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  • « Edifiant et fort instructif » par La Dimension du sens que nous sommes
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    « Jean Jouzel, paléoclimatologue, qui fut le président du GIEC de 2002 à 2015, Hervé Le Treut, climatologue, spécialiste de la simulation numérique au GIEC et le philosophe Dominique Bourg, dressent le bilan de soixante années d'études internationales consacrées au climat, en s'attachant beaucoup à retracer l'histoire du GIEC depuis sa création, en 1988.Un document essentiel pour quiconque veut comprendre le vif des débats autour du réchauffement climatique, et n'entend pas s'enfermer dans le seul périmètre des questions de températures...Or, à tout le moins, la déception dont ils témoignent quant aux décisions qui auraient dû être prises, est tristement révélatrice : nous irons droit dans le mur. Non pas «nous allons», mais nous irons, comme animés par la volonté farouche d'en finir avec nous-mêmes... Nous y sommes du reste déjà, tant, surtout, la classe politique se refuse à agir pour nous éviter le pire.Certes, l'été 2022 aura marqué un tournant. Tout le monde y sera allé de so [...]

  • « Un album tonique et inventif » par Chant..Songs
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    « Belles de nuit, c’est la bande originale du spectacle musical qui évoque le crépuscule des maisons closes au lendemain de 39-45. La bande son de la fin d’une époque. Il faut une certaine audace en pleine époque du mouvement (pleinement justifié) #MeToo pour signer un spectacle musical, Belles de nuit, en souvenir du vieux temps des maisons closes. Ou plutôt d’une période charnière et cette année 1946 où ces lieux sont vite menacés de fermeture par la loi Marthe-Richard, votée en avril. Cette loi qui abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Auteur et compositeur de l’ensemble des chansons de ce spectacle musical, Jonathan Kerr raconte pourtant en onze titres le destin de Jacotte, Lucienne, Jeanne, Yvonne et Momo à la veille de la fermeture des bordels. Accompagné d’un trio de jazz, le spectacle met l’accent sur la vie de ces femmes dans laquelle si la vie n’avait pas sa place, les rêves ne manquaient pas. S’il manque au disque, la chaleur d’une pr [...]

  • « Un univers de lumières et de mouvements » par Le Monde
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    « En 2014, le saxophoniste Wayne Shorter avait déjà reçu un hommage phonographique par son collègue Dave Liebman au sein d’un big band. Cette fois, c’est la chanteuse et pianiste Manu Le Prince qui célèbre la musique de Shorter avec Children of the Night, titre d’une composition de 1961 du saxophoniste pour l’album Mosaic des Jazz Messengers d’Art Blakey dont il faisait alors partie. Voix chaude, expressive, Manu Le Prince va au-delà de la traduction vocale du jeu de Shorter, en écrivant des textes qui évoluent sur les courbes mélodiques. Elle chante ce « son de la musique qui me donne le frisson » dans Eleanora (Lady Day), qui était un hommage de Shorter à Billie Holiday enregistré en 1965 pour l’album The Soothsayer ; « les mers des harmonies » dans Children of the Night ; un univers de lumières et de mouvements dans Footprints (1966)… Avec elle, un quartette, où le saxophoniste Irving Acao est dans l’évocation des sinuosités, les fluidités de Shorter, et quelques invités. Tous [...]

  • « Une réussite totale » par ABS Magazine
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    « De la fin des années 30 jusque dans les années 70, le black gospel traditionnel a connu son Âge d’Or et un engouement énorme et généralisé dans les communautés africaines américaines, alors qu’il était ignoré ou presque partout ailleurs (1). Mais le gospel, comme toutes les musiques populaires, a évolué et, de nos jours, c’est un gospel dit « contemporain » (très proche de la soul music, de la pop et du rap) qui a les faveurs du public noir US, pendant que l’Europe et le reste du monde découvrent enfin les trésors du gospel traditionnel grâce à des compagnies comme Ace Records en Angleterre, Gospel Friend en Suède, Frémeaux et Associés en France et une poignée d’autres, qui rééditent la crème de la crème de ce style musical exceptionnel (2) et ses bonnes nouvelles (… « Good News, la vie est courte et dure, voire abominable, mais ensuite, pour les Justes, ce sera le bonheur et la joie pour l’éternité »…). (3) C’est dans cette période que les femmes, solistes ou membres de groupes [...]

