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  • La contribution majeure des archives sonores au patrimoine intellectuel français
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    “Les disques de cette anthologie devraient se trouver dans la bibliothèque de tout lecteur de la philosophie du XXe siècle en France. Il s’agit en effet d’un parcours sonore exceptionnel, allant de Bergson à Deleuze et Foucault, en passant par Jankélévitch, Sartre ou Merleau-Ponty, mais aussi Koyré, Corbin, Gilson et d’autres. Certes, l’anthologie dépend des documents existants et ne peut les inventer : entre l’unique fragment subsistant de la voix de Bergson, et le choix qu’il a fallu faire parmi les émissions de Sartre ou Merleau-Ponty, ou encore parmi les auteurs récents souvent sollicités par les meilleurs producteurs d’émissions philosophiques de la radio, parmi lesquels l’éditrice du volume, il y a une disproportion frappante. Mais tous sont égaux et uniques devant l’archive et ce qu’elle a d’irremplaçable. Surtout, jamais, même en quelques phrases de Bergson, même en réponse à des questions qui peuvent sembler extérieures ou datées, ces voix ne se laissent piéger : elles ne [...]

  • « Une aventure exceptionnelle. » par Le Magazine Littéraire
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    « L’auditeur n’en revient pas d’avoir accès à ce florilège de pensée en mouvement, sans minimiser l’émotion de la voix. Une aventure exceptionnelle. » V. MARIN LA MESLÉE, MAGAZINE LITTÉRAIRE

  • « Une initiative remarquable. » LA CROIX
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    « Etrange et très beau voyage, d’où les philosophes antérieurs ne sont pas bannis, puisque parmi les extraits choisis, se trouvent nombres de « dialogues » philosophiques par-delà les années ou les siècles : Deleuze sur Spinoza bien sûr, Marcel sur Saint Augustin, Aron sur Husserl, Châtelet sur Nietszche… mais aussi Koyré sur Saint Anselme ou Desanti sur le trop négligé Groethuysen…Une initiative remarquable. » Par LA CROIX

  • « Un must » par Le Nouvel Observateur
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    « 19 philosophes du XXe siècle. Bergson (avec le seul enregistrement de sa voix), Aron (en 1959), Sartre (sur la BBC en 1944, il était temps), Jankélévitch, Desanti qui aura pu documenter il situ la pensée totalitaire communiste, de la philo aussi qui sait se faire plus que fréquentable avec Foucault s’intéressant au fou littéraire Raymond Roussel, initiatique avec Bachelard, romantique avec le médiéviste Etienne Gilson qui raconte Laure et Pétrarque (un must, 1947). Frémeaux, INA. » Par LE NOUVEL OBSERVATEUR

  • « Au firmament du crossover international et définitif » par Paris Move
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    « Si, comme il est communément admis, c’est sa signature sur Atlantic (via ses moguls Ahmet et Nesui Ertegun) qui lança vraiment la carrière de Ray Charles (après sa plus confidentielle époque Swingtime de 1948 à 1951, qui n’en inonda pas moins des décennies durant les têtes de gondoles chafouines), c’est sa période ABC Paramount qui l’établit durablement au firmament du crossover international et définitif. Et c’est bien le mérite premier de cette sélection par Joël Dufour (spécialiste universellement reconnu de l’œuvre du Genius) que de restituer son caractère essentiel à ce twist in time. Si les trois premières plages de cette anthologie s’inscrivent certes en droite ligne dans la veine de sa période Atlantic, on perçoit dès les quatre suivantes (captées à New-York en mars 1960) la réalisation des aspirations orchestrales d’un Brother Ray pressé d’en découdre, non seulement plus avec ses propres modèles originels (Charles Brown et Nat King Cole), mais désormais avec The Voice h [...]

  • « Un régal ! » par Music’Actu
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    « On ne s'attend pas forcément à ce que certains thèmes de musiques de films se mettent à swinguer et à prendre des couleurs diverses et variées liées au jazz. Dès les premières notes de l'album, on est agréablement surpris et emporté dans un univers savoureux associant de façon ludique le jazz au cinéma.La sombre et menaçante "Marche impériale" de Dark Vador (Star Wars) s'encanaille aux sonorités et rythmes sauvages de la "jungle" de Duke Ellington avant de laisser la place aux autres thèmes bien connus de la saga dans un jazz swinguant et cuivré. Comme c'est bon ! Il était une fois la révolution se fait à la fois tendre et éclatant. Dans Le grand blond avec une chaussure noire, dans lequel l'acteur principal n'était autre que le paternel du saxophoniste Olivier Defays, le jazz est à l'image du personnage principal, pétillant, joyeux et astucieusement rythmé. La Chanson d'Hélène issue des Choses de la vie conserve sa tendresse émouvante. Le soleil du Gendarme n'est plus celui de [...]

  • « Pour les amateurs de bonne musique et de jazz » par Paris Move
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    « On connait l’aptitude des musiques de film à s’infiltrer dans les mélodies populaires de même que celle du jazz à se réapproprier les standards. Dans le cas présent, il s’agit d’un quartet de jazz, Swingin’Affair, qui réinterprète les bandes originales de films mémorables à une sauce plutôt jazzy. Olivier Defays (fils de l’acteur Pierre Richard), saxophone alto et ténor, flûte, le soliste international Philippe Chagne, saxophone ténor, clarinette basse et clarinette, Philippe Petit, orgue, et Sylvain Glévarec, batterie et sifflet, nous font revenir en mémoire 20 films à travers l’évocation de leur B.O. (bande originale) tout en nous faisant découvrir, ou redécouvrir, différents styles de jazz ayant pignon sur rue: de celui de Duke Ellington au Cotton Club de New York, au jazz plus cool, de la samba au bop, de la bossa à la balade coltranienne. De grands compositeurs sont sollicités et qui reprennent ici vie, et dans un second souffle : Raymond Lefèvre, John Williams, Ennio Morri [...]

  • « Les jazzmen ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! » par Jazz Hot
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    « Le compagnonnage du jazz et du cinéma, les deux arts du XXe siècle, est une thématique explorée de multiples fois. Il est moins fréquent de consacrer un album à des thèmes musicaux célèbres du cinéma français, américain et italien, étrangers au jazz pour la plupart, mais jazzifiés pour l’occasion. C’est la démarche entreprise par le quartet Swingin’ Affair (une référence directe à Dexter Gordon, le musicien-acteur né à Los Angeles), soit Olivier Defays, Philippe Chagne, Philippe Petit et Sylvain Glévarec, quatre musiciens unis par une longue complicité. Pour autant, si les œuvres qu’ils ont sélectionnées ne sont pas jazz à l’origine, le jazz est présent dans l’univers de la plupart de leurs compositeurs, lesquels ont pu donner au sein de leurs foisonnantes productions des thèmes jazz, de Nino Rota (Hurricane) à Ennio Morricone (Corleone), en passant par Vladimir Cosma (Un éléphant ça trompe énormément) et François de Roubaix (Le Samouraï). De même les musiques de certains compo [...]

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