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  • « L’un des plus grands compositeurs italiens du XXe siècle » par Paris Move
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    « Né le 3 décembre 1911 à Milan dans une famille de musiciens, Nino Rota étudia dès son enfance au conservatoire de la capitale de la Lombardie, où il acquit une renommée précoce en tant que compositeur et chef d’orchestre (son premier oratorio, “L’Infanzia Di San Giovanni Battista”, fut représenté à Milan et à Paris quand il n’avait que douze ans!). Sur les conseils d’Arturo Toscanini, notre jeune surdoué obtint ensuite une bourse pour se perfectionner au Curtis Institute de Philadelphie, où il étudia de 1930 à 1932. De retour à Milan, il se consacra à son tour à l’enseignement de la musique tout en poursuivant son œuvre de compositeur, et prit en 1950 la direction du conservatoire de Bari, qu’il assura jusqu’à sa mort en 1979. Rota écrivit ses premières partitions pour le cinéma dès 1933 avec “Treno Popolare” de Raffaelo Matarazzo, suivi de “Jour De Noces” du même réalisateur, puis “Zazà”, de Renato Castellani en 1944. Il travailla aussi pour Edgar G. Ulmer, Alberto Lattuada, He [...]

  • « Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste » par Robert Latxague
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    « On le sent, on le perçoit aussitôt : sa langue vernaculaire de chant, c’est bien celle du Brésil, pays qu’elle a adopté pour ses musiques, pays continent dont elle a arpenté les scènes, terre natale du père musicien de ses enfants. Alors dans sa bouche, dans la vibration douce de ses cordes vocales Tarde aussi bien que Vera Cruz ou encore Caminho Solar– version chantée du mythique Footprints des années d’or de Blue Note- sonnent aux accents parfaits cariocas, nordeste et compagnie. Pourtant le sujet de ce nouvel album passe bel et bien par une référence -référence ?- aux talents de compositeurs de Wayne Shorter. Sa voix suave, mesurée, maîtrisée l’y sert au premier chef. Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste sacralisé chez Miles Davis déjà, « mondialisé » via Weather Report pour ensuite un aboutissement au sein de son quartet jusqu’à ce jour (My Children of The night, Infant Eyes) Justement, comment ne pas souligner, comment passer sous silence cette façon très person [...]

  • « Quelle ferveur et quelle exigence » par Paris Move
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    « (…) Jamais à court de défis, c’est en compagnie d’une dream-team où s’illustrent les percussionnistes Robertinho Silva et Minino Garay, le contrebassiste Felipe Cabrera, le batteur Lukmil Perez, le superbe pianiste Leo Montana, ainsi que les saxophonistes Irving Acao (également en charge des arrangements) et Baptiste Herbin (sans oublier ses propres rejetons, Gaël et Julian Leprince-Caetano), qu’elle se propose à présent d’adapter une demi-douzaine d’originaux du mythique Wayne Shorter, quitte à les doter pour la circonstance de lyrics de son cru. Dès le majestueux “Eleonora (Lady Day)” introductif, on mesure avec quelle ferveur et quelle exigence Manu et ses hommes se sont investis dans ce projet. Assortissant de breaks latins le “Speak No Evil” de Shorter, ou “brazilianisant” la plage titulaire (avec le sax sinueux de Baptiste Herbin, et les ivoires virevoltants d’un Montana en état de grâce), Madame Le Prince surplombe magistralement ces adaptations de son timbre subtilement [...]

  • “Thoughtful blend of songs” by Journal of Gospel Music
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    Fremeaux & Associes spotlights the estimable contributions of females, specifically female gospel groups, on Gospel: Female Gospel Groups 1940-1962, the sixth volume in its multi-disc reissue effort. The French firm has previously mined the golden age of gospel music with packages on male quartets, guitar evangelists, female soloists, and collections dedicated to Mahalia Jackson and the Roberta Martin Singers.While the 72-track, 3-CD set collection features many artists whose work has been reissued, it focuses on lesser-known gems from their catalogues (…). The smart selection of songs doesn’t leave out regional groups (…). Gospel: Female Gospel Groups 1940-1962 includes album notes in French, a summary in English, and a discography that includes everything but the labels associated with the selections. In all, this sixth volume is a well-curated and crisply produced package of performances by women who helped make gospel gospel. Even hardcore collectors will find it enjoyable for [...]

