Rodolphe Raffalli
Rodolphe Raffalli
Ref.: LLL335

CHANSONNETTES

Rodolphe Raffalli

Ref.: LLL335

Direction Artistique : PATRICK FREMEAUX

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 59 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

Avec Chansonnettes Rodolphe Raffalli rend hommage au grand répertoire, aux chansons populaires de Piaf, Trenet, Aznavour, Ferré, mais aussi Brassens ou Michel Legrand, tous ces airs fredonnés par chacun, qui ont su traverser âges et continents pour désormais faire partie du patrimoine immatériel universel. La qualité de l’interprétation conforte une nouvelle fois la place qu’occupe Rodolphe Raffalli en tant que guitariste d’une musicalité exceptionnelle. Sans avoir de compte à rendre, il s’approprie le répertoire avec humanité et y apporte une touche tendrement décalée. Une démonstration éclatante de liberté. Augustin BONDOUX

With Chansonnettes Rodolphe Raffalli pays tribute to the great French Songbook. Not only to the popular songs of Piaf, Trenet, Aznavour and Ferré, but also to titles by Brassens or Michel Legrand, all those tunes which everybody has hummed over the years, even on other continents, making them part of our national heritage. Their quality is reflected in the performance of Rodolphe Raffalli, who once again confirms his status as an exceptionally musical instrumentalist. A highly individual guitarist with nothing to prove, he makes this repertoire his own, showing humanity and a tender, personal touch that sets him apart. A dazzling demonstration of freedom.
Narcisse d’ALMEIDA
  Patrick Frémeaux, Rodolphe Raffalli
et Augustin Bondoux

PRODUCTION : P. FRÉMEAUX, A. BONDOUX POUR LABEL LA LICHERE - FREMEAUX & ASSOCIES AVEC LE SOUTIEN DE LA SCPP

PARTENARIAT : TSF

DROITS : GROUPE FREMEAUX COLOMBINI.


RODOLPHE RAFFALLI : GUITARE SOLOS • FELIX BELLEAU : ACCORDEON/ACCORDINA • DAVID GASTINE : CHANT ET GUITARE RYTHMIQUE • SEBASTIEN GASTINE : CONTREBASSE • SAMUEL LERNER : PIANO
PADAM... PADAM • LES OISEAUX DE PARIS • TOI TU NE RESSEMBLES À PERSONNE • LES TROMPETTES DE LA RENOMMÉE • SUR MA VIE • I WILL WAIT FOR YOU • EST-CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT ? • LE VIEUX PIANO DE LA PLAGE • L’AMANDIER • TROIS PETITES NOTES DE MUSIQUE • LA CHANSONNETTE • MILORD • LES MOULINS DE MON COEUR • UNE JOLIE FLEUR • SA JEUNESSE • LA MAUVAISE HERBE • BONUS TRACK : I WILL WAIT FOR YOU.



