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  • « L’un des grands hommes du Gospel » par ABS Magazine
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    « Un double CD de 49 titres pour reprendre l’essentiel de la carrière de l’un des grands hommes du Gospel. Né à Chicago en 1931 et décédé en 1991, James Cleveland peut être considéré comme l’un des géants masculins de cette musique, à l’égal de Tom Dorsey ou Ira Tucker. Le texte de pochette signé Jean Buzelin vous dira tout ce qu’il faut savoir sur cet artiste, magnifique chanteur à la voix grave, pianiste inspiré et efficace et leader de toutes sortes de formations : des Meditation Singers de Ernestine Rundless et Della Reese, aux Roberta Martin Singers, en passant par les formidables Caravans d’Albertina Walker, The Voices of Tabernacle, The Gospel Chimes avec Jessy Dixon et Dorothy Norwood, puis des chorales importantes comportant plus de cent musiciens ; il a su tout faire avec maestria et a enregistré copieusement pour de nombreux labels : Apollo, Hob, Specialty, Gospel, Savoy. Sur l’album « Amazig Grace » d’Aretha Franklin, c’est lui qui dirige la Southern Californian Commun [...]

  • « Sa longue route vers la perfection » par Le Monde
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    Le pianiste et compositeur publie, à 97 ans, son autobiographie. Un siècle de vie et d’hommage à ses compagnons de route. C’est un siècle de jazz, le sien, sa longue route vers la perfection, pas moins. Un petit livre allègre, vif comme une flèche. Un récit peuplé des plus grands musiciens de la Terre, qui vous prend à l’improviste car on ne s’y attendait pas : voici l’autobiographie « véritable » de Martial Solal, à sauts et à gambades, sans souci de la chronologie, il s’en vante. Seule ambition : mentionner tous ses partenaires (un exploit !) et tricoter une histoire personnelle du jazz.Depuis André Hodeir (1921-2011), son compagnon de route, de science, d’intelligence et d’humour, la vie et l’œuvre de Martial Solal, né à Alger le 23 août 1927, ne manquent ni de commentaires savants ni d’exégètes brillants. « La “solalologie” tient sa légitimation de l’entrée de Martial Solal dans la collection The Quintessence, qui a le statut de Pléiade. » Dixit l’inventeur de la collection. V [...]

  • « Se dévore comme un bon roman » par Couleurs Jazz
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    (…) Solal c’est un monstre de travail, ce qui lui a conféré une technique sur l’instrument que seul son aîné — et idole — Art Tatum a atteinte. Son entraînement quotidien pendant des années a inclus la pratique de partitions de musiciens comme Chopin ou Rachmaninoff. Il n’est donc pas étonnant qu’il recueille l’admiration de pianistes classiques.(…) Du solo au big band en passant par le duo — entre autres avec d’autres pianistes —, le trio — ponctuellement avec deux contrebasses mais la plupart du temps avec basse et batterie —, le quartet … il aura donc exploré la plupart des facettes du jazz en compagnie de comparses aussi divers que Sydney Bechet ou Django Reinhardt, Stéphane Grappelli ou Johnny Griffin, Didier Lockwood ou Eric Lelann, Michel Portal ou Daniel Humair, Kenny Clarke ou Paul Motian, Dave Liebman ou Lee Konitz.Touche à tout de génie et orfèvre dans tout ce qu’il touche, Solal ne pouvait pas manquer de faire de son autobiographie une traversée des décennies qui l’ont [...]

  • « Pour mesurer l’impact vital du « Maître » sur son époque » par Jazz Magazine
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    (…) Ce coffret est un assez bon moyen de découvrir ou redécouvrir l’œuvre de Ray Charles. Son avantage ? les liner notes signées Joël Dufour sont en français. Et comme son titre l’indique, il explore non seulement la discographie de celui qui n’usurpait pas son surnom, The Genius, mais celles de ses inspiratrices, inspirateurs, contemporaines et contemporains, de Dinah Shore à Nat King Cole en passant par Louis Jordan, Billie Holiday, Percy Mayfield… (Charles Brown aurait sans doute mérité encore plus de place.) Grands noms auxquels s’ajoutent ceux de celles et ceux qu’il a influencés, présents sur les trois derniers CD (où pour chaque plage les noms des artistes figurent cette fois avant le titre du morceau, ce qui est mieux !). Ainsi mesure-t-on son impact vital sur des grandes figures comme Harry Belafonte, Stevie Wonder, Elvis Presley, The Isley Brothers, Bil Henderson ou encore Brenda Lee – si cette anthologie était allée au-delà de 1962, la liste aurait été infinie… Par E [...]

