Barney Wilen
Barney Wilen
Ref.: FA5487

PREMIER CHAPITRE 1954-1961 (UN TEMOIN DANS LA VILLE)

BARNEY WILEN

Ref.: FA5487

Direction Artistique : ALAIN TERCINET

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 3 heures 46 minutes

Nbre. CD : 3

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Présentation

« Il choisit de tenir un redoutable challenge : être musicien de jazz, uniquement. » Yves BUIN, « Barney Wilen – Blue Melody »
« Au soprano capté par Voice of America à Newport en 1959 avec Toshiko Akiyoshi, Tommy Bryant et Roy Haynes ? Blindfold en plein bouclage ; la rédaction est restée muette. » A.S. PLAYLIST JAZZ MAGAZINE 
« Entre 1954 et 1961, Barney Wilen – formidables éditions Frémeaux & Associés ! – a dans ce premier chapitre de 17 à 25 ans. A ses côtés, de Roy Haynes à Bud Powell, en passant par John Lewis, toutes les stars de l’époque. Textes des meilleurs historiens maison, Alain Tercinet (en l’occurrence), Philippe Baudoin, Alain Gerber… » Francis MARMANDE  - LE MONDE (MEILLEUR DISQUE DE JAZZ 2015)
“He chose to face up to an awesome challenge: to be a jazz musician. Only a jazz musician.”
Yves BUIN, “Barney Wilen – Blue Melody”
DIRECTION ARTISTIQUE : ALAIN TERCINET

DROITS : DP / FREMEAUX & ASSOCIES


CD 1 - ROY HAYNES BAND (1954) : SUBSCRIPTION • JAY CAMERON’S INTERNATIONAL SAX BAND (1955) : GIVE ME THE SIMPLE LIFE • JOHN LEWIS & SACHA DISTEL (1956) : BAG’S GROOVE, AFTERNOON IN PARIS • BARNEY WILEN QUARTET (1957) : NATURE BOY, THE WAY YOU LOOK TONIGHT, BLUE MONK, MISTERIOSO • BARNEY WILEN QUINTET (1957) : DINK, BRAINSTORM, UP IN ALSACE • MILES DAVIS QUINTET (1957) : SUR L’AUTOROUTE, AU BAR DU PETIT BAC, BUT NOT FOR ME, WELL YOU NEEDN’T.
CD 2 - JAZZ SUR SEINE (1958) : J’AI TA MAIN, VAMP, QUE RESTE-T-IL DE NOS AMOURS ?, NUAGES • TENOR SESSION (1958) : INDIANA/DONNA LEE • BARNEY WILEN QUINTET (1959) : BESAME MUCHO, JORDU • BARNEY WILEN “Un témoin dans la ville” - Soundtrack (1959) : MELODIE POUR LES RADIO-TAXIS, BLUES DE L’ANTENNE • BARNEY WILEN QUARTET (1959) : ‘ROUND MIDNIGHT • THE JAZZ MESSENGERS “Les liaisons dangereuses 1960” - Soundtrack (1959) : PRELUDE IN BLUE (À L’ESQUINADE), VALMONTANA n° 2 • BUD POWELL QUARTET (1959) : AUTUMN IN NEW YORK • BUD POWELL AND FRIENDS (1960) : HOW HIGH THE MOON.
CD 3 - BUD POWELL QUINTET (1959) : NO PROBLEM, MIGUEL’S PARTY • PARIS JAM SESSION (1959) : BOUNCING WITH BUD • FRANCO CERRI INTERNATIONAL JAZZ MEETING (1961) : MARY AND STEVE, A SERENADE FOR PATRICK, OW ! • GILBERTO CUPPINI QUINTET (1961) : WHAT’S NEW ?, I LOVE YOU, JOHN’S BALLAD • GEORGE GRUNTZ “Mental Cruelty” - Soundtrack (1961) : MUSIC FOR NIGHT CHILDREN, BLUES AND THEME, SPANISH CASTLES.