Presse
RAFFALLI RODOLPHEGuitariste français né le 20 mai 1959, Rodolphe Raffalli commence l'apprentissage de son instrument dès l'âge de 8 ans.  Caractérisé par sa maîtrise de la guitare jazz (particulièrement swing dans la lignée de Django Reinhardt) il est également réputé pour son éclectisme : musique classique et styles sud-américains n’ont en effet plus de secret pour Rodolphe.  Autodidacte, il fait ses premiers pas à la guitare sous le signe tutélaire du grand Django Reinhardt, mais loin de s’enfermer dans une esthétique unique, Rodolphe fréquente avec bonheur les chemins de traverse qui lui feront tour à tour découvrir la chanson française, la musique classique, le folklore d'Amérique latine, le jazz traditionnel et surtout l'improvisation.  Fin des années 1970, suite à sa rencontre du guitariste argentin Martin Torrés (Guitare d'Or au Mondial de Venise 1976), Rodolphe fréquente les manouches et gitans des puces de Saint-Ouen (Ninine et Mondine Garcia) comme du très montmartrois Clairon des chasseurs (Maurice Ferret et Joseph Pouville). Retour aux sources pour ce franco-italo-corse qui intègre l’héritage de Django Reinhardt dans une esthétique propre où flotte, de manière sensible mais notable, l’esprit d’un autre italien, d’un autre émule de Django : le grand Henri Crolla.  Rodolphe est alors amené à approfondir sa connaissance des grands standards de jazz d’outre-atlantique (ces tubes indémodables des grands Cole Porter, Jerome Kern, Georges Gershwin, Fats Waller, Sidney Bechet, etc.) et élargit sa syntaxe harmonique à l’écoute du jazz américain.  Nouvelle aventure en 1982 avec une incursion très sérieuse dans le classique où, tout autodidacte qu’il est, il étudie (sa seule oreille pour complice) les grands noms de la composition pour six-cordes : Bach, Scarlatti, Haendel, Villa-Lobos, etc.  La route de Raffalli est également pavée de musiques sud-américaines, riches en guitares. Lui qui connut Atahulpa Yupanqui tout jeune à Paris, passa des heures au coeur du quartier latin à faire chanter sa guitare entouré de musiciens du Paraguay, du Pérou, d'Argentine et du Brésil.  C’est toutefois sa maîtrise du swing manouche qui lui vaut sa réputation et sa renommée grandissante en Europe. Rodolphe joue avec tous les manouches de Paris : Angelo Debarre, Moreno Winterstein, Christian Escoudé, pour ne pas citer le « clan » de la Chope des puces : Ninine, Mondine et autres Tchavolo Schmidt !  C’est par un coup de maître qu’il se fait connaître du grand public. En 2001, Rodolphe se décide à enregistrer son premier album ! L’année est symbolique ; ce sont les 80 ans de la naissance de Georges Brassens, mais aussi le vingtième anniversaire de son décès. Rodolphe lui consacre un album magnifique, tout de lyrisme et de pudeur, d’admiration fertile et de travestissements respectueux. Publié par le label La Lichère et Frémeaux & Associés, le disque fut un événement médiatique et à connu la bagatelle de quelques 15 000 ventes (disque d’or dans le Jazz), score exceptionnel pour ce petit monde alors pas si à la page qu’aujourd’hui : le swing manouche. Meilleure vente de jazz 2002 pour un éditeur indépendant (d’après GFK Pannel), le disque inspire au grand critique Alain Gerber les mots suivants : « Personne avant lui n’avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis » (Diapason).  Deux ans plus tard, Monsieur Raffalli, qui a désormais droit de cité dans les médias et clubs de jazz, nous gratifie d’un second disque, plus purement jazz-swing que le précédent, mais tout aussi original : compositions de Django alternent avec des adaptations de quelques monstres sacrés de la variété (Aznavour, Trenet, Gainsbourg !), standards américains et compositions personnelles. « Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffalli entre à 42 ans dans la cour des grands. Un must. », dixit Francis Couvreux dans Trad Mag.  Acclamé par la critique, suivi par un public fidèle, Rodolphe Raffalli, derrière sa quasi immuable réserve et timidité, continue d’innover, de chercher les métissages harmoniques qui font sa griffe : celle d’un des très grands guitaristes actuels du jazz à la française. Laissons le mot de la fin à Hervé Guilleminot, qui note très justement dans Classica : « Chez Raffalli, on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Tout un monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ». Presque une affaire de morale… »  En novembre 2006, Rodolphe nous propose un volume 2 de l’Hommage à Georges Brassens avec « Chanson pour l’Auvergnat », « Les sabots d’Hélène », « Le parapluie », « La mauvaise réputation », qui continue d’affirmer la fertilité du métissage entre création contemporaine et patrimoine intemporel.  Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux.  