  • « Un enregistrement qui peut faire du bien à toute la famille. » par l’Adem
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    « L’enregistrement débute avec des conseils aux parents, pour qu’ils puissent aider les enfants dans ce travail. Ensuite il y aura des exercices sous la forme de petites histoires qui traitent de la vie de Petit scarabée. Ils aideront les  enfants à prendre conscience  de leurs émotions et à apprendre à les gérer. Les situations proposées, qui racontent la vie et les problèmes de Petit scarabée, sont semblables à celles qui vivent les enfants, et ils pourront donc s’y identifier. Quelques signaux sonores permettent de repérer les différentes activités, dans lesquelles sont incluses des informations scientifiques.Un enregistrement qui peut faire du bien à toute la famille. »Par Cristina AGOSTI-GHERBAN – ADEM

  • « Parvient à séduire, convaincre, instruire et enthousiasmer » par ABS Mag
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    « Comme de très nombreux enfants, le petit garçon Sébastien Troendlé apprit à jouer du piano classique. Mais, un jour, le diable qui rôde partout, introduisit chez lui le goût du ragtime et du boogie woogie et le désir de l’interpréter. Sébastien Troendlé intégra la section Jazz du Conservatoire de l’Académie de Bâle où il lui fut très souvent reproché d’incorporer trop de ragtime, de boogie woogie et de blues dans sa musique. Grâce à son talent, il reçut son diplôme de fin d’étude. Depuis, il s’est forgé une réputation dans la variété française, le reggae, le jazz et, bien sûr, dans ses musiques de prédilection, le ragtime et le boogie woogie. Une main gauche souple et solide, une droite bluesy qui développe la mélodie avec inventivité, une remarquable technique et un swing impeccable caractérisent son jeu de piano. En outre, il allie le talent d’artiste à celui de pédagogue. Aussi a-t-il créé deux spectacles originaux pour promouvoir les musiques qu’il aime, au lieu de se conten [...]

  • « La crème des jazzmen français et latinos américains » par Jazz Gazette
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    « Manu Le Prince a toujours eu deux amours : la musique brésilienne, dont elle est une authentique ambassadrice en France, et le jazz. Cet amour et vénération pour la musique afro-américaine, la chanteuse à la voix suave et mais toujours enjouée et pleine de swing, vient à nouveau de le déclarer dans son hommage au légendaire et historique compositeur et saxophoniste Wayne Shorter, qui vient de célébrer ses 89 ans. (…) Pour réussir et parfaire cette entreprise périlleuse, Manu Le Prince a convoqué la crème des jazzmen français et latinos américains comme ses fils Julian (piano) et Gaël (percussions), Baptiste Herbin (saxe), Minino Garay (percussions), Felipe Cabrera (contrebasse) et Lukmil Perez (batterie). » Par Didier PENNEQUIN – JAZZ GAZETTE

  • « Un ensemble tout à fait harmonieux » par Culture Jazz
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    « Hommage à Wayne Shorter (qui a adoubé le travail de la chanteuse pour l’occasion), le nouveau disque de Manu Le Prince, si tant est qu’il soit fidèle au légendaire saxophoniste, sait s’en démarquer et avancer sur des territoires plus personnels et relatifs au parcours de la chanteuse. De cette balance entre ces deux pôles nait l’équilibre qui caractérise cet enregistrement. Sur une musique sans fard, la voix de Manu Le Prince pose son grain et les paroles qu’elle a composées. Chacun des musiciens donne sa ligne au profit d’un ensemble tout à fait harmonieux. Les titres défilent en souplesse et l’on pourrait même penser que le groupe les joue depuis longtemps car ils sont pétris d’une belle empathie. Entre jazz et racines brésiliennes bien mêlés, le propos ne manque jamais de saveur et ne déçoit pas l’oreille qui l’écoute. » Par Yves DORISSON – CULTURE JAZZ

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