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  • « La crème des jazzmen français et latinos américains » par Jazz Gazette
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    « Manu Le Prince a toujours eu deux amours : la musique brésilienne, dont elle est une authentique ambassadrice en France, et le jazz. Cet amour et vénération pour la musique afro-américaine, la chanteuse à la voix suave et mais toujours enjouée et pleine de swing, vient à nouveau de le déclarer dans son hommage au légendaire et historique compositeur et saxophoniste Wayne Shorter, qui vient de célébrer ses 89 ans. (…) Pour réussir et parfaire cette entreprise périlleuse, Manu Le Prince a convoqué la crème des jazzmen français et latinos américains comme ses fils Julian (piano) et Gaël (percussions), Baptiste Herbin (saxe), Minino Garay (percussions), Felipe Cabrera (contrebasse) et Lukmil Perez (batterie). » Par Didier PENNEQUIN – JAZZ GAZETTE

  • « Un ensemble tout à fait harmonieux » par Culture Jazz
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    « Hommage à Wayne Shorter (qui a adoubé le travail de la chanteuse pour l’occasion), le nouveau disque de Manu Le Prince, si tant est qu’il soit fidèle au légendaire saxophoniste, sait s’en démarquer et avancer sur des territoires plus personnels et relatifs au parcours de la chanteuse. De cette balance entre ces deux pôles nait l’équilibre qui caractérise cet enregistrement. Sur une musique sans fard, la voix de Manu Le Prince pose son grain et les paroles qu’elle a composées. Chacun des musiciens donne sa ligne au profit d’un ensemble tout à fait harmonieux. Les titres défilent en souplesse et l’on pourrait même penser que le groupe les joue depuis longtemps car ils sont pétris d’une belle empathie. Entre jazz et racines brésiliennes bien mêlés, le propos ne manque jamais de saveur et ne déçoit pas l’oreille qui l’écoute. » Par Yves DORISSON – CULTURE JAZZ

  • La contribution majeure des archives sonores au patrimoine intellectuel français
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    “Les disques de cette anthologie devraient se trouver dans la bibliothèque de tout lecteur de la philosophie du XXe siècle en France. Il s’agit en effet d’un parcours sonore exceptionnel, allant de Bergson à Deleuze et Foucault, en passant par Jankélévitch, Sartre ou Merleau-Ponty, mais aussi Koyré, Corbin, Gilson et d’autres. Certes, l’anthologie dépend des documents existants et ne peut les inventer : entre l’unique fragment subsistant de la voix de Bergson, et le choix qu’il a fallu faire parmi les émissions de Sartre ou Merleau-Ponty, ou encore parmi les auteurs récents souvent sollicités par les meilleurs producteurs d’émissions philosophiques de la radio, parmi lesquels l’éditrice du volume, il y a une disproportion frappante. Mais tous sont égaux et uniques devant l’archive et ce qu’elle a d’irremplaçable. Surtout, jamais, même en quelques phrases de Bergson, même en réponse à des questions qui peuvent sembler extérieures ou datées, ces voix ne se laissent piéger : elles ne [...]

  • « Une aventure exceptionnelle. » par Le Magazine Littéraire
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    « L’auditeur n’en revient pas d’avoir accès à ce florilège de pensée en mouvement, sans minimiser l’émotion de la voix. Une aventure exceptionnelle. » V. MARIN LA MESLÉE, MAGAZINE LITTÉRAIRE

  • « Une initiative remarquable. » LA CROIX
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    « Etrange et très beau voyage, d’où les philosophes antérieurs ne sont pas bannis, puisque parmi les extraits choisis, se trouvent nombres de « dialogues » philosophiques par-delà les années ou les siècles : Deleuze sur Spinoza bien sûr, Marcel sur Saint Augustin, Aron sur Husserl, Châtelet sur Nietszche… mais aussi Koyré sur Saint Anselme ou Desanti sur le trop négligé Groethuysen…Une initiative remarquable. » Par LA CROIX

  • « Un must » par Le Nouvel Observateur
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    « 19 philosophes du XXe siècle. Bergson (avec le seul enregistrement de sa voix), Aron (en 1959), Sartre (sur la BBC en 1944, il était temps), Jankélévitch, Desanti qui aura pu documenter il situ la pensée totalitaire communiste, de la philo aussi qui sait se faire plus que fréquentable avec Foucault s’intéressant au fou littéraire Raymond Roussel, initiatique avec Bachelard, romantique avec le médiéviste Etienne Gilson qui raconte Laure et Pétrarque (un must, 1947). Frémeaux, INA. » Par LE NOUVEL OBSERVATEUR

  • « Au firmament du crossover international et définitif » par Paris Move
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    « Si, comme il est communément admis, c’est sa signature sur Atlantic (via ses moguls Ahmet et Nesui Ertegun) qui lança vraiment la carrière de Ray Charles (après sa plus confidentielle époque Swingtime de 1948 à 1951, qui n’en inonda pas moins des décennies durant les têtes de gondoles chafouines), c’est sa période ABC Paramount qui l’établit durablement au firmament du crossover international et définitif. Et c’est bien le mérite premier de cette sélection par Joël Dufour (spécialiste universellement reconnu de l’œuvre du Genius) que de restituer son caractère essentiel à ce twist in time. Si les trois premières plages de cette anthologie s’inscrivent certes en droite ligne dans la veine de sa période Atlantic, on perçoit dès les quatre suivantes (captées à New-York en mars 1960) la réalisation des aspirations orchestrales d’un Brother Ray pressé d’en découdre, non seulement plus avec ses propres modèles originels (Charles Brown et Nat King Cole), mais désormais avec The Voice h [...]

  • « Un régal ! » par Music’Actu
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    « On ne s'attend pas forcément à ce que certains thèmes de musiques de films se mettent à swinguer et à prendre des couleurs diverses et variées liées au jazz. Dès les premières notes de l'album, on est agréablement surpris et emporté dans un univers savoureux associant de façon ludique le jazz au cinéma.La sombre et menaçante "Marche impériale" de Dark Vador (Star Wars) s'encanaille aux sonorités et rythmes sauvages de la "jungle" de Duke Ellington avant de laisser la place aux autres thèmes bien connus de la saga dans un jazz swinguant et cuivré. Comme c'est bon ! Il était une fois la révolution se fait à la fois tendre et éclatant. Dans Le grand blond avec une chaussure noire, dans lequel l'acteur principal n'était autre que le paternel du saxophoniste Olivier Defays, le jazz est à l'image du personnage principal, pétillant, joyeux et astucieusement rythmé. La Chanson d'Hélène issue des Choses de la vie conserve sa tendresse émouvante. Le soleil du Gendarme n'est plus celui de [...]

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