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  • « Les perles sont nombreuses » par Soul Bag
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    Mai 1962 : sept mois après ses débuts parisiens (documentés par Frémeaux sur « The Complete 1961 Paris Recordings »), Ray Charles est de retour, cette fois-ci pour plusieurs soirées à l’Olympia. L’orchestre et les Raelets sont inchangés, mais Ray, qui avait choisi l’orgue en octobre 1961, est de retour au piano, et le répertoire proposé fait une place importante à des titres récents, parus en single ou sur l’album « Modern Sounds In Country & Western Music ». Le présent coffret ne reprend pas l’intégrale des concerts, mais une sélection de titres empruntés à six différents récitals, arrangés de façon à reproduire le format des concerts de l’époque, à savoir une série de titres instrumentaux, puis de morceaux chantés, avec l’arrivée en cours de route des Raelets et le final rituel du « What’d I say ». Une partie du programme présenté ici est déjà parue il y a quelques années chez Frémeaux (sous la référence FA 5466) dans la collection « Live in Paris », mais la présente édition y a [...]

  • « Les grands classiques de Ray Charles » par Couleurs Jazz
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    « La richesse de l’œuvre de Ray Charles est illustrée de façon satisfaisante par ses faces produites en studio. Cependant, il est bien utile pour en saisir toute l’ampleur de disposer aussi des enregistrements réalisés lors de concerts car le genius, en perpétuel renouvellement, testait souvent à ces occasions de nouvelles orientations musicales. C’est la voie empruntée par les éditions Frémeaux & Associés avec les coffrets « Live At Newport, 1960 » (FA 5643), « Ray Charles à Antibes, 1961″ (FA 5738) et « The Complete 1961 Paris Recordings, Palais des Sports » (FA 5748), tous concoctés de main de maître par l’éminent spécialiste Joël Dufour. Avec le même aux commandes, voici les trois CD de « Live At The Olympia 1962 » (FA 5811) qui reprennent une sélection de titres enregistrés lors des dix prestations de Ray et de son orchestre à l’Olympia de Paris.On trouve au répertoire les grands classiques de Ray Charles (What’d I Say, The Right Time) accueillis par les applaudissements nour [...]

  • « 224 minutes de swing et de félicité céleste » par Paris Move
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    « Décidément, chaque année vers la même période, le spécialiste français du Genius, Joël Dufour, semble tenir à nous gratifier de time-capsules plus roboratives les unes que les autres. Alternant blues depuis le fond du trou (“Danger Zone”, “Careless Love” ou l’inédit – et manifestement improvisé “on the spot” “Untitled Blues”), jazz échevelé à la frontière du swing et du bop (“Marie”, “Alexander’s Ragtime Band”) où étincellent les cuivres de son rutilant big band (avec pour solistes tueurs Hank Crawford et David ‘Fathead’ Newman), hits encore tout frais (“Hallelujah I Love her So”, “Unchain My Heart”, “Hit The Road, Jack”) et réminiscences gospel à tomber à genoux (“Georgia On My Mind”, “I Believe To My Soul”, “Drown In My Own Tears”), ce coffret triple CD déploie en 60 plages un panégyrique des dix récitals que Ray Charles offrit à la réputée plus belle ville du monde, du 17 au 25 mai 1962, tout en annonçant l’un de ses crossovers ultimes (l’alors imminent LP “Modern Sounds In C [...]

  • « Un événement, une évidence » par Jazz Magazine
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    Avec plus de trois heures de musique, vingt plages inédites et sept bonus, cette publication des moments forts des concerts que donna le chanteur à l’Olympia du 17 au 25 mai 1962 s’affirme, près de soixante ans plus tard, comme un événement. Alléluia ! [We love him so. NDR] D’abord un grand merci à Patrick Frémeaux d’ainsi raviver au fil de ses rééditions le souvenir fou et flou des ces instants magiques de jazz live. Après le Concert Band de Mulligan, voici le flamboyant florilège des premiers concerts olympiens que « Brother Ray » donna quelques mois après celui du Palais des sports en octobre 1961. A son écoute aujourd’hui, une évidence : jamais Ray Charles, propulsé par un formidable orchestre, aiguillonné par les Raelets menées par Magie Hendricks, n’aura autant mérité son surnom de « Genius » que lors de ces concerts, véritables cérémonies d’envoûtement collectif. Surtout en cette période, la plus prolifique de sa tumultueuse carrière. Impossible de ne pas se laisser emporte [...]