Presse
“Fremeaux & Associates is one of the top jazz labels from France. While Fremeaux is a wide-ranging company that also releases other kinds of music, it has several jazz series that are quite notable including previously unreleased live sessions of American greats in Europe, career retrospectives, and a complete Django Reinhardt series. Barney Wilen’s 1954-1961 is a three-CD set that covers the first period of the excellent French saxophonist’s career. Wilen (1937-96) played soprano-sax early in his career (inspired originally by Sidney Bechet) but became best known as a strong hard bop-oriented tenor-saxophonist who at times in the 1950s could remind one of Sonny Rollins. He had many opportunities starting in 1954 to play with visiting American jazz greats, making his recording debut that year with drummer Roy Haynes’ group. In the Fremeaux compilation, one hears quite a few of the highpoints of Wilen’s first seven years on record. Along the way he holds his own with such notables as Haynes, pianists Henri Renaud, John Lewis, Duke Jordan, Toshiko Akiyoshi and George Gruntz, guitarist Jimmy Gourley, tenor-saxophonists Bobby Jaspar and Wayne Shorter, altoist Hubert Fol, trumpeters Kenny Dorham, Lee Morgan and Dizzy Gillespie, and flugelhornist Clark Terry, not to mention Miles Davis (both on two songs from the soundtrack of Elevator To The Gallows and in a live concert). In addition, Wilen fares well on a jam session version of “Indiana” next to fellow tenors Stan Getz, Coleman Hawkins, Don Byas and Guy Lafitte. Wilen, whose playing of soprano-sax by the late 1950s in a modern jazz setting has been overlooked (it parallels that of Lucky Thompson), continued to evolve through the years, becoming a bit obscure after 1962 but spending periods playing free jazz, rock  and African music before returning to straight ahead jazz in the 1980s. 1954-1961 gives one a very good overview of his early career and whets one appetite to acquire his complete sessions in the future.”By Scott YANOW - LOS ANGELES JAZZ SCENE
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« Où va le jazz ? Dans toutes les directions. D’aucuns y voient un signe de vitalité. Certains sont plus réservés. Cette dispersion les inquiète. A chacun de trancher selon les critères qu’il place au premier plan, la liberté d’une musique qui ne connaîtrait pas de frontières, ou le respect d’un minimum de codes, garant de sa spécificité. Les premiers arguent que le jazz a toujours connu, depuis ses origines, la tentation de la fusion. Ce qui n’est pas faux, si ’on songe qu’il a surgi du melting pot de La Nouvelle-Orléans avant d’essaimer de par le monde. Les seconds soutiennent à l’inverse que, s’il est vrai qu’il a assimilé, au cours des ans,  bien des influences, le risque de dilution dans une world music uniforme et sans saveur n’a jamais comme aujourd’hui hypothéqué son identité. On se gardera de trancher. Constatons seulement que la palette est large entre la perpétuation d’un classicisme qu’on aurait mauvaise grâce à confondre avec un psittacisme revivaliste, et une musique qui s’exonère de toute règle formelle, lorgnant de plus en plus vers les folklores les plus divers ou les improvisations libres des compositeurs actuels. Entre ces conceptions éloignées, sinon extrêmes, coexistent maintes formes auxquelles, faute de mieux, on persistera à attribuer l’appellation de jazz.  Quelques productions de ces derniers mois témoignent de cette diversité. On se bornera aujourd’hui à de fructueuses plongées dans le passé. Tout d’abord, il n’est que justice de signaler des rééditions tout à fait dignes d’intérêt. Celles, entre autres, que le label Frémeaux & Associés dispense avec persévérance.  