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  • « L’ivresse et la renaissance congolaise » par Pages Afrik
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    « Franklin Boukaka est demeuré et demeure encore l’artiste des Indépendances africaines, ou l’épopée fantastique de la rumba congolaise.Dans un coffret de 3 CD, l’émérite producteur musical Claude Blanchard Ngokoudi présente sous la marque « Frémeaux & Associés » 30 œuvres brodées et tissées qui traduisent l’effervescence créative de la culture bantoue et qui se traduit par l’ivresse et la renaissance congolaise ; grâce à Franklin Boukaka que vous trouverez dans ce coffret mémorable, la légende.Notamment, Franklin Boukaka ou le destin d’un artiste engagé, décortiqué par Maxime Ndebeka et Clément Ossinondé.Dans cette légende vivante est abordé les étapes ci-après : L’apprentissage – L’éveil politique – L’épanouissement artistique – L’artiste engagé – La révolution est avant tout un phénomène culturel et L’artiste militant.Enfin, Franklin Boukaka demeure ce musicien qui a eu une passion énorme pour la liberté, au point où son manifeste le plus engagé est demeuré, certes une passion [...]

  • « Merci pour le voyage » par Hélène Nogues Brunet
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    «... début découte en cours ???? un truc qui saisit et  bouleverse le cœur... un morceau de mémoire d' une histoire familiale à la façon Poulbots de la Butte et titis de la rue de la mouff'... Bref, merci pour le voyage... » Par Hélène NOGUES BRUNET

  • « Un musicien doté d’un vrai sens du rythme » par Chants Songs
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    « Les premiers succès de Claude François remontent au début des années 60. Dans Claude François- Rétrospective 1962, Jean-Baptiste Mersiol a voulu rendre hommage au musicien dont le sens du rythme le menait tout droit à la danse. À la fin des années 50, Claude François rêvait déjà de faire une carrière musicale, alors qu’il n’est qu’un petit employé de banque. Après avoir formé un petit orchestre avec des copains, il obtient un emploi professionnel comme batteur-percussionniste dans le grand orchestre du Sporting CLub de Monte-Carlo, dirigé par Louis Frosio. En 1961, il mettre le cap sur Paris pour jouer dans l’orchestre de Olivier Despaz. Et on mesure en replongeant dans ce Claude François- Rétrospective 1962, combien le rythme lui colle à peau avec des musiques comme Paris Madison ou A little Bit of Shout, sans oublier Sack O’Woe, qui préfigure la mouvance psychédélique à venir. Un an plus tard, il fait un carton avec Belles ! Belles ! Belles ! . Avant il aura enregistré q [...]

  • « Leur plaisir à nous faire plaisir » par Daily Passions
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    « (...) L’unisson des compositions… Elles semblent toutes inspirées par un même esprit, à moins que ce ne soit le jeu subtilement délié des instrumentistes qui leur confère une unité forte… À écouter se marier les notes de la guitare et le souffle du saxo soutenus par les rythmes lancés par les deux autres, j’ai eu l’impression que ces notes s’aimaient, qu’elles n’étaient pas simplement ensemble par la grâce ou le bon vouloir d’un arrangeur et qu’elles trouvaient du plaisir à jouer les unes avec les autres tout en restant elles-mêmes. Si vous voyez ce que je veux dire ? Et je me suis dit en tirant un peu par les cheveux – pour l’humour – que c’était de « la musique de boeufs », de préférence sur le toit. Et qu’il serait intéressant que ces sessions (Jam, rappelez-vous la chanson d’Aznavour ‘pour en faire une …’) avec ces quatre musiciens soient enregistrées et gravées, parce qu’il n’est pas possible qu’avant d’enregistrer On air ils n’aient pas rôdé leur plaisir à nous faire plais [...]

  • « On en redemande ! » par Paris Move
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    « Paris, deux chanteurs des rues et un orgue de Barbarie… Cette simple association d’idées fait resurgir en un tournemain des images immémoriales. De Bruant à Fréhel et de la môme Piaf à Gaston Couté, maintes ritournelles sont ainsi passées à la postérité et ont accédé à notre patrimoine. Au point que, sans y attester de relation directe, on en remonte aisément à 36, via l’iconographie demeurée vivace du classique de Julien Duvivier, “La Belle Équipe”… Homme de radio, graphiste et essayiste, Jean-Pierre Bayard (dit Jean Piero) n’en exerça pas moins aussi, vingt ans durant, le dur métier de sérénadier du pavé. Faisant équipe avec Gérard Pierron, il fourguait alors aux touristes et aux badauds une simple cassette auto-éditée, dont la Maison Frémeaux publie à présent la réimpression CD. Collaborateur du regretté Allain Leprest et de Marc Robine, Gérard fut pour sa part le chantre (et l’un des plus ardents promoteurs) du poète libertaire du début du siècle passé, Gaston Couté (pour l’ [...]

  • « Ne manquez pas ce triple album » par Mediapart
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    « Compositeur et orchestrateur d'immense talent, Christian Chevallier donna tout son talent à cet univers que l'on appelait joliment "Variété", façon de dire qu'il y avait tout à la fois du tragique, de la joie, des larmes et du rire à l'affiche des Music-halls. Un monde à fanfreluches et jongleurs, bas résilles et magiciens.La liste est longue des artistes pour lesquels Chevallier composa : la mélodie et l'orchestration de "Toulouse", pour Claude Nougaro, l'arrangement de "Ce soir je te dis tout" pour Gilbert Bécaud, nous les avons déjà célébrés. Mais le triple album que l'excellent label Frémeaux et associés publie rend hommage à celui que Cocteau surnomma "Le Prince du jazz français". Le traitement qu'il donne aux cuivres traduit la passion des musiciens de cette génération pour Duke Ellington, Count Basie, mais encore Stan Kenton - que plus personne ne cite mais qui influença nombre de compositeurs en France.Christian Chevallier traitait aussi les cordes en maître. Alors, ne m [...]

  • « Décidément, quelle année, cette année là! » par Paris Move
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    « Évidemment banni de toute encyclopédie sérieuse prétendant traiter du rock, mais objet depuis sa disparition précoce d’un culte durable comme seuls Carlos Gardel et Rudolph Valentino surent en susciter, Claude François (alias Clo-Clo pour ses thuriféraires) ne surgit pas, contrairement à sa légende, d’une génération spontanée, mais connut comme la plupart des artistes de music-hall de sa génération, des débuts modestes. Batteur et percussionniste de formation, il grenouillait comme il le pouvait dans l’antichambre du succès quand, fraîchement débarqué de son Égypte natale, il s’intégra au sein de l’orchestre du Sporting Club de Monte-Carlo. Bombardé chanteur pour y interpréter les grands tubes du moment (de Aznavour à Ray Charles, en passant par Mouloudji), il s’y fit remarquer en adaptant le “Mustapha” de Bob Azzam qui fédérait alors tous les fêtards de la Côte d’Azur. Monté à Paris en 61, il y fit en mars de l’année suivante ses débuts discographiques sous le pseudonyme peu va [...]

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