  • “Cannonball is in typically exuberant form” by the Los Angeles Jazz Scene
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    “Fremeaux & Associes (www.fremeaux.com), in addition to reissuing extensive series of classic studio jazz sessions, has unearthed a series of previously unreleased and very valuable live recordings of American greats performing in Paris. Recently they came out with two wonderful three-CD sets that are very well recorded and filled with rewarding music.(…) Cannonball Adderley 1960-61 is the best documentation that exists of Feldman with the group. The first three selections are from Nov. 25, 1960 while the other 19 pieces are the group’s Paris concert of Apr. 15, 1961. The music is essentially high-quality bebop with aspects of hard bop and soul jazz. Cannonball is in typically exuberant form (he always had such a joyful tone), Nat Adderley (whose playing would fade by the end of the decade) is heard near the peak of his powers, Feldman (who switches to vibes on three numbers) shows that he was a perfect fit for the band and the team of Jones (who plays cello on one number) and Hay [...]

  • « Il est facile d’imaginer toute l’Olympia tapant du pied » par Jazz Magazine
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    Deux concerts, trois CD, quatre étoiles, cinq musiciens. Deux dates : le 25 novembre 1960 et le 25 avril 1961 ; deux salles, Pleyel et Olympia ; deux ambiances, jazz et soul. Trois hommes qu’on peut remercier pour ce beau coffret : Patrick Frémeaux, Gilles Pétard, initiateur de la collection Live In Paris, et Michel Brillié, rédacteur des notes d’un livret flirtant avec l’exhaustivité, et que je ne saurais que paraphraser. On y retrouve un éloge de Cannonball Adderley, de son humour, de sa pédagogie, de son quintette, de son « soul jazz », et même les trois vœux qu’il a formulés auprès de Pannonica de Koenigswarter, la bonne fée des jazzmen. Tout cela illustre la musique gravée sur ces trois disques, ce savant mélange de hard bop, de rhythm’n blues et de gospel qui fit exploser « Cannonball ». Succès parfois jalousé, mais on ne peut que s’incliner devant la maturité du quintette qui, lors de ses deux représentations parisiennes de 1960 et 1961, présente un style unique et uni, au [...]

  • « Un remède bienvenu à la neurasthénie ambiante » par Classica
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    En 1994, un CD avait proposé une anthologie en neuf titres des concerts donnés à l’Olympia et salle Pleyel en 1960 et 1961 par le légendaire quintet du saxophoniste Cannonball Adderley où figurent son frère Nat au cornet, Victor Feldman au piano, Sam Jones à la contrebasse et Louis Hayes à la batterie. Ce « Live in Paris » en trois CD issus des mêmes concerts propose vingt-trois titres. C’est dire que la fête cette fois est complète. On retrouve, avec une qualité sonore impeccable, les envolées éblouissantes du saxophone de Cannonball, sa volubilité étincelante et son impressionnante maîtrise instrumentale, le langage posé, rigoureux et sans façons de Nat Adderley, virtuosité swinguante du pianiste et la rythmique implacable de précision et de feu formée par le duo Sam Jones et Louis Hayes, qu’Oscar Peterson, qui s’y connaissait en la matière, engagera cinq ans plus tard. Ce coffret, qui renvoie au néant la parution précédente, enferme un véritable et constant feu d’artifice music [...]

  • « Un très beau cadeau de Noël » par Daily Passions
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    « Voilà je crois un très beau cadeau de Noël (…).L’audition de : La mauvaise réputation, Le Gorille, Hécatombe, La mauvaise herbe… devrait je crois, même encore aujourd’hui, faire frémir d’indignation les âmes bien pensantes. Et je m’interroge : plutôt que de s’inquiéter du chanteur, ne devrait-on s’intéresser à ceux et celles qui lui ont donné les moyens de s’exprimer ? Patachou pour la scène, Jacques Canetti pour le disque et René Fallet pour une critique dithyrambique qui ont aidé l’artiste à se faire connaître. Ils sont complices… Je ne sais pas ce que vous entendez en l’écoutant : du Brassens, des chansons amusantes et/ou moralisantes, des chansons provocatrices/provocantes ou des fables… Si vous avez des doutes écoutez donc La femme d’Hector par Barbara ou Les amoureux des bancs publics par Patachou. Vous devriez finir par l’entendre, cet ‘humain’ qui ose dire et chanter ce qu’il pense. Pour ma part, je vous avouerai que je ne m’en lasse pas et que bien souvent son majeur dr [...]

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