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Francis Couvreux parle de Rodolphe Raffalli (inclus dans le livret du CD Hommage à Brassens – vol. 1) :  « Né en 1959 en Seine-et-Marne de père corse et de mère italienne, Rodolphe Raffalli se jette très tôt dans la musique ; il apprend la guitare en autodidacte en faisant preuve d’emblée d’une grande curiosité musicale. En 1977, il rencontre le guitariste argentin Martin Torrès puis côtoie gitans et manouches : Mondine et Ninine Garcia à la Chope des puces à Saint Ouen, Maurice Ferret et Joseph Pouville au Clairon des chasseurs à Montmartre ; école exigeante que cette veine populaire du swing manouche : là on joue six heures par d’affilée un répertoire très éclectique qui va de Piaf à Django en passant par les standards américains, la bossa, la valse musette, la musique tzigane ou les airs à la mode. A partir de 1981, Rodolphe approfondit les standards de jazz et perfectionne son répertoire dans les cafés-concerts tout en travaillant seul la guitare classique. Il cultive, en parallèle, la tradition du western swing tout en continuant, par goût et pour gagner sa vie, à faire la navette entre la musique de Django et les musiques sud américaines qu’il affectionne et pratique régulièrement avec des musiciens du Paraguay, du Pérou, du Brésil ou d’Argentine ; bref, une formation complète et une solide expérience qui permettent à Rodolphe d’être à l’aise dans tous les jazz et capable de s’adapter à tous les contextes. Malgré une timidité maladive et une discrétion rare qui poussent ce Buster Keaton de la guitare à ne jamais se mettre en avant, son talent le fait bien sûr reprérer : il se produit avec des musiciens aussi différents que le pianiste Ahmet Gülbay, l’accordéoniste Jean-Claude Laudat, les violonistes Jacques Quézin et Florin Nicolescu, ainsi qu’avec tous les plus clients de la guitare rabouine. Il est invité dans de grands festivals : Samois, Gypsy swing d’Angers, Oslo, nuits de la guitare de Patrimonio… mais c’est son premier vrai disque, la relecture poético-swing de l’œuvre de Georges Brassens qui le fait très justement exploser : un CD magnifique, unanimement salué par la critique et qui s’est vu décerner pas mal de prix et récompenses ; ce fut l’occasion pour un public élargi de découvrir un styliste élégant et raffiné, un sentimental avec une sensibilité à la Crolla, toujours attentif à la mélodie et à la respiration.  Avec un deuxième opus plus résolument jazz mais pas seulement (cf. la poésie de Roses de Picardie, l’étonnante relecture de God bless the child ou le très beau Alfonsina y el mar illuminé par le violon inspiré de Florin Nicolescu), Rodolphe confirme tout le bien qu’on pensait de lui. Son phrasé personnel a la rigueur et l’ascèse de la musique classique, allié à un sens aigu du swing et de l’improvisation. Maturité, maîtrise et musicalité sont les maîtres mots de ce nouveau disque d’un vrai musicien avec lequel il va falloir désormais compter !  Francis COUVREUX  © 2004 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Rodolphe was born near Paris in 1959. He began to play the guitar very young as a self-taught musician. If his encounter with the Gypsy world of guitar players is crucial, Rodolphe’s main character and talent is his eclectism : this musician can play the South-american folklore as well as the classical repertoire for the guitar ! Rodolphe has the soul of the gypsy guitarist. He met them all, down in Saint-Ouen, or at Montmartre, playing for hours the jazzified popular song repertoire, and – of course – Django’s music.  Between generosity and timidity, fidelity to the roots and the heritage of the gypsy swing and need to conquer new territories for jazz guitar, this Selmer style playing guitarist is distinguishable from any others by his unique sensitivity and audacity.  Long-time well known from the gypsy style lovers in Paris, Rodolphe recorded his first CD in year 2001. His « Hommage to Georges Brassens », fruit of an eclectic and very personal swing, achieved an amazing success in France, while we were commemorating the 20 years anniversary of the great poet’s death. 15 000 sold CDs later, Rodolphe reunited his swinging team to record another rare beauty. « Gypsy Swing Guitar », his second CD, recorded in 2003 (with already legendary jazzmen Christian Escoudé and Florin Nicolescu), is really impressive by its inspiration, its innovation and its repertoire. A musician that sounds like no-one else : this hard-to-achieve definition of a true jazz player !  Benjamin GOLDENSTEIN  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  © 2007 Frémeaux & Associés Biographie (Bio Rodolphe Raffalli - et non : Rafalli, Rafali, Raffali, Raffaelli, Rafaelli, Rafaeli, Raphaeli, Raphaelli !)
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Respaldado por un competente cuarteto integrado por Felix Belleau (acordeón), David Gastine (canto y guitarra), Sebastien Gastine (contrabajo) y Samuel Lerner (piano), el guitarrista Rodolphe Raffalli, como un homenaje a la canción popular francesa, interpreta temas de reconocidos compositores, como Trenet, Aznavour, Brassens, Legrand, Moustaki, Ferré y otros. De entre sus canciones, se pueden escuchar, vertidas con insuperable swing, muy buenas versiones de « Padam… padam, Les oiseaux de Paris, Sur ma vie, I will wait for you, Le vieux piano de la plage, La chansonnette, Milord, Les moulins de mon cœur, Sa jeunesse, y La mauvaise herbe ».La maestría instrumental de Raffalli y su atrapante musicalidad recorre los 17 surcos que componen este delicioso compacto. Nacido en 1959, Raffalli se inclinó hacia la guitarra a la temprana edad  de 8 años siguiendo la huellas de Django Reinhardt, las canciones gitanas y los músicos de Montmartre, antes de mezclarse con el auténtico jazz.Por TANGO REPORTER (USA)
