plaisir de la chair et des sens. A ce plaisir que notre occident apeuré avait souhaité définir comme indigne, et dégradant. C’est un rêve de luxe sensuel, une idée d’un lointain, d’un ailleurs meilleur, qui pour être atteint n’attend qu’un clignement des yeux, un battement de paupière, la complicité chaleureuse d’une nuit sans contrainte.
Jean-Yves Patte
© Frémeaux & Associés, Groupe Frémeaux Colombini SA 2002.
CD1
Shéhérazade
1 – Les chroniques des Sassaniens, anciens Rois de Perse… 4.36
2 – Lorsqu’il fut près de la capitale des Indes… 5.49
3 – Les jours suivants, il fut de très bonne humeur… 4.58
4 – Le jour suivant, les deux princes partirent avec toute leur suite. 5.18
5 – Après qu’elle eut obtenu d’eux ce qu’elle souhaitait… 4.48
6 – Le grand Vizir, qui, comme on l’a déjà dit, était malgré lui… 5.74
7 – “Ma sœur, si vous ne dormez pas, je vous supplie,… 2.05
Histoire de Nourredin Ali et de Beddredin Hassan
08 – Il y avait autrefois en Egypte un sultan… 5.48
09 – “Seigneur, lui répondit Nourreddin Ali,… 6.05
10 – Après que Nourredin Ali se fut éloigné du Caire… 6.07
11 – Beddredin Hassan, sensiblement affligé de voir son père… 6.36
12 – Enfin, après l’avoir bien regardé, il s’éleva fort haut dans l’air… 5.22
13 – Beddredin Hassan, s’étant réveillé en ce moment… 6.05
CD2
Histoire de Nourredin Ali et de Beddredin Hassan (suite)
1 – Pendant que le Génie encourageait ainsi Beddredin 6.19
2 – “Messieurs, leur dit-il, apprenez-moi de grâce... 6.17
3 – A ces paroles, le Vizir perdit patience et entra dans une colère… 6.20
4 – On donna une nourrice à l’enfant, avec d’autres femmes… 6.22
5 – Dame de Beauté, souhaitant que son fils Agib… 7.23
6 – Beddredin continua d’exercer sa profession de pâtissier… 8.10
7 - Elle se mettrait alors à table pour souper… 9.43
8 – Pendant qu’ils s’entretenaient ainsi tous deux… 7.01
9 – Beddredin Hassan changea de visage lorsqu’il reconnut… 7’45
CD3
Histoire du Pêcheur
1 – Sire, il y avait autrefois un pêcheur fort âgé qui avait… 5.31
2 – La nécessité donne de l’esprit. Le pêcheur s’avisa… 4.21
3 – L’espérance de se tirer de la pauvreté désarma le pêcheur… 3.50
4 – “Mais Sire, poursuivit Shéhérazade, après vous avoir parlé… 4.31
5 – Dès que le Sultan eut les poissons… 4.58
6 – Il s’avança ensuite jusqu’à la porte, qui était à deux battants 5.03
Histoire du jeune Roi des îles
07 – Vous saurez, Seigneur, continua-t-il, que mon père… 4.43
08 – Lorsque je fus entré dans mon appartement... 5.41
09 – Après que la cruelle magicienne, indigne de porter... 5.02
10 – Alors, le Sultant, feignant de sortir d’un profond sommeil… 4.55
11 – Le jeune Prince remercia le Sultan de manière qui... 2.57
Ecouter LES MILLE ET UNE NUITS Vol 1 (livre audio) © Frémeaux & Associés / Frémeaux & Associés est l'éditeur mondial de référence du patrimoine sonore musical, parlé, et biologique. Récompensés par plus de 800 distinctions dont le trés prestigieux "Grand Prix in honorem de l'Académie Charles Cros", les catalogues de Frémeaux & Associés ont pour objet de conserver et de mettre à la disposition du public une base muséographique universelle des enregistrements provenant de l'histoire phonographique et radiophonique. Ce fonds qui se refuse à tout déréférencement constitue notre mémoire collective. Le texte lu, l'archive ou le document sonore radiophonique, le disque littéraire ou livre audio, l'histoire racontée, le discours de l'homme politique ou le cours du philosophe, la lecture d'un texte par un comédien (livres audio) sont des disques parlés appartenant au concept de la librairie sonore. (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, cours sur CD, entretiens à écouter, discours d'hommes politiques, livres audio, textes lus, disques parlés, théâtre sonore, création radiophonique, lectures historiques, audilivre, audiobook, audio book, livre parlant, livre-parlant, livre parlé, livre sonore, livre lu, livre-à-écouter, audio livre, audio-livre, lecture à voix haute, entretiens à haute voix, parole enregistrée, etc...). Les livres audio sont disponibles sous forme de CD chez les libraires et les disquaires, ainsi qu’en VPC. Enfin certains enregistrements de diction peuvent être écoutés par téléchargement auprès de sites de téléchargement légal.