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  • « Un vrai remède contre la déprime, un régal » par Action Jazz
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    « « J’aime pô le djazz  » . Ah bon ? Mais as-tu déjà écouté Pink Turtle ? « Ah oui ça j’aime ! » Et voilà, pourtant c’est du jazz, du vrai, du swing plein de fantaisie et ça démontre qu’en jazz on peut jouer tous les répertoires comme ici de la pop des années 60 à 80 !Et oui, bonne nouvelle Pink Turtle en sommeil depuis quelque temps se reforme avec un groupe légèrement remanié et s’avance avec le Best Of des trois albums précédents. On y trouve quinze titres, des tubes de pop , de reggae, de disco, de rock, des titres que tout le monde a dans la tête et qui ici trouvent une métamorphose des plus réjouissantes avec cette sauce swing.Un « Walk on the Wild side » sautillant, un « Hôtel California » repris en choeur digne des comédies musicales de Broadway, orchestre flamboyant derrière, les Bee Gees transformés en Louis Prima pour un « How deep is you love » tantôt boogie, tantôt romantique, une « Hard Day’s Night » à New Orleans, un « Get Up Stand Up » des plus swing, un « Money, m [...]

  • « Un remarquable apport au savoir ellingtonien » par Culture Jazz
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    « Le 6 mars 1940 à Chicago, l’orchestre de Duke Ellington a enregistré plusieurs chefs d’oeuvre : Jack the Bear, Ko-Ko, Concerto for Cootie. Le concerto pour Cootie a fait l’objet d’une savante analyse musicologique par André Hodeir (Hommes et problèmes du jazz, 1954, réédition 1981 ; traduction anglaise 1956) et Ko-Ko par Gunther Schuller (The swing Era, 1989 ; traduction italienne 2010). L’ouvrage dont nous traitons fait d’une manière plus originale l’étude des conditions d’existence de l’oeuvre, KO-KO, à travers l’exposé de sa genèse, des musiciens qui y ont participé, du son que le Duke voulait obtenir, des musiques qui existaient en même temps. Il ne servirait à rien de proposer ici des résumés des divers points de vue que suit l’auteur. Serait-ce possible ? Il faut tout simplement lire le livre qui est un remarquable apport au savoir ellingtonien, il donne des aperçus sur le jazz de l’époque et l’influence d’Ellington sur les musiciens qui ont suivi.Parce que c’est son capri [...]

  • « Un must pour toutes les discothèques » par Alain Gerber
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    « Merci mille fois aussi pour le coffret du "Grand Master". Je n'ai pas encore eu l'opportunité de l'ouvrir, mais le programme permet d'affirmer sans risque d'être contredit qu'il s'agit là d'un must pour toutes les discothèques composées par des gens qui ne voudraient pas rester idiots. Charles, Armstrong, Gilberto, Sinatra, voilà, chez les mâles du chant, les citoyens que je place au-dessus de tous les autres (…) »Par Alain GERBER

  • « Excellent et exquis » par Alain Gerber
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    « Je découvre ce matin le disque de Romane Manetti : c'est à la fois excellent et exquis, d'une infinie délicatesse et d'une invention mélodique à laquelle je suis particulièrement sensible. »Par Alain GERBER

  • « Aussi improbable qu’irrésistible » Paris Move
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    « Dans le registre de la reprise et de l’adaptation décalée, la Maison Frémeaux disposait déjà à son catalogue des inénarrables Pink Turtle. La voici qui propose à présent ce Macadam Farmer, ayant davantage à voir avec Hayseed Dixie (pour ses références agro-sudistes) qu’avec Paul Mauriat. Sous un layout délibérément kitsch et chic signé Ben Hito (ci-devant auteur dûment célébré de maints affiches et flyers des circuits roots, ska & blues), ce quintette français passe en effet à la moulinette bluegrass des Appalaches (banjo, sousaphone, washboard, mandoline, guimbarde, harmonica et ustensiles divers) une dizaine de tubes pop de la fin des seventies jusqu’aux années nonante. Du “Girls Just Want To Have Fun” de Cindy Lauper au “Born To Be Alive” de Patrick Hernandez, en passant par le “Tainted Love” de Soft Cell et Gloria Jones, “Take On Me” de A-Ha, “Rasputin” de Boney M, “Bette Davis Eyes” de Kim Carnes, “Owner Of A Lonely Heart” de Yes, “That’s All” de Genesis, “Heart Of Glass” d [...]

  • « Une mise en perspective remarquable » par Couleurs Jazz
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    « Ray Charles a incarné la musique afro-américaine dans toute sa diversité avant d’en déborder le cadre pour devenir une vedette de renommée internationale dont l’œuvre a marqué de son empreinte le XXème siècle. C’est donc la genèse de l’art d’un artiste d’exception que dévoile Joël Dufour dans la première partie de cette compilation intitulée « His Inspiration« . On voit le Genius, encore à l’orée de sa carrière, bâtir son répertoire en empruntant largement à ses contemporains selon une démarche révélée par la comparaison des reprises aux versions originales qui l’ont inspiré. C’est ce que montrent ses premières faces Swing Time de 1949 marquées par la production du trio de Nat King Cole et des emprunts au blues (Leroy Carr, St Louis Jimmy). Signant chez Atlantic en 1952, Ray Charles s’engage ensuite sur une voie plus originale en enregistrant Sinner’s Prayer de Lowell Fulson et de Feelin’ Sad de Guitar Slim (Eddie Jones), ses deux anciens employeurs. Deux ans plus ta [...]

  • « Maîtrise prodigieuse et musicalité supérieure » par Jazz News
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    Si la fille d’Ipanema préside à cet enregistrement inédit du guitariste brésilien à Liège en Belgique en 1987, la bossa nova n’est qu’une part du génie de Baden Powell, a fortiori dans la dernière partie de sa vie. Le maître est ici, et comme à son habitude, prodigieux de maîtrise. Presque intimidant dans cette virtuosité mais toujours empreint d’une musicalité supérieure. Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Une éblouissante démonstration » par Paris Move
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    « Spécialiste incontesté de l’œuvre du Genius, Joël Dufour a déjà été le curateur de pas moins de cinq coffrets consacrés à Brother Ray dans la collection Frémeaux (chroniqués ICI, ICI, ICI, ICI et ICI), mais il se lance cette fois dans un authentique labour of love, en jetant non seulement la lumière sur les influences du jeune Ray Charles Robinson au cours de ses années d’apprentissage, mais aussi l’impact indéniable qu’il eut à son tour sur maints de ses successeurs. En pas moins de sept CDs (et 171 titres), Dufour effectue un ballet incessant entre le répertoire de Charles et celui de ses modèles, mettant également en perspective son influence auprès de ses nombreux disciples. Il résulte de cet impressionnant jeu de miroirs une saisissante time-line de la transmission d’un patrimoine cohérent (tant sur le plan culturel que stylistique), au cœur des courants musicaux afro-américains, depuis la fin des années 20 jusqu’au début des sixties. On entend donc défiler en amont des réf [...]

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