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« Le guitariste Rodolphe Raffalli (avec deux “f” et deux ailes, comme il aime à le dire) a du talent aussi bien dans le jazz que dans la musique sud-américaine, mais là où il excelle, c’est dans la transposition en swing manouche (son swing manouche à lui), de la chanson française. Et je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que c’est moi qui l’ai incité à réaliser un concert instrumental de Brassens à la bibliothèque de Villejuif, ce qui a donné dans la foulée le fameux CD instrumental Hommage à Brassens. J’ai dit « son swing manouche à lui » car le swing de Rodolphe a ce lyrisme, cette empathie avec l’humanité de Georges Brassens, ce sens de la poésie, cette décontraction, cette virtuosité sans affèterie qui n’appartiennent qu’à lui. Cette fois-ci, c’est la chanson française en général, celle des années soixante, celle d’Edith Piaf, de Charles Aznavour, de Mouloudji, de Cora Vaucaire, de Charles Trénet et, bien sûr, de Georges Brassens. Quatre nouvelles chansons du géant de la chanson (« Les Trompettes de la renommée », « L’Amandier », « Une Jolie fleur » et « La Mauvaise herbe ») qui viennent s’ajouter aux vingt-cinq déjà enregistrées chez Frémeaux. Elles trouvent tout naturellement leur place, transfigurées par la patte de Rodolphe Raffalli, au milieu de « Padam, padam », de « Trois petites notes de musique », du « Vieux piano de la plage », de « Milord », de « Sa jeunesse ». L’accordéon de Félix Belleau donne une couleur swing musette à ce CD dans lequel David Gastine, à la pompe, Sébastien Gastine à la contrebasse et Samuel Lerner au piano donnent une solide assise. Je n’émettrai que deux bémols : le chant de David Gastine sur « Une jolie fleur », non qu’il chante mal, mais après Brassens, c’est difficile d’assurer. Et « Je ne pourrai jamais vivre sans toi » de Michel Legrand, devenu, par snobisme, « I Will Wait for You ». Pourquoi pas Michael The Tall, pendant qu’on y est ? »Par Michel BEDIN – ON MAG
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Après un hommage très réussi à la Corse, Rodolphe revient aux « Chansonnettes ». Georges Brassens, Charles Trenet, Edith Piaf, Charles Aznavour, Yves Montand… Des standard bien de chez nous, des mélodies qui sont dans toutes les têtes, qui ont traversé les décennies et parfois les continents. Même s’il a des doigts (la preuve avec son chorus terrible dans « sur ma vie » d’Aznavour), Rodolphe n’est pas dans la virtuosité, mais dans la poésie et la sensibilité. C’est un style au phrasé tout de suite reconnaissable, alliant swing léger, sens de l’improvisation et intelligence musicale (sa lecture de « la mauvaise herbe »). Cet héritier de Henri Crolla magnifie la chanson populaire de qualité. Humanité et tendresse émanent sans cesse de sa guitare (« Milord » ou « Sa jeunesse » d’Aznavour). A la rythmique, les frères Gastine : Sébastien (contrebasse) et David (guitare d’accompagnement, chant sur deux morceaux), deux musicos bien connus dans le milieu swing manouche. A l’accordéon et à l’accordina, Félix Belleau, le compagnon de route idéal de Rodolphe. Poète du swing gitano-parisien, Félix souligne magnifiquement les phrases de Rodolphe (cf. ses beaux contre-chants sur « Toi tu n’ressembles à personne ») et envoie quelques belles fusées : son chorus remarquablement construit sur « Trompettes de la renommée », et celui swinguant à souhait sur « I Will Wait For You » de Michel Legrand). On a vu Félix aux côtés de Sapho, Sanseverino ou Thomas Dutronc. Pourtant, ce formidable accordéoniste n’a pas la notoriété qu’il mérite. Bonus : en hommage à Maurice Ferret, Joseph Pouville, Mondine Garcia et Patrick Saussois, une deuxième version de « I Will Wait For You », plus aérienne, plus gitano-parisienne, avec un très beau son de guitare qui semble électrifiée. Ajoutez-y le très joli dessin de pochette de Bridenne et vous obtenez un disque totalement réussi, qui devrait cartonner au Japon et, espérons-le, dans notre beau pays.Par F.C. – ACCORDEON MAGAZINE
