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1962 + bonus 1958
YVES MONTAND
Ref.: FA5835
Direction Artistique : Gilles Pétard et Michel Brillié. Livret : Martin Pénet
Label : FREMEAUX & ASSOCIES
Durée totale de l'œuvre : 1 heures 10 minutes
Nbre. CD : 1
De chanteur de music-hall (protégé d’Édith Piaf) à icone du cinéma et vedette internationale, Yves Montand est l’un des artistes les plus extraordinaires de la France du second XXe siècle. Le livret est rédigé par Martin Pénet, grand spécialiste et historien de la chanson française (France Musique). Yves Montand est un formidable interprète de Lemarque, Nougaro, Dimey, Aragon ou Prévert, de nombreux titres sont devenus des grands standards intemporels par son talent. Entre 1958 et 1962, Montand est au sommet de sa gloire, entouré des plus grands musiciens français du jazz et du musette : Freddy Balta, Didi Duprat, Hubert Rostaing, Roger Paraboschi,… il enchaîne alors tournées européennes, américaines et soviétiques et délivre parmi ses plus beaux récitals.
Patrick FRÉMEAUX
La collection Live in Paris, dirigée par Michel Brillié, permet de retrouver des enregistrements inédits (concerts, sessions privées ou radiophoniques), des grandes vedettes du jazz, du rock & roll et de la chanson du XXe siècle. Ces prises de son live, et la relation avec le public, apportent un supplément d’âme et une sensibilité en contrepoint de la rigueur appliquée lors des enregistrements studios. Une importance singulière a été apportée à la restauration sonore des bandes, pour convenir aux standards CD tout en conservant la couleur d’époque.
Patrick FRÉMEAUX & Gilles PÉTARD
INTRO, À PARIS • JE VAIS À PIED • LE JAZZ ET LA JAVA • QUELQU’UN • L’ÉTRANGÈRE • LES BERCEAUX • SIR GODFREY • SYRACUSE • EST-CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT ? • UNE DEMOISELLE SUR UNE BALANÇOIRE • FUMER LE CIGARE • LES SALTIMBANQUES • LA CHANSONNETTE • L’ENFANT DE PARIS • LE CHAT DE LA VOISINE • CHERCHE LA ROSE • LA MUSIQUE • LUNA PARK • SANGUINE JOLI FRUIT • LE CHEF D’ORCHESTRE EST AMOUREUX • MON MANÈGE À MOI.
DIRECTION ARTISTIQUE : GILLES PÉTARD ET MICHEL BRILLIÉ, LIVRET : MARTIN PÉNET
1945 - 1949 - ET LA FETE CONTINUE
1949 - 1953 - SENSATIONNEL
MON MANEGE A MOI - 1954 - 1958
1953 - 1954 - UNE ETOILE A L'ETOILE
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PisteTitreArtiste principalAuteurDuréeEnregistré en
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1Intro : À ParisYves MontandFrancis Lemarque00:00:571962
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2Je vais à piedYves MontandFrancis Lemarque00:02:281962
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3Le jazz et la javaYves MontandClaude Nougaro00:02:401962
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4'Quelqu''un'Yves MontandChristiane Verger00:02:381962
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5'L''étrangère'Yves MontandLéo Ferré00:02:571962
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6Les berceauxYves MontandGabriel Fauré00:02:571962
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7Sir GodfreyYves MontandGabriel Fauré00:05:001962
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8SyracuseYves MontandBernard Dimey00:02:301962
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9Est-ce ainsi que les hommes viventYves MontandLéo Ferré00:04:291962
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10Une demoiselle sur une balançoireYves MontandMireille00:03:551962
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11Fumer le cigareYves MontandEddy Marnay00:03:571962
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12Les saltimbanquesYves MontandLouis Bessières00:03:541962
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13La chansonnetteYves MontandJean Dréjac00:03:041962
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14'L''enfant de Paris'Yves MontandJacques Mareuil00:02:551962
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15Le chat de la voisineYves MontandRené Lagary00:02:271962
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16Cherche la roseYves MontandRené Rouzaud00:03:181962
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17La musiqueYves MontandGérard Dréjac00:04:061962
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18Luna ParkYves MontandJean Guigo00:02:241958
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19Sanguine joli fruitYves MontandHenri Crolla00:02:581958
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20'Le chef d''orchestre est amoureux'Yves MontandGeorges Liferman00:05:211958
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21Mon manège à moiYves MontandJean Constantin00:05:541958
Yves Montand Live in Paris 1962 + Bonus ’58
Par Martin Pénet
Les concerts ici proposés ont été captés par Europe 1 au Théâtre de l’Étoile, une salle de 1500 places située avenue de Wagram, aujourd’hui disparue, qui fit les belles heures du music-hall parisien. Yves Montand y était en quelque sorte chez lui, puisqu’il la fréquentait depuis ses débuts à Paris.
Débarqué de Marseille en février 1944 à l’âge de 22 ans, il s’est déjà fait un nom sur les scènes méridionales et va tenter de conquérir le public de la capitale. Sa rencontre avec Édith Piaf durant l’été suivant sera déterminante. Cette relation de près de deux ans lui donnera l’occasion de tourner son premier film (Étoile sans lumière), de rencontrer plusieurs auteurs de chansons, d’enregistrer ses premiers disques 78 tours chez Odéon et de débuter au Théâtre de l’Étoile en première partie de la chanteuse en janvier 1945.
