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  • « Une prestigieuse collection » par Paris Move
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    « 45 ans après sa disparition, on pourrait considérer que tout ou presque a déjà été dit, écrit et publié du grand Jacques. Du plus Français des chanteurs Belges au plus Wallon des Flamands. Du plus anti-clérical des catholiques au plus conservateur des anarchistes (“La Bastille”), et du plus romantique des cœurs d’artichaut au plus désespéré des idéalistes (“Qu’avons-nous fait bonnes gens?”, “L’Air De La Bêtise”…). Désormais statufié au Panthéon de la chanson française auprès de figures tutélaires telles que Brassens, Ferré et Trénet, quelle pertinence Brel revêt-il encore de nos jours? Si on lui prêta maints héritiers, pour la plupart discutables (de Pierre Bachelet à Stromae, en passant par Arno et Gauvin Sers), l’initiative de la maison Frémeaux (sous la direction d’Olivier Julien, spécialiste et exégète de l’auteur des “Marquises”) présente le mérite décisif de restaurer les dix premières années de sa carrière discographique dans leur cohérence, leur contexte et leur chronolo [...]

  • « Auténtico Rey de la Rumba congoleña » por Orpheo
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    « A Boukaka lo conocen como “El Inmortal” pese a que fue asesinado a sangre fría a la edad de 31 años. Le dio tiempo para ser un grande y poder convertirse así en un mito. Fue un pionero de toda la música congoleña y el máximo representante de la rumba de dicho país. Gran cantante y activista político que nos dejó aquí 57 temas y más de 3 horas y cuarto que comienzan con el disco que les produjo un “fan” del renombre de Manu Dibango que se encargó de su disco de despedida. De ahí a sus inicios con muchos temas acompañado por la Orchestre Cercul-Jazz. Por destacar alguna gema, sobre todo del disco junto a Manu Dibango, las cuerdas y su gran voz en el arranque con ‘Le Bucheron’, con su buen saxo jazz. Aires al “Etiopiqués” en ‘Nakoka’. Flautas llamativas para un lento romántico como ‘Likambo Oyo’. Preciosidad total lenta con voz y piano en ‘Ata Ozali’. Y, por supuesto, mucha rumba con vientos y percusiones como en ‘Pont Sur Le Congo’ o ‘Mwanga’ que suena a puro Cuba. También destaca [...]

  • « Un recueil qui mérite le détour » par Jazz Magazine
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    Passé le hors d’œuvre assez quelconque de la musique du film « Deux Hommes dans Manhattan » (à la confection duquel Martial Solal vint prêter main forte) et les quatre titres assez bridés du EP 45-tours « Musique pour deux » en quintette avec Bobby Jaspar (fl) et « Fats » Sadi (vib), on passe au plat de résistance avec le LP 25cm « Big And Small » où, d’une face à l’autre, se succèdent big band et quartette (le quintette précédent, moins Jaspar). Si le quartette met mieux en valeur les talents individuels, notamment celui de Chevallier pianiste, ce sont les qualités d’arrangeur de ce dernier qui méritent un détour récompensé par la qualité des pupitres, soit la crème du bop français de l’époque, de Roger Guérin à Jean-Louis Chautemps. Se succèdent sur les deux premiers de ces trois CD les albums « Formidable », « Prince du Jazz Français » (tel que Jean Cocteau surnomma Chevalier) et « 6+6 » où l’on voit le compositeur et arrangeur tutoyer l’héritage de Stan Kenton et ses collègues [...]

  • « Heureuse initiative » par Daily Passions
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    « Heureuse initiative que celle comme ici qui consiste à faire dire des textes choisis par le comédien par des proches et/ou des volontaires. (…) De Bouquet malade il me reste Le Pont Mirabeau. Fanny Ardant fait un sans-faute. Podalydès donne du relief à Javert, celui de Robert Hossein dans Les Misérables de 1982. De Nicolas Vaude j’ai retenu : Complainte de l’oubli des morts… et l’extrait d’Isidore Ducasse. Et enfin j’ai vivement apprécié Françoise Hardy interprétant Brigitte Fontaine. (…) Conseil d’audition : évacuez d’abord ce que vous connaissez (interprète- auteur), laissez mariner puis reprenez l’écoute depuis le début. Et ce que vous avez déjà entendu prendra alors un autre relief. (…) »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « Une atmosphère qui fleure bon la nostalgie » par Chant Songs
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    « L’orgue de barbarie est un instrument qui a du coffre. La preuve avec la sortie en CD de l’aventure menée par Gérard Pierron et Jean Piero : Paris s’éveille. Une manière de revisiter, non sans une certaine nostalgie, le répertoire de la chanson française et populaire.Il suffit d’écouter la version du standard de Dutronc, Il est cinq heures Paris s’éveille pour voir à quel point l’orgue de barbarie, tenue par Jean Piero, est capable de se glisser dans bien des univers musicaux. Il en est de même avec la mélodie très jazz de Boris Vian dans On n’est pas là pour se faire engueuler qui a pourtant un swing d’enfer dans la version originale.Entre Jean Piero -artiste touche à tout, chanteur des rues et « tourneur » qui a officié deux décennies devant le Sacré-Cœur à Paris, mais aussi poète, homme de radio, plasticien – et Gérard Pierron, un chanteur qui a toujours voulu célébrer les poètes populaires, tel le poète marin Louis Brauquier, le courant est vite passé. Le fruit de cette renc [...]

  • « Une révolution fondatrice en matière de socio-ethnologie » par Daily Passions
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    « N’oubliez pas que ce livre a été une révolution fondatrice en matière de socio-ethnologie tant pour sa méthode que pour son contenu. Peut-être alors pourrons nous après audition repenser notre lecture/réaction à certains faits divers dont on sait qu’ils relèvent de cette éducation… Bonne écoute… » Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « On adore » par Le Soir
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    « Le Zeitgeist, c’est l’esprit du temps, le signe des temps. Quels temps ? Pour Laurent Cugny, claviériste, compositeur et arrangeur français, c’est celui de Louis Armstrong, du Swingin London, de Woodstock, de Miles Davis et de Mood Indigo tout ensemble. Le jazz, pour lui, traverse les époques et transcende les mélodies. La preuve par ce très bel album dédié aux standards et enregistré par un Tentet, avec ce que la France a de mieux : Pierre de Bethmann au Fender Rhodes, Laurent Coulondre au Hammond B3, Manu Codjia à la guitare, Jérôme Regard à la contrebasse, Stéphane Huchard à la batterie, etc. Deux morceaux de Laurent Cugny, qui, lui, joue du Fender Rhodes et dirige, le Boogie-Woogie Waltz de Joe Zawinul, le Woodstock de Joni Mitchell, L’air qu’on respire de Michel Jonasz, I want you de Lennon/ McCartney, Mr Foster de Miles Davis, Mood Indigo de Duke Ellington et Pyramidal Vision de Delmar Brown. Laurent Cugny aime l’avant-garde des années 60 et 70, les pianos électriques, la [...]

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