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« Une fois n'est pas coutume, voici présenté en ces lignes un savoureux album de chansons... pas chantées ! Si nous avons craqué sur ce disque pourtant majoritairement instrumental, c'est qu'indépendamment de ses grandes qualités artistiques, il s'agit d'un très bel hommage revisité à cette chanson "patrimoniale" qui a fait le lit de la jeune scène actuelle.   Rodolphe Raffalli est un sacré bonhomme, guitariste jazz-manouche de grand talent, et amoureux sincère des ces "Chansonnettes", telles qu'il les nomme avec humilité et tendresse.  Après nombre d'albums (dont 2 dédiés intégralement au bon Maitre sétois), il promène à présent ses doigts agiles au fil de mélodies signées Piaf, Trenet, Aznavour, Ferré ou, bien sûr, Brassens, accompagné de quelques musiciens d'exception (contrebasse, accordéon, piano et seconde guitare).Le tout est irrévérencieux sans être iconoclaste, à l'image par exemple de cette belle reprise des "Trompettes de la Renommée" en bossa-nova façon manouche qui vaut presque le détour à elle seule..! Publié chez Frémeaux, gage de qualité s'il en est, un album à la belle générosité humaine et musicale, balayé d'un vrai vent de liberté. » Par LE CENTRE DE LA CHANSON
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S’il « a fait ses premiers pas […] sous l’ombre tutélaire du grand Django Reinhardt », Rodolphe Raffalli a aussi croisé la guitare avec Atahualpa Yupanqui. D’où son jeu sur six cordes en équilibre entre swing manouche et rondeur sud-américaine ; Après deux albums consacrés à George Brassens, il manifeste de nouveau son penchant pour la chanson. Si le Sétois est encore présent à travers quatre titres, il laisse, pour les autres « Chansonnettes », la place à Charles Aznavour (Sur ma vie…), Michel Legrand (les Moulins de mon cœur…), Charles Trenet (Le Vieux Piano de la plage…). Rodolphe Raffalli et ses musiciens (accordéon, 2e guitare, contrebasse et piano) rappellent qu’une chanson, c’est, comme le disait Brassens (encore lui !), d’abord une musique. La preuve : « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » fait ici jeu égal avec « Padam…Padam ».Par R.T. – ENSEIGNEMENT ACTUALITE
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Avec Chansonnettes, Rodolphe Raffalli signe un hommage  aux chansons populaires. Le résultat est inégal mais l’homme est  vraiment un sacré guitariste. Né en mai 1959 Rodolphe Raffalli s’est dévoué à la guitare dès l’âge de 8 ans ! Nourri par l’univers de Django, il a, au fil des années, fréquenté les manouches des puces de Saint-Ouen (Ninine et Mondine Garcia) et ceux du "Clairon des Chasseurs" à Montmartre, avant de marier cet univers à celui du jazz d’outre-atlantique. Avec Chansonnettes, il promène son médiateur avec un certain bonheur sur de grandes mélodies populaires. Si toutes les compositions ne sont pas toutes saisissantes, il se dégage de l’opus une vraie générosité et un swing indéniable, notamment quand il revisite I Will Wait For You, de Jacques Demy et Michel Legrand ou encore donne une version surprenante et forte de Est-ce ainsi que les hommes vivent ?, poème d’Aragon et musique de Léo Ferré.  De même quand il donne sa version du célèbre Milord, de Piaf, où tout son talent de guitariste s’exprime et souligne la force de la mélodie originale, à la fois hymne à l’amour et chant un brin désespéré. On reste un peu sur sa faim avec les versions chantées  d’Une jolie fleur , de Brassens ou de la chanson-titre du disque et cette voix qui lorgne un peu trop vers Sacha Distel swinguant pour être vraiment surprenante et originale.  Ce sont les seules limites de ce bel hommage à un répertoire intemporel savoureux… C’est d’autant plus dommage que, sans les paroles, il parvient, avec son quartet bien témpéré, à signer une version splendide de La Mauvaise herbe, du même Brassens. Piquante en diable. »Par François Cardinali - CHANTS...SONGS
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Padam... padam
    Rodolphe Raffalli
    N. Glanzberg
    00:03:17
    2013
  • 2
    Les oiseaux de Paris
    Rodolphe Raffalli
    Charles Trenet
    00:02:34
    2013
  • 3
    Toi tu ne ressembles à personne
    Rodolphe Raffalli
    M. Thiriet
    00:02:24
    2013
  • 4
    Les trompettes de la renommée
    Rodolphe Raffalli
    Georges Brassens
    00:04:04
    2013
  • 5
    Sur ma vie
    Rodolphe Raffalli
    Charles Aznavour
    00:04:30
    2013
  • 6
    I Will Wait for You
    Rodolphe Raffalli
    Michel Legrand
    00:03:33
    2013
  • 7
    Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
    Rodolphe Raffalli
    Léo Ferré
    00:05:34
    2013
  • 8
    Le vieux piano de la plage
    Rodolphe Raffalli
    Charles Trenet
    00:04:04
    2013
  • 9
    L'amandier
    Rodolphe Raffalli
    Georges Brassens
    00:02:00
    2013
  • 10
    Trois petites notes de musique
    Rodolphe Raffalli
    Georges Delerue
    00:03:26
    2013
  • 11
    La chansonnette
    Rodolphe Raffalli
    P. Gérard
    00:03:23
    2013
  • 12
    Milord
    Rodolphe Raffalli
    Marguerite Monnot
    00:03:47
    2013
  • 13
    Les moulins de mon cœur
    Rodolphe Raffalli
    Michel Legrand
    00:03:09
    2013
  • 14
    Une jolie fleur
    Rodolphe Raffalli
    Georges Brassens
    00:03:12
    2013
  • 15
    Sa jeunesse
    Rodolphe Raffalli
    Charles Aznavour
    00:03:45
    2013
  • 16
    La mauvaise herbe
    Rodolphe Raffalli
    Georges Brassens
    00:03:39
    2013
  • 17
    I Will Wait for You
    Rodolphe Raffalli
    Georges Brassens
    00:03:26
    2013
Livret

