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  • “A poignancy and creative freedom” by Guitar Vintage
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    “Patrick Leguidecoq, better known as Romane, has been a pioneer of the Gypsy jazz revival. (…) The title track evokes a midnight walk down an eerie, dark street and unveils itself like a mysterious late-night melody heard from afar, building in intensity as the trio improvises. “Opus De Clignancourt” is a high-energy romp with guitar and violin duplicating the joyous melody line before Romane is set free to unreel some of the vibrant and inventive riffs for which he’s famed. The charging bass line drives the song. “Dans Le Regard De Laura” – perhaps his most famous and lovely tune – is reinvented here with a poignancy and creative freedom that comes with three decades of playing the song. Both Romane’s lead lines and stylish rhythm breathe new life into the melody.” Michael DREGNI – GUITAR VINTAGE

  • « Absolument splendide » par Classica
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    « Un disque de Daniel Humair est toujours une grande joie. D’abord parce que l’on sait que la liberté en est la base, ensuite parce que pouvoir écouter l’un des plus grands batteurs vivants est un privilège. A travers des compositions soignées, on pénètre dans un univers singulier où la distinction entre « soufflants » et batterie n’a pas de sens, tant l’approche des tambours et des cymbales est strictement musicale et précisément éloignée du… tambour. Il s’agit ici de couleurs, de souffles, de timbres, bref d’une sorte de percussion poétique ou de poésie percussive. Le groupe est impeccable d’entente et de partage du projet, ce qui rend ce « Drum Thing » absolument splendide. » Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Œuvre d’une vie » par Jazz News
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    Œuvre d’une vie, les chapitres des Biguine Reflections d’Alain Jean-Marie se voient enfin rassemblés en un seul volume. Entouré du bassiste Eric Vinceno, des batteurs Serge Marne puis Jean-Claude Montredon, le pianiste guadeloupéen allait sculpter sur plus de vingt ans un massif à nul autre pareil unissant deux musiques créoles-jazz et biguine – avec toute la sensibilité de l’immense instrumentiste qu’il est. Assez pour transcender la notion de jazz antillais et prétendre au titre d’indispensable de nos discothèques. Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Une tonicité et un entrain communicatifs » par Classica
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    Le Klezmer rituel, musique instrumentale populaire des juifs ashkénazes, ne pouvaient échapper à l’influence du jazz (voire du reggae avec Du Shaynts Vi Di Zin), même si la tradition y vibre encore de belles couleurs. Alexandre Litwak et son Klez’N’Zazou interprètent ainsi quatorze chansons avec une tonicité et un entrain communicatifs, mêlant comme il est de rigueur dans le genre, la joie la plus terrestre à la nostalgie la plus poignante (Mashav), parfois au sein d’un même morceau (Yid Un Goy Fantasy). Soigneusement arrangé, le répertoire à l’interprétation essentiellement collective réserve de beaux moments où chante la mémoire et se lèvent les fantômes d’un peuple musicien dans l’âme. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Le charmeur de l’orgue à bouche » par Pascal Anquetil
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    Assis sur son tabouret, ramassé sur lui-même, de grosses lunettes, une petite moustache et la crinière blanches, les mains tenant l’harmonica et les pieds marquant la cadence dans le vide, Toots, entre deux respirations, laisse échapper un petit rire de plaisir et aligne, heureux comme un jeune homme amoureux, les improvisations comme d’autres les rêveries. Avec l’élégance du poète et ce soupçon de nonchalance qui fait toute la différence. Entre larme et sourire, la  souplesse ondoyante de son jeu, la fièvre lyrique qu’elle communique, sans jamais tomber dans le piège de la joliesse ou de la nostalgie attendrie, forcent l’écoute et envoûtent. Dès qu’il joue, il n’a qu’un seul propos : chanter le plus naturellement du monde avec le plus ingrat et enfantin des instruments. Il y parvient à chaque fois qu’il embouche son harmonica, prenant le dessus sur les autres musiciens qui semblent s’effacer devant sa prise de parole aussi bouleversante qu’essentielle.Sa vie est un vrai conte de [...]

  • « Les perles sont nombreuses » par Soul Bag
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    Mai 1962 : sept mois après ses débuts parisiens (documentés par Frémeaux sur « The Complete 1961 Paris Recordings »), Ray Charles est de retour, cette fois-ci pour plusieurs soirées à l’Olympia. L’orchestre et les Raelets sont inchangés, mais Ray, qui avait choisi l’orgue en octobre 1961, est de retour au piano, et le répertoire proposé fait une place importante à des titres récents, parus en single ou sur l’album « Modern Sounds In Country & Western Music ». Le présent coffret ne reprend pas l’intégrale des concerts, mais une sélection de titres empruntés à six différents récitals, arrangés de façon à reproduire le format des concerts de l’époque, à savoir une série de titres instrumentaux, puis de morceaux chantés, avec l’arrivée en cours de route des Raelets et le final rituel du « What’d I say ». Une partie du programme présenté ici est déjà parue il y a quelques années chez Frémeaux (sous la référence FA 5466) dans la collection « Live in Paris », mais la présente édition y a [...]

  • « Les grands classiques de Ray Charles » par Couleurs Jazz
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    « La richesse de l’œuvre de Ray Charles est illustrée de façon satisfaisante par ses faces produites en studio. Cependant, il est bien utile pour en saisir toute l’ampleur de disposer aussi des enregistrements réalisés lors de concerts car le genius, en perpétuel renouvellement, testait souvent à ces occasions de nouvelles orientations musicales. C’est la voie empruntée par les éditions Frémeaux & Associés avec les coffrets « Live At Newport, 1960 » (FA 5643), « Ray Charles à Antibes, 1961″ (FA 5738) et « The Complete 1961 Paris Recordings, Palais des Sports » (FA 5748), tous concoctés de main de maître par l’éminent spécialiste Joël Dufour. Avec le même aux commandes, voici les trois CD de « Live At The Olympia 1962 » (FA 5811) qui reprennent une sélection de titres enregistrés lors des dix prestations de Ray et de son orchestre à l’Olympia de Paris.On trouve au répertoire les grands classiques de Ray Charles (What’d I Say, The Right Time) accueillis par les applaudissements nour [...]

  • « 224 minutes de swing et de félicité céleste » par Paris Move
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    « Décidément, chaque année vers la même période, le spécialiste français du Genius, Joël Dufour, semble tenir à nous gratifier de time-capsules plus roboratives les unes que les autres. Alternant blues depuis le fond du trou (“Danger Zone”, “Careless Love” ou l’inédit – et manifestement improvisé “on the spot” “Untitled Blues”), jazz échevelé à la frontière du swing et du bop (“Marie”, “Alexander’s Ragtime Band”) où étincellent les cuivres de son rutilant big band (avec pour solistes tueurs Hank Crawford et David ‘Fathead’ Newman), hits encore tout frais (“Hallelujah I Love her So”, “Unchain My Heart”, “Hit The Road, Jack”) et réminiscences gospel à tomber à genoux (“Georgia On My Mind”, “I Believe To My Soul”, “Drown In My Own Tears”), ce coffret triple CD déploie en 60 plages un panégyrique des dix récitals que Ray Charles offrit à la réputée plus belle ville du monde, du 17 au 25 mai 1962, tout en annonçant l’un de ses crossovers ultimes (l’alors imminent LP “Modern Sounds In C [...]

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