  • « Plus pertinente que jamais » Par Enseignement catholique actualités
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    « Après des étés caniculaires qui provoquent des mégafeux, la question du philosophe Dominique Bourg aux experts du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), Jean Jouzel et Hervé Le Treut, semble plus pertinente que jamais : si le Giec a évalué la trajectoire du climat, n’a-t-il pas sous-estimé l’apparition rapide d’événements extrêmes ? Les scientifiques sont effarés par la lente prise de conscience et s’estiment peu entendus. « On continue à émettre beaucoup de gaz à effets de serre. Or, le retard pris, on le paiera dans le futur, prévient Jean Jouzel. Le temps perdu ne se rattrapera pas… »Par MB – ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE ACTUALITES

  • « Edifiant et fort instructif » par La Dimension du sens que nous sommes
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    « Jean Jouzel, paléoclimatologue, qui fut le président du GIEC de 2002 à 2015, Hervé Le Treut, climatologue, spécialiste de la simulation numérique au GIEC et le philosophe Dominique Bourg, dressent le bilan de soixante années d'études internationales consacrées au climat, en s'attachant beaucoup à retracer l'histoire du GIEC depuis sa création, en 1988.Un document essentiel pour quiconque veut comprendre le vif des débats autour du réchauffement climatique, et n'entend pas s'enfermer dans le seul périmètre des questions de températures...Or, à tout le moins, la déception dont ils témoignent quant aux décisions qui auraient dû être prises, est tristement révélatrice : nous irons droit dans le mur. Non pas «nous allons», mais nous irons, comme animés par la volonté farouche d'en finir avec nous-mêmes... Nous y sommes du reste déjà, tant, surtout, la classe politique se refuse à agir pour nous éviter le pire.Certes, l'été 2022 aura marqué un tournant. Tout le monde y sera allé de so [...]

  • « Un album tonique et inventif » par Chant..Songs
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    « Belles de nuit, c’est la bande originale du spectacle musical qui évoque le crépuscule des maisons closes au lendemain de 39-45. La bande son de la fin d’une époque. Il faut une certaine audace en pleine époque du mouvement (pleinement justifié) #MeToo pour signer un spectacle musical, Belles de nuit, en souvenir du vieux temps des maisons closes. Ou plutôt d’une période charnière et cette année 1946 où ces lieux sont vite menacés de fermeture par la loi Marthe-Richard, votée en avril. Cette loi qui abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Auteur et compositeur de l’ensemble des chansons de ce spectacle musical, Jonathan Kerr raconte pourtant en onze titres le destin de Jacotte, Lucienne, Jeanne, Yvonne et Momo à la veille de la fermeture des bordels. Accompagné d’un trio de jazz, le spectacle met l’accent sur la vie de ces femmes dans laquelle si la vie n’avait pas sa place, les rêves ne manquaient pas. S’il manque au disque, la chaleur d’une pr [...]

  • « Un univers de lumières et de mouvements » par Le Monde
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    « En 2014, le saxophoniste Wayne Shorter avait déjà reçu un hommage phonographique par son collègue Dave Liebman au sein d’un big band. Cette fois, c’est la chanteuse et pianiste Manu Le Prince qui célèbre la musique de Shorter avec Children of the Night, titre d’une composition de 1961 du saxophoniste pour l’album Mosaic des Jazz Messengers d’Art Blakey dont il faisait alors partie. Voix chaude, expressive, Manu Le Prince va au-delà de la traduction vocale du jeu de Shorter, en écrivant des textes qui évoluent sur les courbes mélodiques. Elle chante ce « son de la musique qui me donne le frisson » dans Eleanora (Lady Day), qui était un hommage de Shorter à Billie Holiday enregistré en 1965 pour l’album The Soothsayer ; « les mers des harmonies » dans Children of the Night ; un univers de lumières et de mouvements dans Footprints (1966)… Avec elle, un quartette, où le saxophoniste Irving Acao est dans l’évocation des sinuosités, les fluidités de Shorter, et quelques invités. Tous [...]

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