Chansonnettes LLL335

Rodolphe Raffalli
Chansonnettes

Avec Chansonnettes Rodolphe Raffalli rend hommage au grand répertoire, aux chansons populaires de Piaf, Trenet, Aznavour, Ferré, mais aussi Brassens ou Michel Legrand, tous ces airs fredonnés par chacun, qui ont su traverser âges et continents pour désormais faire partie du patrimoine immatériel universel. La qualité de l’interprétation conforte une nouvelle fois la place qu’occupe Rodolphe Raffalli en tant que guitariste d’une musicalité exceptionnelle. Sans avoir de compte à rendre, il s’approprie le répertoire avec humanité et y apporte une touche tendrement décalée. Une démonstration éclatante de liberté.  
Augustin BONDOUX & Patrick FRÉMEAUX

With Chansonnettes Rodolphe Raffalli pays tribute to the great French Songbook. Not only to the popular songs of Piaf, Trenet, Aznavour and Ferré, but also to titles by Brassens or Michel Legrand, all those tunes which everybody has hummed over the years, even on other continents, making them part of our national heritage. Their quality is reflected in the performance of Rodolphe Raffalli, who once again confirms his status as an exceptionally musical instrumentalist. A highly individual guitarist with nothing to prove, he makes this repertoire his own, showing humanity and a tender, personal touch that sets him apart. A dazzling demonstration of freedom.  
Narcisse d’ALMEIDA
« Une pensée nostalgique, en souvenir des guitaristes Maurice Ferret, Joseph Pouville, Mondine Garcia et Patrick Saussois... à Montmartre place du Tertre, au légendaire café, le “Clairon des chasseurs” et dans le temple du jazz manouche, la “Chope des puces” de Cligancourt, ou nous nous étions connus dans les années 70.»


Rodolphe Raffalli – Chansonnettes


Rodolphe Raffalli - guitare solos
Guitariste français né le 20 mai 1959, Rodolphe Raffalli commence l’apprentissage de son instrument dès l’âge de 8 ans.
Autodidacte, il fait ses premiers pas à la guitare sous l’ombre tutélaire du grand Django Reinhardt, mais loin de s’enfermer dans une esthétique unique, Rodolphe fréquente avec bonheur les chemins de traverse qui lui feront tour à tour découvrir la chanson française, la musique classique, le folklore d’Amérique latine, le jazz traditionnel et surtout l’improvisation.
Fin des années 1970, suite à sa rencontre du guitariste argentin Martin Torrés (Guitare d’Or au Mondial de Venise 1976), Rodolphe fréquente les manouches et gitans des puces de Saint-Ouen (Ninine et Mondine Garcia) comme du très montmartrois Clairon des chasseurs (Maurice Ferret et Joseph Pouville). Retour aux sources pour ce franco-italo-corse qui intègre l’héritage de Django Reinhardt dans une esthétique propre où flotte, de manière sensible mais notable, l’esprit d’un autre italien, d’un autre émule de Django : le grand Henri Crolla.
Rodolphe est alors amené à approfondir sa connaissance des grands standards de jazz d’outre-atlantique (ces tubes indémodables des grands Cole Porter, Jerome Kern, Georges Gershwin, Fats Waller, Sidney Bechet, etc.) et élargit sa syntaxe harmonique à l’écoute du jazz américain. Nouvelle aventure en 1982 avec une incursion très sérieuse dans le classique où, tout autodidacte qu’il est, il étudie (sa seule oreille pour complice) les grands noms de la composition pour six-cordes : Bach, Scarlatti, Haendel, Villa-Lobos, etc.
La route de Raffalli est également pavée de musiques sud-américaines, riches en guitares. Lui qui connut Atahulpa Yupanqui tout jeune à Paris, passa des heures au coeur du quartier latin à faire chanter sa guitare entouré de musiciens du Paraguay, du Pérou, d’Argentine et du Brésil. C’est toutefois sa maîtrise du swing manouche qui lui vaut sa réputation et sa renommée grandissante en Europe. Rodolphe joue avec tous les manouches de Paris : Angelo Debarre, Moreno Winterstein, Christian Escoudé, pour ne pas citer le « clan » de la Chope des puces : Ninine, Mondine et autres Tchavolo Schmidt !
C’est par un coup de maître qu’il se fait connaître du grand public. En 2001, Rodolphe se décide à enregistrer son premier album ! L’année est symbolique ; ce sont les 80 ans de la naissance de Georges Brassens, mais aussi le vingtième anniversaire de son décès. Rodolphe lui consacre un album magnifique, tout de lyrisme et de pudeur, d’admiration fertile et de travestissements respectueux. Publié par le label La Lichère et Frémeaux & Associés, le disque fut un événement médiatique et à connu la bagatelle de quelques 15 000 ventes (disque d’or dans le Jazz), score exceptionnel pour ce petit monde alors pas si à la page qu’aujourd’hui : le swing manouche. Meilleure vente de jazz 2002 pour un éditeur indépendant (d’après GFK Pannel), le disque inspire au grand critique Alain Gerber les mots suivants : « Personne avant lui n’avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis » (Diapason). Deux ans plus tard, Rodolphe nous gratifiait d’un second disque, plus purement jazz-swing que le précédent, mais tout aussi original : compositions de Django alternent avec des adaptations de quelques monstres sacrés de la variété (Aznavour, Trenet, Gainsbourg !), standards américains et compositions personnelles. « Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffalli entre à 42 ans dans la cour des grands. Un must. », dixit Francis Couvreux dans Trad Mag.
Acclamé par la critique, suivi par un public fidèle, Rodolphe Raffalli, derrière sa quasi immuable réserve et timidité, continue d’innover, de chercher les métissages harmoniques qui font sa griffe. Comme le note Hervé Guilleminot, dans Classica : « Chez Raffalli, on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Tout un monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ». Presque une affaire de morale… »
En novembre 2006, Rodolphe livrait un volume 2 de l’Hommage à Georges Brassens avec continuant ainsi d’affirmer la fertilité du métissage entre création contemporaine et patrimoine intemporel.
Il revient aujourd’hui en studio au sein d’un quartet totalement renouvelé qui lui permet de renouer avec ses premières amours : la musique sud-américaine et le jazz. Avec la fougue du pianiste Joël Bouquet, la sensibilité du contrebassiste Claude Mouton, la fraîcheur latine du percussionniste « Manfa », Rodolphe peut exprimer pleinement son exceptionnel feeling et la diversité de sa palette.