  • « Un précieux document » par Jacques Aboucaya
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    Pianiste virtuose, compositeur, improvisateur stupéfiant par son imagination et son sens de l’harmonie, Solal a survolé son temps avec, le plus souvent, une longueur d’avance. Hormis les grands créateurs tels Charlie Parker, Miles Davis, John Coltrane, ou, pour rester dans le domaine pianistique, Art Tatum ou Cecil Taylor, nul mieux que lui n’a su intégrer les acquis et les innovations, pour les faire siens, les dépasser et les intégrer à sa propre esthétique. Celle-ci a pour moteur principal l’innovation. Aussi est-il malaisé de choisir, dans une œuvre abondante et multiforme, un morceau, une période. La discographie figurant en annexe de son autobiographie en offre pourtant la possibilité. Un précieux document pour les amateurs.Parvenu à l’âge vénérable de quatre-vingt-dix-sept ans, Martial se penche sur son passé, en déroule les méandres. Souvenirs, anecdotes, révélations, confidences se succèdent, s’entremêlent dans une autobiographie dont le titre, Mon siècle de jazz, n’est n [...]

  • « Une façon de dire le monde » par les Notes de l’instant
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    « Une autobiographie de Martial Solal ce n’est certes pas tout à fait comme l’un des mille instants musicaux qu’il nous a fait vivre et que nous pouvons revivre chaque jour grâce aux merveilles qu’il a enregistré. (Et notamment dans la collection « Quintessence » du même éditeur).Mais il faut bien dire que « Mon siècle de Jazz » qui paraît aux éditions Frémeaux est un « moment » infiniment précieux. Et que, si l’on y prête attention, on entendra dans ce livre comme une musique qui n’a pas vraiment de fin.« Mon siècle de Jazz » ce n’est pas « l’histoire », le parcours linéaire d’une vie de musicien, mais plutôt un ensemble de souvenirs, parfois épars, pas chronologiques – ne se suivant pas dans l’ordre du temps, mais rédigés avec d’autres buts et avec d’autres raisons, dans ce qui n’est, ni un désordre, ni une facilité de l’écriture, mais au contraire la mise en ordre, non seulement d’une pensée mais encore davantage une façon de dire le monde. Ou plutôt, sans doute, « son » monde. [...]

  • « On flotte dans l'absolu terrestre. » par Mediapart
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    « La plus grande concentration de chefs d'œuvre imaginable en jazz classique. Réunis pour la première fois sur quatre CD's. L'équivalent des Suites pour violoncelle de Bach, ou de la Ve de Beethoven dans la musique classique. On flotte dans l'absolu terrestre. »Par Bruno PFEIFFER - MEDIAPART

  • « Un incorruptible du piano jazz » par Alain Pailler
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    « « Je me demande si le monde saura un jour quel homme merveilleux nous tenions là ». Cette déclaration de Duke Ellington à propos du pianiste et chef d’orchestre Claude Thornhill, nul doute qu’elle pourrait s’adresser telle quelle à Martial Solal, pianiste superlatif et improvisateur hors-normes. Unanimement admiré par ses pairs et bien au-delà de la planète jazz, Martial Solal n’aura pourtant jamais joui de la popularité qu’ont connue sous nos cieux quelques-uns de ses contemporains comme Erroll Garner, Oscar Peterson ou Keith Jarrett voire Michel Petrucciani. Seule et unique explication à cette injustice flagrante : son intégrité musicale jamais prise en défaut et dont l’exemplarité ne se rencontre guère, parmi les chasseurs d’ivoire du premier rayon, que chez un Thelonious Monk ou un Bill Evans. S’il y eut jamais un incorruptible du piano jazz, ce fut bien lui, Martial, solitaire rayonnant comme l’astre solaire. Visionnant il y a quelque temps un BR d’A bout de souffle, le che [...]

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