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  • « On ne boude pas notre plaisir » par Jazz magazine
    Categories : Press

    Ce coffret orné d’une belle photo d’André Hodeir ambitionne de nous convaincre que le compositeur et écrivain décédé en 2011 serait, aux côtés de Jacques Loussier, André Prévin et Claude Bolling, le pionnier, d’une tendance « crossover » qui mêlerait jazz et musique classique et aurait ouvert la voie à une fusion plus large. Sans rappeler ici les positions sévères d’Hodeir sur la question, ni bouder notre plaisir à l’écoute de plusieurs plages rééditées (comme les sessions Savoy d’Hodeir de 1957), on ne peut que souligner l’inadéquation de la sélection au sujet qu’elle veut illustrer. Pourquoi tout l’album Kurt Weill et non un aperçu plus large du travail de Loussier ? Pourquoi « Prelude To A Kiss » ou Cry Me A River » de Bolling ? Qu’apporte ici André Previn – certes bon pianiste de jazz ayant accédé au plus haut niveau comme interprète et chef d’orchestre classique – avec ces langoureuses « Secret Songs For Young Lovers ? S’il s’agit d’illustrer les cordes dans le jazz, les pion [...]

  • « Une caractéristique commune : le swing » par Jazz Magazine
    Categories : Press

    Des décennies durant, le vibraphoniste Dany Doriz, émule de Lionel Hampton, a dirigé et animé le Caveau de la Huchette. Crée en 1948, ce haut lieu parisien dédié à ce qu’il est convenu d’appeler « jazz classique » a ainsi vu défiler une foule de musiciens français ou étrangers, prestigieux ou moins connus, épaulés par les orchestres-maison. Du duo (avec Duffy Jackson) au big band (celui de Claude Bolling ou celui qu’il dirigea lui-même) en passant par ses divers trios, quartettes, quintettes ou octettes, ce sont six décennies de la carrière de ce musicien talentueux qui sont évoquées par ces enregistrements « live » ou en studio, en France ou à l’étranger. Parmi eux, quelques inédits et, surtout, l’occasion de mesurer la richesse d’une période marquée par une diversité de styles et d’interprètes. Entre Stéphane Grappelli et Lionel Hampton, ou encore Memphis Slim et Bob Wilber, sans compter des figures attachantes telles que Marcel Azzola, Marc Fosset, Michel Pastre ou André Villég [...]

  • « Un nouvel album plus précieux encore » par Classica
    Categories : Press

    Nous voilà au 19e volume de l’intégrale Mahalia Jackson, la grande chanteuse de gospel. Comme les précédents, il donne à entendre la voix puissante, vibrante, chargée de ferveur, de celle dont Martin Luther King disait : « Une voix comme celle-ci, ça n’arrive qu’une fois par millénaire. » Mais ce qui rend ce nouvel album plus précieux encore, ce sont les dix chants de Noël interprété avec l’orchestre et les chœurs de John Williams. Avec Mahalia, c’est un peu Noël, tous les jours. Par Jean-Pierre JACKSON – CLASSICA

  • « Ces trois CD sont soigneusement édités » par Classica
    Categories : Press

    Dany Doriz se passionne à 16 ans pour le vibraphone et le jazz. Voilà déjà dix ans qu’il suit des études classiques consacrées au piano et au saxophone, et puis il découvre le vibraphone et Lionel Hampton. L’instrument sera désormais avec lui pour la vie. Dany Doriz accompagnera ou invitera dans ses diverses formations Memphis Slim, Stéphane Grappelli, Marcel Azzola, Gérard Badini, Maxim Saury, Sacha Distel (guitariste), Scott Hamilton, Rhoda Scott, un véritable Who’s Who du jazz. Depuis 1970, il assure la direction et l’animation du Caveau de la Huchette tout en se produisant avec le Dany Doriz Big Band et la revue du Caveau de la Huchette Swing Show. En trois CD soigneusement édités, Patrick Frémeaux nous propose une anthologie des ses enregistrements de 1962 à 2021, permettant ainsi à la fois de rendre hommage à l’un des musiciens français les plus sous-estimé, et de rendre compte de cette carrière et de cette musique toujours pétrie de swing et d’énergie qui constitue un pan d [...]

  • « Un grand musicien français remis à l’honneur » Par Classica
    Categories : Press

    Alain Goraguer, comme Michel Legrand, Christian Chevallier ou Hubert Rostaing, fut à la fois musicien de jazz et compositeur de musiques de films. On connaît sa participation aux albums de Boris Vian, aux premiers de Serge Gainsbourg et à ceux de Jean Ferrat. L’anthologie qui nous est proposée permet de redécouvrir les diverses formations qu’il anima et les musiques de films qu’il composa entre 1956 et 1962. On reste confondu devant la diversité de son talent et la modernité intacte de ses compositions. Voilà un grand musicien français remis à l’honneur, et ce n’est que justice. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Enthousiasmant » par Jazz News
    Categories : Press

    Fondé en 1999 par Alexandre Litwak avec le souci de perpétuer une tradition klezmer qu’il connait sur le bout des doigts, (notamment grâce à son père Constantin à qui est dédié l’album), Le Gefilte Swing s’offre un troisième exercice discographique dans un registre élargi aux amis et expériences diverses. Si on reste quelque peu dubitatif devant la fusion avec le reggae (mais pourquoi pas après tout), les ponts jetés avec le jazz, la chanson et même le rock n’roll se révèlent à fait sensés, tant la tradition yiddish a contribué à l’histoire de ces répertoires dans des proportions considérables. De Benny Goodman à Johnny Mercer en passant par John Zorn : Alexandre Litwak synthétise à la perfection ces zones d’influences qui ne ploient jamais devant la tradition pour rester tout à fait audible à notre époque. Et même régulièrement enthousiasmantes. Par Bruno GUERMONPREZ - JAZZ NEWS

  • « Un CD original et épatant. » Par Jazz Magazine
    Categories : Press

    Avec « Respect » (Frémeaux & Associés / Socadisc) [****] du groupe Tap That Jazz (anciennement Les Oignons) on revient aux sources du jazz avec un orchestre de style Nouvelle Orléans pas comme les autres. Si les codes instrumentaux du genre sont bien là (soubassophone, banjo, washboard ou claquettes), le répertoire construit autour de grandes chansons féminines émancipatrices fait appel à Otis Redding, Billie Holiday ou Cesaria Evora autant qu’à Verdi, Bellini ou Bizet. Il en résulte un album étonnant où la qualité des arrangements et de l’interprétation autant que la voix puissante de June Milo nous emportent dans un tourbillon plein d’allant et de gaieté. Ce n’était pas gagné d’avance, mais voici un CD original et épatant ! Philippe VINCENT - JAZZMAGAZINE

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