Félix Belleau - accordéon :
Accordéoniste virtuose, Félix Belleau a accompagné les grands noms de la scène actuelle : de la chanteuse Sapho à Sanseverino (sur l’album « Le tango des gens »), en passant par Pierre Barouh lors de ses tournées au Japon, jusqu’au groupe de jazz manouche de Thomas Dutronc. Il a également joué dans des comédies musicales (« Frou Frou les Bains », « Que Viva Offenbach ») et enregistré notamment pour le film « La Môme ».


David Gastine - guitare et chant
Né à Paris en 1972, c’est à l’âge de 15 ans que David Gastine commence à jouer de la guitare et à chanter.
Après avoir parcouru en amateur différents univers musicaux, la découverte du « jazz manouche » est pour lui un tournant, et la naissance d’une passion évidente et forte.
Dès lors, il se spécialise dans la guitare d’accompagnement, la « pompe », si caractéristique de ce style pour en être aujourd’hui, à l’instar de musiciens tels que Philippe « Doudou » Cuillerier ou Mathieu Chatelain, l’un des dignes représentants.
Samy Daussat, Selmer 607, Djangodrom, Rodol-phe Raffalli, Angelo Debarre, Tchavolo Schmitt, Stochelo Rosenberg ou encore Moreno Winterstein, font partie des nombreux musiciens ou formations avec lesquels il a eu l’occasion de se produire.
En tant que chanteur, il agrémente ses prestations de sa voix grave de baryton, à la fois douce et puissante, pour ne pas oublier la place trop souvent méconnue qu’occupe la chanson dans ce genre musical.


Sébastien Gastine - contrebasse
Musicien éclectique et versatile, il commence par étudier le Jazz au CIM, tout en améliorant sa technique auprès de musiciens américains de passage à Paris. Très vite il trouve sa place dans différentes formations de jazz (Michel Grailler, Sunny Murray, Richard Raux, Jérôme Barde, David El Malek…) et se produit régulièrement dans les clubs de la capitale. Il rencontre alors Téofilo Chantre, chanteur et compositeur Cap-verdien (Cesaria Evora), dont il intègre le groupe et avec lequel il enregistrera 3 albums avec tournées en France et à l’étranger. Il participe au démarrage de Babx en prenant part à la production du premier album de ce dernier. Parallèlement au travail de studio pour des albums de chanson (Balbino Medellin, L, Camélia Jordana, Babx, Flip Grater…), il poursuit son chemin dans le jazz Français en devenant l’un des contrebassistes de prédilection de la scène “manouche”. Si Ninine Garcia, Potzi, Moreno Winterstein ou Samy Daussat font appel régulièrement à ses services, c’est auprès de Rodolphe Raffalli que se noue la collaboration la plus régulière aboutissant à l’enregistrement en 2012 de son sixième album (sortie début 2013).