Elles font le bonheur de ceux qui persistent à voir dans le disque un vecteur privilégié de transmission, en dépit de l’essor des sites proliférant sur le Net. (…) C’est au même Tercinet que l’on doit l’édition d’un coffret intitulé « Premier chapitre, 1954-1961 » et consacré à l’œuvre du saxophoniste français Barney Wilen. Disciple de Lester Young, remarquable par la fluidité et la légèreté de son jeu, ce dernier est, évidemment, loin d’avoir l’envergure d’un Parker – encore qu’il connût, à la fin des années 50, son heure de notoriété. Y contribua largement sa participation, avec Miles Davis, à la musique du film de Louis Malle Ascenseur pour l’échafaud, ou encore sa contribution à Un témoin dans la ville, d’Edouard Molinaro,  et aux Liaisons dangereuses 1960, de Roger Vadim, avec les Jazz Messengers. Autre titre de gloire, sa collaboration avec Bud Powell et sa fréquentation, fût-elle épisodique, aux enregistrements de musiciens américains,  en particulier John Lewis et le Modern Jazz Quartet. De quoi nourrir trois CD à la valeur incontestable de témoignage. Eclairés, ici encore, par un copieux livret relatant les circonstances de chaque enregistrement, nourri d’anecdotes, d’analyses et de témoignages. »Par Jacques ABOUCAYA – LE SALON LITTERAIRE
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Barney Wilen fut un de nos plus brillants saxophonistes, prodigieusement doué et presque étranger à son propre génie. Ce précieux coffret de 3 CD rend compte avec pertinence du poète nonchalant qu’il ne cessa d’être, du glorieux be-bop à « Ascenseur pour l’échafaud », des Jazz Messengers d’Art Blakey à  l’affirmation d’un style unique avec Gilberto Cuppini ou Franco Cerri. Une somme passionnante.Par CLASSICA
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Saxophoniste-ténor, Barney Wilen(né Bernard-Jean à Nice en 1937 dans une famille franco-américaine, décédé en 1996 à Paris) s’est principalement fait connaître lorsque Miles Davis l’a appelé au sein de son groupe pour tourner en Europe en 1957 et surtout graver la musique d’« Ascenseur pour l’échafaud », le film devenu légendaire de Louis Malle, le seul survivant de la séance étant le pianiste René Urtreger, 80 ans. Afin de (re)faire connaissance avec ce musicien qui a eu l’occasion de côtoyer les plus grands jazzmen de cette époque, il faut se plonger dans « Barney Wilen - Premier chapitre 1954-1961 » (Frémeaux & Associés). Dans ce triple CD, on redécouvre des extraits de ses participations à des enregistrements très connus, comme, outre « Ascenseur », les musiques des films « les Liaisons dangereuses » (avec les Jazz Messengers d’Art Blakey) ou « Un témoin dans la ville ». Et on appréciera avec un grand intérêt des moments moins connus, voire inconnus, comme ses prestations au Festival de jazz de Cannes en 1958 (avec des géants du ténor comme Stan Getz, Coleman Hawkins, Don Byas), à Newport en 1959 et surtout des séances réalisées à Milan en 1961. Un grand monsieur du saxe.Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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«Les grands jazzmen se reconnaissent à ceci : ils inventent sans relâche. L’incarnation absolue? Charlie Parker! Cherchez sa phrase qui ressemblerait à une autre : vous ne trouverez jamais. Aucun des univers modelés par un simple solo de Parker n’a d’équivalent ». La classification du pianiste René Urtreger, une figure historique, n’autorise aucune nuance. A son avis, d’un simple standard, le génie du jazz échafaude un récit original, un point de vue personnel, une dramaturgie inédite dont l’artiste brosse la clé. Dans la catégorie des calibres, le Français ajoute :-Lester Young, «on ne devine jamais d’où la poésie va surgir». Urtreger joue sur le tout dernier enregistrement du saxophoniste, en 1959 («Le Dernier Message»).-Chet Baker : Urtreger accueillit le trompettiste à son arrivée en France, en 1955. Puis l’accompagna lors de virées mémorables, cela jusque dans les années 80. «Chet jouait sale. Ignorait l’approche orthodoxe», analyse le roi René. «Pourtant chaque chorus transfigurait le thème» -Art Tatum («le pianiste créé TOUT LE TEMPS. Lui arrivait-il de se planter? Tant mieux! Tatum invente alors une nouvelle histoire, encore meilleure»). Certains de ses pairs, comme Fats Waller, le surnommaient «Dieu». Un créateur pour lequel le sacro-saint canon du jeu inamovible à l’occidentale issu de la composition classique n’existe pas. Au diable la partition!Enfin... un Français, Barney Wilen! Le saxo ténor dont s’était