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« Une approche historique globale » par JNE
Categories : Press« «Les arbres sont apparus il y a 400 millions d’années, nous autres sapiens n’avons commencé à arpenter la savane africaine qu’il y a 400 000 ans», annonce d’emblée Laurent Testot. L’auteur raconte dans une première partie cette forêt des origines qui serait des deux tiers des surfaces terrestres si nous n’étions pas là. Puis il poursuit jusqu’à nos jours.«La forêt devient forêt à proprement parler» au second moyen âge lorsque les élites se l’approprient pour en faire un lieu de chasse réservé aux puissants. Seigneurs et monastères s’efforcent alors de contrôler les ressources forestières et font reculer les droits d’usage. C’est la main basse sur les bois qui se poursuit encore…Le bilan de la forêt aujourd’hui n’est pas enthousiasmant : la moitié des forêts métropolitaines sont monospécifiques, la mortalité des arbres a augmenté de 80% en dix ans… Pourtant vu les services écologiques rendus par la forêt, il va falloir arbitrer pour les préserver. C’est le sujet de la troisième [...]
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« Un parcours passionnant » par Georges Chapouthier
Categories : Press« Je viens de terminer la lecture de votre livre "Les forêts". Il est superbe et je tenais à vous le dire. Sur un sujet important mais difficile vous parvenez à tenir le lecteur en haleine sur un parcours passionnant. »Par Georges CHAPOUTHIER (neurobiologiste et philosophe, auteur de "Sauver l'homme par l'animal" chez Odile Jacob)
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« Les enregistrements majeurs du Duke » par Bulletin du HCF
Categories : PressLe nécessaire éditeur Frémeaux & Associés vient de sortir un coffret de quatre CD intitulé fort justement « Duke at his very best ». Il s’agit de rendre compte de l’oeuvre de Duke Ellington à sa meilleure période, le début des années 1940. D’ailleurs, dans le livret (page 2), nous pouvons lire un commentaire succinct du Duke mais, ô combien juste : « En 1940, nous tenions la grande forme ». Nous trouvons donc des enregistrements majeurs de l’orchestre ainsi que des petites formations ellingtoniennes, sous la direction de Johnny Hodges, de Rex Stewart et de Barney Bigard… que du beau jazz en perspective ! cela s’étend du 6 mars 1940 au 28 juillet 1942. L’organisation même du coffret se compose de grands succès du Duke. (…) Ce coffret est accompagné, comme toujours chez Frémeaux & Associés, d’un copieux et intéressant livret signé Alain Pailler, le pilote de ce projet. Chaque titre est analysé au fur et à mesure du déroulement des morceaux avec des remarques pertinentes mais comment [...]
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« Précieux pour notre éducation » Ministre de l'Education nationale
Categories : Press« En dressant un panorama des initiatives publiques, privées et citoyennes visant à préserver et adapter nos forêts, votre livre constitue une ressource utile pour tous ceux qui chérissent ce bien commun, et montre à quel point le fameux mot de Colbert est toujours d’actualité : « La France périra faute de bois », c’est-à-dire de forêts. (…) Votre ouvrage sera précieux pour notre éducation au développement durable ! » Nicole BELLOUBET – MINISTRE DE L’EDUCATION
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« C’est un témoignage de première main ! » par France Musique
Categories : Press« C’est un témoignage de première main ! L’humour, le goût du saute-mouton et du coq-à-l’âne, la traversée du siècle, les considérations musicales et les anecdotes personnelles : il n’y manque rien. Tout ce qui vient de Martial Solal est solalissime. Et comme Martial est notre plus grand musicien de jazz vivant, c’est indispensable. » Arnaud Merlin (France Musique)
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« Un tableau d’une incomparable richesse » par Classica
Categories : PressRay Charles fut incontestablement l’une des grandes voix du XXe siècle. Le projet de Joël Dufour se divise logiquement en deux parties : son inspiration (les sources) et son influence. Ainsi les quatre premiers CD couplent la version d’origine et celle de Ray Charles ; exemples : « Georgia on My Mind » par Billie Holiday ou « Let The Good Times Roll » par Louis Jordan, repris par Ray Charles. Quant à l’influence, les trois CD suivants inversent le sens ; exemple : le « What’d I Say » de Ray Charles est suivi de ceux de Clyde McPhatter, Jerry Lee Lewis, Sandy Nelson et The Drivers (on connaît même la version francisée de Richard Anthony). Voici donc l’occasion unique de découvrir les racines et les effets musicaux d’une des voix américaines les plus remarquables et de concevoir un tableau plus complet de son incomparable richesse. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA
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« L’un des derniers remparts contre l’oubli » par Alain Pailler
Categories : Press« (…] Le jazz possède une histoire et celle-ci, désormais, n’existe plus au regard des jeunes générations que grâce à la politique éditoriale de Frémeaux & Associés. Vous devez être l’un des derniers remparts contre l’oubli quasi définitif dans ce domaine. Idéalement, j’aurais souhaité qu’un magazine censément spécialisé comme Jazz Mag accorde à l’histoire du jazz l’intérêt que vous lui prêtez depuis toujours, en particulier grâce à la collection The Quintessence. Sans votre travail de préservation, qui aujourd’hui pour consacrer la moindre étude à des musiciens comme King Oliver, Jelly Roll Morton, Fletcher Henderson, Michel Warlop, Martial Solal, etc? Plus le temps passe et moins ces noms-là disent encore quelque chose à la plupart des gens qui prétendent aimer cette musique. Notez que l’on pourrait en dire à peu près autant s’agissant de la littérature française. Malherbe, Boileau, Maurice Scève, Louise Labbé, Théophile de Viau… qui se souvient encore d’eux ? » Par Alain PAI [...]
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« Une pépite » par Paris Move
Categories : Press« La violoniste Mathilde Febrer a parfaitement accompli la mission qu’elle s’était fixée, rendre hommage à la figure tutélaire du violon jazz qu’était Stéphane Grappelli (1908 – 1997) dès le premier album sous son nom! De formation classique et convertie au jazz depuis longtemps (Daniel Colin, Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Led Zeppelin, Renaud, Henri Salvador, Rodolphe Raffalli ou encore Sanseverino), elle produit son premier album sous la direction artistique du producteur Kenichi Takahashi pour le label Respect Records. Elle est accompagnée par Alain Jean-Marie au piano, Yves Torchinsky à la contrebasse, Julien Charlet à la batterie, Jean-Marie Ecay à la guitare, Samy Daussat à la guitare manouche et Christophe Lampidecchhia à l’accordéon. Un petit clin d’oeil à la Partita N°1 de J.S. Bach, quelques incontournables du Maître lui-même, Les Valseuses, Milou en mai, des standards qu’il affectionnait, I’ll Remember April, The Jitterbug Waltz de Fats Waller, des [...]