Samuel Lerner – piano
C’est au conservatoire national régional de Cergy Pontoise après six ans d’études que Samuel Lerner obtient sa médaille d’or de piano en 2006. Il poursuit ensuite sa formation en participant à de nombreuses masters classes avec entre autres Monty Alexander, Pierre de Bethmann, Boy and Z Manuel Rochemenan et Laurent Fickelson. Il accompagne des solistes comme Jeff Sicard, Stéphane Guéry et parallèlement donne des concerts en leader sur la scène parisienne et bretonne. (Sunset en juin 2009, Champs libres à Rennes en mai 2009). Il tourne aussi avec le groupe de rhytm and blues jamaïcain « Jim Murple Memorial » pendant cinq mois et participe à l’enregistrement de leur dernier album. En août 2009 il fait la musique d’un court-métrage de François Grivelet et de Charlie Guedj. De 2010 a 2012 il organise avec le violoniste Aurelien Trigo les jams session de l’ Atelier Charonne.


REMERCIEMENTS
Un grand merci pour leurs aimables et chaleureuses participations à la réalisation de cet album, à Patrick Frémeaux, Augustin Bondoux et Benjamin Goldenstein, Philippe Labroue, David Gastine, Félix Belleau, Sébastien Gastine, Gaston-François Bergeret (Photos), Michel Bridenne (Dessin), Bernard Maillot, Richard Duquesnoy et toute l’équipe parisienne du « Piano Vache ».
Rodolphe Raffalli et David Gastine, jouent sur des guitares Maurice Dupont, avec des cordes Argentine-Savarez.
Crédit photos : Gaston-François Bergeret 
Dessin : Michel Bridenne 
Droits : Frémeaux & Associés 
Editions musicales : copyright control 
Production : Groupe Frémeaux Colombini avec le soutien de la SCPP.
Enregistré à Paris, les 24 et 28 septembre 2012 au studio LABROUE par Philippe Labroue, monté et mixé par Philippe Labroue assisté de David Gastine en octobre 2012.
Site web - catalogue :
www.fremeaux.com
Contact : www.rodolpheraffalli.com
(Tél. : 06 12 24 19 16)
Booking :
ndalmeida@gmail.com
(Tél. : 06 10 96 02 05)
P 2012 © 2013 Frémeaux & Associés


1. PADAM… PADAM (Henri Contet/Norbert Glanzberg) 3’18
2. LES OISEAUX DE PARIS (Charles Trenet) 2’35
3. TOI TU NE RESSEMBLES À PERSONNE (Nathan Korb/Maurice Thiriet) 2’25
4. LES TROMPETTES DE LA RENOMMÉE (Georges Brassens) 4’05
5. SUR MA VIE (Charles Aznavour) 4’30
6. I WILL WAIT FOR YOU (Jacques Demy/Michel Legrand) 3’33
7. EST-CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT ? (Louis Aragon/Leo Ferré) 5’34
8. LE VIEUX PIANO DE LA PLAGE (Charles Trenet) 4’05
9. L’AMANDIER (Georges Brassens) 2’01
10. TROIS PETITES NOTES DE MUSIQUE (Henri Colpi/Georges Delerue) 3’26
11. LA CHANSONNETTE (Jean Drejac/Philippe Gerard) 3’23
12. MILORD (Joseph Mustacchi/Marguerite Monnot) 3’48
13. LES MOULINS DE MON CŒUR (Alan Bergman, Marilyn Bergman/Michel Legrand) 3’09
14. UNE JOLIE FLEUR (Georges Brassens) 3’12
15. SA JEUNESSE (Charles Aznavour) 3’45
16. LA MAUVAISE HERBE (Georges Brassens) 3’39

17. Bonus track : I WILL WAIT FOR YOU (Jacques Demy/Michel Legrand) 3’27
« Une pensée nostalgique, en souvenir des guitaristes Maurice Ferret, Joseph Pouville, Mondine Garcia et Patrick Saussois… à Montmartre place du Tertre, au légendaire café, le « Clairon des chasseurs » et dans le temple du jazz manouche, la « Chope des puces » de Cligancourt, ou nous nous étions connus dans les années 70. »
CD CHANSONNETTES, RODOLPHE RAFFALLI © Frémeaux & Associés 2013 (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, albums, rééditions, anthologies ou intégrales sont disponibles sous forme de CD et par téléchargement.)

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