entiché Miles Davis. Au point de former un quintet avec Wilen et Urtreger. L’Europe les acclame (concert canon d’Amsterdam). Un coffret-anthologie de Barney Wilen, le Niçois qui en mettait plein la vue (et les oreilles), aux Américains, arrive enfin. On doit le trésor à l’éditeur Frémeaux et Associés. L’occasion d’évoquer le géant méconnu. Dans le livret, Urtreger, interrogé par le musicologue Alain Tercinet, complète l’analyse. Il considère deux catégories de jazzmen : «ceux qui ont suivi la filière classique et beaucoup étudié avant de venir au jazz par passion, mais en conservant les habitudes académiques de perfection de toucher et d’articulation. Et les autres, qui respirent le jazz, naturellement, se foutent pas mal de commettre des fautes et parfois de se montrer imparfaits. Comme moi, Barney appartenait à cette famille.» Un séjour aux USA persuade Bernard Jean Wilen, né à Nice le 4 mars 1937 dans une famille franco-américaine qui fuira la guerre, que le jazz n’appartient pas exclusivement à ses créateurs. En 1955, à 18 ans, Henri Renaud l’accueille dans les studios. La même année, l’adolescent ahurit le saxophoniste américain Allen Eager, de passage dans sa région. A l’époque, le critique londonien Leonard Geoffrey Feather, une éminence, le qualifie de prodige. Confirmation en tournée (1957) : Barney tiendra la dragée haute à Miles. Son jeu? Un phrasé de velours. Une caresse de son. Un calin. La source? Un article de Jazz Hot énumère ses musiciens favoris : «Lester, Lester, Lester et... Al Cohn». Dans Le Nouveau Dictionnaire du Jazz, Jean-Robert Masson entrevoit finement dans le jeu «furtif» de Barney, «l’étrangeté lestérienne». Catégorie grandes figures. Au festival de Cannes, en 1958, sur un Indiana de 8 minutes, on entend Barney dans la même division que Stan Getz, Coleman Hawkins, Don Byas, et Guy Lafitte! Que l’on ne se risque cependant pas à le cataloguer «jazz classique»! Bien avant Coltrane ou Rollins, Barney fut l’un des premiers interprètes d’un compositeur de génie, le pianiste Thelonius Monk (Misterioso, Think of One, We See, Blue Monk, Let’s Call This). En 1960/61, le surdoué rejoint régulièrement le pianiste Bud Powell, installé à Paris. Barney a 23 ans!Prix Django Reinhardt de l’Académie du Jazz en 1957, Bernard Barney traversera des périodes free (avec Joachim Kühn); world (séjours en Afrique); rock expérimental. Il reviendra sous les projecteurs, notamment à La Grande Parade de Nice, à côté de Dizzy Gillespie, Lee Konitz, Stan Getz et René Urtreger. Dans les tournées à l’étranger (Japon, Canada), le soliste transmute un répertoire de chansons françaises (Trénet, Trénet, et... Trénet). Quartier Châtelet, 1983. Je me souviens d’un set dans le caveau du Petit Opportun. Chorus de rêve. Applaudissements nourris. Après deux rappels, Barney retourne vers les coulisses. Le public insiste, réclame un autre dernier morceau : «Bra-vo Bar-ney, Bra-vo Bar-ney, Bra-vo »! L’artiste, épuisé, se tourne vers la salle : «pourquoi je jouerais encore»? Un fan ose : «pour le plaisir»? Derrière les lunettes noires, Barney dévisage les gens dans chaque recoin du sous-sol : «pour le plaisir? (Silence, puis) Alors OK»... Il fignola un bijou. Le seigneur nous quitta le 25 mai 1996, à 59 ans (crise cardiaque). Le quotidien Libération composa la Une du lendemain avec la mauvaise nouvelle. Le titre («Barney Wilen ne fera plus jazzer»), annonce un article homérique de Serge Loupien.Ecoutez Barney Wilen. Pour le plaisir.Bruno Pfeiffer - LIBERATION
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Peu de temps après « Four brothers » (album salué dans notre numéro d’avril) où Barney Wilen était aux côtés de Lucky Thompson lors d’un concert à la radio de Hambourg en 1960, le label de Patrick Frémeaux propose une rétrospective des enregistrements du saxophoniste, sélection réalisée avec la pertinence que l’on connaît par Alain Tercinet. Dans ce « Premier chapitre », on retrouve bien sûr des extraits très connus de se participations à « Afternoon In Paris » (John Lewis), « Ascenceur pour l’échafaud » (Miles Davis) ou « Les liaisons dangereuses » (The Jazz