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  • “There are plenty of heavyweights here” par Blues & Rhythm
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    “(…) To sum up then, the blues tends to win on points, but there are plenty of heavyweights here. I hesitate to say this is a complete knockout but it does tend to pack a punch.”Par Norman DARWEN - BLUES & RHYTHM

  • « Une croisière créole vintage » par Télérama
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    Cette croisière créole vintage s’ouvre avec Blind Blake, hérault du goombay des Bahamas, et se clôt sur le gwoka roots de Guadeloupe. Au total, quarante-huit titres gravés au milieu du XXe siècle, cultes (le Banana Boat Song de Harry Belafonte) ou inconnus, dont les rythmes sont nés de brassages insulaires, quand les esclaves ont importé leurs chants et leurs rites animistes hypnotiques. Bruno Blum, qui accompagne l’anthologie d’une série d’ouvrages du même nom, rend justice à leur rôle fondateur dans les musiques du monde. Par TELERAMA

  • « Des compositeurs qui ont marqué de leur griffe le grand écran » par Travelling
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    « Nouvelle Vague – Les Musiques de films, un coffret de 3 CD nous replonge en quelques mesures dans des classiques qui ont révolutionné le cinéma au début des années 60. Avec quelques compositeurs qui ont marqué de leur griffe le grand écran. Au générique de ce coffret Nouvelle Vague – Les Musiques de films (*), il y a quelques opus marquants : Les Amants, ou Ascenseur pour l’échafaud, de Louis Malle ; Les Liaisons dangereuses, de Roger Vadim; A bout de souffle, de Martial Solal ou encore Tirez sur le pianiste de François Truffaut. Entre autres… Nous sommes à la fin des années 50 et au début des années 60 quand le cinéma français est balayé par cette vague de créateurs avant-gardistes qui ruent dans les brancards, créent un nouveau corpus critique avant de passer à la réalisation et à la production. Dans cette évolution, la musique, souvent reléguée au second plan avant, prend une place de premier plan. Tout le monde se souvient que lors de la session d’enregistrement d’Ascenseur [...]

  • « Fait le bonheur des passionnés du 7e art comme du jazz » par TED
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    « Au mois de septembre, l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français tirait sa révérence. Jean-Paul Belmondo, Bebel pour les copains, fut l’un des artisans de la nouvelle vague du cinéma. En trois disques, et comme son titre l’indique, le jazz est à l’honneur dans ce joli cadeau que vous pourrez glisser sous l’arbre et qui fera le bonheur des passionnés du 7e art comme du jazz, évidemment. Avec beaucoup de soin, le maître d’œuvre Olivier Julien, qui supervisa une intégrale Michel Legrand, revisite donc ce qu’il est convenu d’appeler des classiques. Au fil des trois disques, Michel Legrand est bien présent dans Une femme est une femme (1961) tout comme dans Lola de Jacques Demy (1961). La palme revient évidemment à l’inoubliable Ascenseur pour l’échafaud (1958) sur une musique du tout jeune trompettiste Miles Davis ainsi qu’au batteur Art Blakey et ses Jazz Messengers dans Les liaisons dangereuses avec la partition envoûtante de l’instrumentiste Barney Wilen. Signalons auss [...]

  • « La crème de la crème de l’œuvre de ce grand créateur de mélodies » par Classic
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    S’il faut élire le plus grand compositeur de standards qui fut jamais, Georges Gershwin mérite à coup sûr la couronne. Des dizaines de ses chansons sont devenus dans le monde entier des classiques sans cesse réinterprétés, renouvelés, chacune et chacun trouvant dans leur grille harmonique, dans la respiration et l’énonciation des paroles, sa voix et sa voie personnelles. Paradoxe apparent du matériel musical commun autorisant précisément, et même nécessitant les traitements les plus personnalisés. En 3 CD, ce coffret est l’occasion de découvrir ou de se remémorer la richesse de ce répertoire et la variété de ses visons musicales. Tout d’abord à travers treize interprétations devenues légendaires des interprétations de Gerschwin, puis trois enregistrements de Porgy an Bess en trois chefs-d’œuvre insurpassables : le grand orchestre de Miles Davis en 1958, le duo magnifique d’Ella Fitzgerald et Louis Armstrong, le trio classique d’Oscar Peterson. Viennent ensuite ses compositions plu [...]

  • « Des enregistrements d’une rare qualité » par Télérama
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    Est-ce une prière de Celia Cruz qui inspira à John Barry le thème de James Bond ? A vous de juger ! Ce coffret, toutefois, ne montre pas seulement l’influence sur les musiques afro-cubaines de la santeria, cette religion à la gloire des saints célébrés avec tant de ferveur par les pionniers du latin jazz, de la rumba et de la salsa (avec Mongo Santamaria, Chano Pozo, Tito Puente…) Il documente aussi sa richesse polyphonique et rythmique, ainsi que son enracinement dans les cultures yoruba, on, bantoue et igbo d’Afrique, grâce à des enregistrements de terrain d’une rare qualité.Par TELERAMA

  • « En vrai leader dans ce « live in Paris ». A redécouvrir »
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    Surnommé the Rabbit (le lapin), Johnny Hodges (1907-1970) fut durant plus de quarante ans un des piliers de l’orchestre de Duke Ellington. Fidèle parmi les fidèles du pupitre des saxophonistes, l’altiste aimait également s’affranchir de cette tutelle et amitié pour se poser en vrai leader. C’est ainsi, avec d’autres ellingtoniens de marque, il se présente à Paris en 1961. La collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés) restitue ces moments enregistrés en direct le 13 mars 1961 à l’Olympia de Paris. Accompagné par les bien nommés Duke Ellington Giants, parmi lesquels les cadors comme Harry Carney (saxe-baryton), son pote de toujours, Ray Nance (violon/chant/cornet) et Aaron Bell (contrebasse), il revisite, avec cette sonorité de velours suave langoureuse et sensuelle, les standards et autres compositions du Duke. A redécouvrir.Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN HEBDO

  • « De l’art pur » par C’est du livre ou du bon
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    « De, 1928 jusqu’à 1970, date de son départ de façon inusitée sur la chaise d’un dentiste, le saxophoniste alto Johnny Hogdes surnommé «  rabbit » fut l’un des piliers du grand orchestre de Duke Ellington. Sonorité unique dans l’histoire du jazz, reconnaissable dès les premières mesures, son phrasé, sa délicatesse tout comme son sens de l’improvisation en firent un maitre hors catégorie.  Il s’aventura peu hors du giron ellingtonien (1950-1955) et cette nouveauté devant public se situe lors d’une rare tournée européenne qui culminera au Sportpalast de Berli sous la forme d’un disque double (Pablo) qui vaut encore son pesant d’or. Ayant rameuté ses copains : Aaron Bell, contrebasse, Lawrence Brown, trombone, Harry Carney, saxophone baryton, Ray Nance, cornet, violon et chant, Al Williams et le redoutable batteur Sam Woodyard, cette tournée fut un pot–pourri tiré du répertoire Ellington, avec une exception : Blues for Madeleine, écrit par le saxophoniste. Celui que le saxophoniste C [...]

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