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  • « Un album bien plus qu’estimable » par Nos Enchanteurs
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    « Il est loin le temps du duo David et Dominique (David Jisse et Dominique Marge), né en 1967 d’une rencontre au bord d’une autoroute et qui, dès l’année suivante remporte un premier concours de la chanson avant d’enregistrer leur premier 45 tours en 1969 chez CBS. Le duo fera sa dernière apparition en 1980, à Bourges. Il laisse dans nos souvenirs quelques disques savoureux, dont La parole est malade, en 1977. Et l’adaptation française du « tube » d’Idir, A vava inouva. Décédé l’an passé, David Jisse s’était éloigné de la chanson, accaparé qu’il fut par le travail de studio, la musique expérimentale et l’art radiophonique (…). Chassez le naturel qu’il revient au galop : David Jisse s’était remis à la chanson sur ce qu’il n’imaginait sans doute pas être la fin de sa vie. Et avait créé, en 2018 avec la pianiste Nathalie Fortin (ici aux piano, clavietta et componium) et le multi-instrumentiste Michel Risse (ici aux percussions, harmonica et objets sonores), un nouveau spectacle issu [...]

  • "Le legs sensible et puissant d’un talent trop méconnu de la Chanson Française"
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    « Né Jean-Claude David à Pessac en 1946 (et décédé à Paris en juillet de l’an dernier), David Jisse débuta sa carrière musicale au sein du duo qu’il forma treize ans durant avec la chanteuse Dominique Marge, sous l’appellation David & Dominique. Figures des circuits que l’on ne nommait pas encore alternatifs, ces deux-là véhiculèrent, contre vents et courants contraires, maintes des valeurs et utopies dont les héritiers actuels de l’esprit de 68 se sont à nouveau emparés. “J’ai commencé par la chanson. J’ai rencontré Luc Ferrari et la liberté dans la musique. J’ai découvert le travail de studio et l’art radiophonique. J’ai composé pour la musique et le cinéma. J’ai glissé vers les antennes de Radio-France. J’ai travaillé pour des pédagogies. J’ai dirigé la Muse en Circuit. J’ai présidé le Pôle-Sup 93 et Futurs Composés. Et je continue…”. Ainsi dépeignait-il lui-même son parcours voici trois ans à peine. Après avoir en effet dirigé un Centre National de Création Musicale, produit n [...]

  • « L’universalité du mal d’amour » par Paris Move
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    « Entre Cuba, Mexique, Maghreb, Brésil, Argentine et péninsule grecque, la chanteuse et comédienne Nathalie Joly dépeint, en seize canciones, le déchirement de l’exil et les affres du déracinement. La sororité ne s’avère pas ici un vain mot, puisqu’outre le recueil de la parole de femmes algériennes (via une bourse d’écriture qui lui fut allouée par l’Institut Français d’Algérie), elle en partage la restitution chantée avec sa propre sœur, Valérie.(...) Ces adaptations de thèmes cubains, sambas, rumbas et boléros en côtoient d’autres (tel le francarabe “Alger Alger” de Lili Boniche ou la saudade “Lidia” de Nicolas Corrales), pour dessiner en creux l’universalité du mal d’amour, qu’il s’attache à une terre perdue ou à une romance inachevée. Mêlant accordéon, darbouka, bendir, quinton, piano, guitare, bandonéon, bugle et percussions, les orchestrations servent à dessein un duo vocal en parfaite harmonie. Aussi vif que le souvenir d’une brûlure et enivrant qu’une caresse inespérée, u [...]

  • “A poignancy and creative freedom” by Guitar Vintage
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    “Patrick Leguidecoq, better known as Romane, has been a pioneer of the Gypsy jazz revival. (…) The title track evokes a midnight walk down an eerie, dark street and unveils itself like a mysterious late-night melody heard from afar, building in intensity as the trio improvises. “Opus De Clignancourt” is a high-energy romp with guitar and violin duplicating the joyous melody line before Romane is set free to unreel some of the vibrant and inventive riffs for which he’s famed. The charging bass line drives the song. “Dans Le Regard De Laura” – perhaps his most famous and lovely tune – is reinvented here with a poignancy and creative freedom that comes with three decades of playing the song. Both Romane’s lead lines and stylish rhythm breathe new life into the melody.” Michael DREGNI – GUITAR VINTAGE

  • « Absolument splendide » par Classica
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    « Un disque de Daniel Humair est toujours une grande joie. D’abord parce que l’on sait que la liberté en est la base, ensuite parce que pouvoir écouter l’un des plus grands batteurs vivants est un privilège. A travers des compositions soignées, on pénètre dans un univers singulier où la distinction entre « soufflants » et batterie n’a pas de sens, tant l’approche des tambours et des cymbales est strictement musicale et précisément éloignée du… tambour. Il s’agit ici de couleurs, de souffles, de timbres, bref d’une sorte de percussion poétique ou de poésie percussive. Le groupe est impeccable d’entente et de partage du projet, ce qui rend ce « Drum Thing » absolument splendide. » Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Œuvre d’une vie » par Jazz News
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    Œuvre d’une vie, les chapitres des Biguine Reflections d’Alain Jean-Marie se voient enfin rassemblés en un seul volume. Entouré du bassiste Eric Vinceno, des batteurs Serge Marne puis Jean-Claude Montredon, le pianiste guadeloupéen allait sculpter sur plus de vingt ans un massif à nul autre pareil unissant deux musiques créoles-jazz et biguine – avec toute la sensibilité de l’immense instrumentiste qu’il est. Assez pour transcender la notion de jazz antillais et prétendre au titre d’indispensable de nos discothèques. Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Une tonicité et un entrain communicatifs » par Classica
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    Le Klezmer rituel, musique instrumentale populaire des juifs ashkénazes, ne pouvaient échapper à l’influence du jazz (voire du reggae avec Du Shaynts Vi Di Zin), même si la tradition y vibre encore de belles couleurs. Alexandre Litwak et son Klez’N’Zazou interprètent ainsi quatorze chansons avec une tonicité et un entrain communicatifs, mêlant comme il est de rigueur dans le genre, la joie la plus terrestre à la nostalgie la plus poignante (Mashav), parfois au sein d’un même morceau (Yid Un Goy Fantasy). Soigneusement arrangé, le répertoire à l’interprétation essentiellement collective réserve de beaux moments où chante la mémoire et se lèvent les fantômes d’un peuple musicien dans l’âme. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Le charmeur de l’orgue à bouche » par Pascal Anquetil
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    Assis sur son tabouret, ramassé sur lui-même, de grosses lunettes, une petite moustache et la crinière blanches, les mains tenant l’harmonica et les pieds marquant la cadence dans le vide, Toots, entre deux respirations, laisse échapper un petit rire de plaisir et aligne, heureux comme un jeune homme amoureux, les improvisations comme d’autres les rêveries. Avec l’élégance du poète et ce soupçon de nonchalance qui fait toute la différence. Entre larme et sourire, la  souplesse ondoyante de son jeu, la fièvre lyrique qu’elle communique, sans jamais tomber dans le piège de la joliesse ou de la nostalgie attendrie, forcent l’écoute et envoûtent. Dès qu’il joue, il n’a qu’un seul propos : chanter le plus naturellement du monde avec le plus ingrat et enfantin des instruments. Il y parvient à chaque fois qu’il embouche son harmonica, prenant le dessus sur les autres musiciens qui semblent s’effacer devant sa prise de parole aussi bouleversante qu’essentielle.Sa vie est un vrai conte de [...]

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