Messengers) et des morceaux issus de ses deux premiers disques en leader, alors qu’il avait à peine vingt ans. Mais le grand intérêt de ce coffret réside d’une part dans des extraits live peu ou pas édités (« Tenor Session » au Festival de Cannes 1958 avec Don Byas, Guy Lafitte, Coleman Hawkins et Stan Getz, « Newport 59 » avec Toshiko Akiyoshi, émissions télé ou radio avec Bud Powell, Dizzy Gillespie ou Clark Terry) et d’autre part dans la sélection  de pièces issues de deux disques enregistrés à Milan en 1961 (par l’International Jazz Meeting de Franco Cerri et le quintette de Gilberto Cuppini) et d’une musique de film composée par Georges Gruntz. Amateurs de ce seigneur du ténor, à vos marques : il n’y a ici que du bon ! Philippe VINCENT – JAZZ MAGAZINE
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Subscription
    Barney Wilen & Roy Haynes Band
    00:03:03
    1954
  • 2
    Give Me The Simple Life
    Barney Wilen & Jay Cameron's International Sax Band
    H. Ruby
    00:04:31
    1955
  • 3
    Bag's Groove
    Barney Wilen, John Lewis & Sacha Distel
    00:06:20
    1956
  • 4
    Afternoon in Paris
    Barney Wilen, John Lewis & Sacha Distel
    00:09:35
    1956
  • 5
    Nature Boy
    Barney Wilen Quartet
    00:04:26
    1957
  • 6
    The Way You Look Tonight
    Barney Wilen Quartet
    00:06:55
    1957
  • 7
    Blue Monk
    Barney Wilen Quartet
    00:04:24
    1957
  • 8
    Misterioso
    Barney Wilen Quartet
    00:04:13
    1957
  • 9
    Dink
    Barney Wilen Quintet
    00:04:25
    1957
  • 10
    Brainstorm
    Barney Wilen Quintet
    00:04:54
    1957
  • 11
    Up in Alsace
    Barney Wilen Quintet
    00:04:35
    1957
  • 12
    Sur l'autoroute
    Miles Davis Quintet
    00:02:21
    1957
  • 13
    Au bar du petit lac
    Miles Davis Quintet
    00:02:56
    1957
  • 14
    But Not For Me
    Miles Davis Quintet
    Georges Gerschwin
    00:06:42
    1957
  • 15
    Well You Needn't
    Miles Davis Quintet
    00:05:25
    1957
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    J'ai ta main
    Barney Wilen
    Charles Trenet
    00:02:22
    1958
  • 2
    Vamp
    Barney Wilen
    00:04:20
    1958
  • 3
    Que reste t'il de nos amours ?
    Barney Wilen
    Charles Trenet
    00:02:46
    1958
  • 4
    Nuages
    Barney Wilen
    00:05:52
    1958
  • 5
    Indiana Donna Lee
    Barney Wilen
    00:08:11
    1958
  • 6
    Besame Mucho
    Barney Wilen Quintet
    00:12:38
    1959
  • 7
    Jordu
    Barney Wilen Quintet
    00:08:53
    1959
  • 8
    Mélodie pour les Radio Taxis
    Barney Wilen
    00:03:51
    1959
  • 9
    Blues de l'antenne
    Barney Wilen
    00:04:15
    1959
  • 10
    Round Midnight
    Barney Wilen Quartet
    00:07:40
    1959
  • 11
    Prelude in Blue à l'Esquinade
    Barney Wilen & The Jazz Messengers
    00:04:44
    1959
  • 12
    Valmontana n°2
    Barney Wilen & The Jazz Messengers
    00:04:33
    1959
  • 13
    Autumn in New York
    Barney Wilen & Bud Powell Quartet
    00:04:14
    1959
  • 14
    How High is The Moon
    Barney Wilen & Bud Powell And Friends
    00:03:41
    1960
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    No Problem
    Barney Wilen & Bud Powell Quintet
    00:09:56
    1959
  • 2
    Miguel's Party
    Barney Wilen & Bud Powell Quintet
    00:08:21
    1959
  • 3
    Bouncing With Bud
    Barney Wilen
    00:11:32
    1959
  • 4
    Mary And Steve
    Barney Wilen
    00:03:04
    1961
  • 5
    A Serenade For Patrick
    Barney Wilen
    00:02:49
    1961
  • 6
    Ow
    Barney Wilen
    00:04:22
    1961
  • 7
    What's New
    Barney Wilen & Gilberto Cuppini Quintet
    00:07:00
    1961
  • 8
    I Love You
    Barney Wilen & Gilberto Cuppini Quintet
    00:06:09
    1961
  • 9
    John's Ballad
    Barney Wilen & Gilberto Cuppini Quintet
    00:09:27
    1961
  • 10
    Music For Night Children
    Barney Wilen
    00:05:23
    1961
  • 11
    Blue And Theme
    Barney Wilen
    00:02:48
    1961
  • 12
    Spanish Castles
    Barney Wilen
    00:02:43
    1961
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