Dès le mois d’octobre suivant, il y est à l’affiche sans Piaf, puis reviendra chaque année à l’automne, gravissant les échelons du succès. En novembre 1949, Montand accèdera ainsi à la place de vedette du programme avec douze chansons.
Sa rencontre de Simone Signoret durant l’été 1949 à Saint-Paul-de-Vence est un véritable coup de foudre. Elle finit par divorcer d’Yves Allégret et épouser Montand en décembre 1951, formant avec lui un couple emblématique du monde du spectacle, également lié au milieu intellectuel de gauche de l’époque.
Inspiré par les récitals que Maurice Chevalier donne régulièrement depuis les années 40 sur des scènes prestigieuses, Yves Montand va développer en France le one man show à l’américaine. Cela prend corps en mars 1951 au Théâtre de l’Étoile, avec vingt-deux titres, ce qui représente alors la consécration pour un chanteur. Il faut en effet être en mesure de présenter un éventail de chansons mises en scène, dont la diversité offre une vraie palette d’expressions. A la fois timide et orgueilleux, Montand est un archi-perfectionniste, qui ne laisse rien au hasard. Pour lutter contre le trac, chaque geste, chaque note, est le fruit d’un travail de répétition très poussé.
En octobre 53, il revient au Théâtre de l’Étoile, toujours en formule récital, et accomplit une véritable prouesse : durant huit mois d’affilée, il se présentera chaque soir seul face au public, les musiciens dirigés par le pianiste Bob Castella étant eux-mêmes placés sur scène derrière un rideau de tulle. Ce récital est une leçon de music-hall, qui bénéficiera d’une édition intégrale en double album 33 tours chez Odéon, une première en France.
Entre ses multiples activités (cinéma, théâtre, tournée en URSS, puis dans les pays du bloc de l’Est en 1957), Montand ne revient chanter au Théâtre de l’Étoile qu’en octobre 1958 pour un nouveau récital au répertoire en partie renouvelé. Le présent album présente des extraits de ce spectacle, qui témoigne d’une époque où les interprètes annonçaient leurs auteurs, comme le faisait toujours Édith Piaf et comme Juliette Gréco sera une des dernières à le faire.
Parmi ces extraits, on retrouve un succès déjà ancien d’Yves Montand, créé en 1944 : Luna Park, signé Jean Guigo et Louis Gasté. Il donne lieu à quelques pas de claquettes et exprime une conscience de classe que le chanteur conservera longtemps. Compagnon de route du Parti communiste depuis sa jeunesse, sans toutefois jamais y adhérer, Yves Montand incarne à travers ses chansons la figure de l’ouvrier dans laquelle se reconnait un large public.
Après avoir déjà enregistré plusieurs poèmes de son ami Jacques Prévert, sur des musiques de Joseph Kosma, Montand lui rend ici hommage avec Sanguine, mise en musique cette fois par Henri Crolla, le talentueux guitariste émule de Django Reinhardt, qui disparaitra prématurément en 1960 ; Prévert développe dans ces paroles un registre inhabituel chez lui, empreint de sensualité.
Ce programme nous offre aussi Le chef d’orchestre est amoureux, de Jacques Mareuil et Georges Liferman, chanson assez théâtrale où Montand montre ses qualités de comédien, qu’il illustre déjà au cinéma (en particulier dans le film Le salaire de la peur) et développera bien davantage par la suite.
Le chanteur termine ce récital de 1958 avec une valse très entrainante : Mon manège à moi, signée Jean Constantin et Norbert Glanzberg, dont il partage la création avec son ancienne compagne Édith Piaf. Ni lui ni elle n’étaient pourtant au départ très séduits par cette valse qui connaitra un succès durable.
Fin 1959, Yves Montand entame un nouveau périple, cette fois en Amérique. Il triomphe sur scène à Broadway et se voit engagé à Hollywood pour jouer dans Le milliardaire avec Marilyn Monroe. Durant le tournage, une brève liaison les réunit qui fait couler beaucoup d’encre, car elle met en péril deux couples : celui d’Yves avec Simone Signoret et celui de Marilyn avec Arthur Miller. Le premier résistera, mais pas le second…
Après un nouveau triomphe à Broadway durant huit semaines en 1961, puis une longue tournée en Angleterre et au Japon, Montand ne revient au Théâtre de l’Étoile qu’en novembre 62 pour quatre mois de récital. La captation de larges extraits de ce spectacle constitue la majeure partie du présent album.
La musique d’introduction jouée par le subtil accordéoniste Freddy Balta n’est autre que A Paris, une valse due à Francis Lemarque, où l’on sent les influences musicales d’Europe centrale ; encore une chanson à laquelle Montand ne croyait pas et qui est devenue l’un de ses plus grands tubes ! Créée la même année, en 1948, Je vais à pied, du même Francis Lemarque, lui servira de chanson d’entrée jusqu’à son dernier Olympia en 1981.
Le jazz et la java est au contraire une nouveauté signée Claude Nougaro et Jacques Datin, dont Montand partage la création avec le fantaisiste Marcel Amont. La qualité d’écriture est ici soulignée par une belle orchestration mêlant l’accordéon de Freddy Balta et la clarinette d’Hubert Rostaing. Malgré son talent, Nougaro peine encore à percer et cette promotion assurée par une grande vedette lui sera profitable.
Chanteur polymorphe, Montand touche autant le public populaire que les intellectuels. Ce récital de 1962 confirme une tendance amorcée chez lui depuis une dizaine d’années, qui met l’accent sur la poésie chantée. Cela se traduit par exemple par une chanson peu connue de l’ami Prévert, Quelqu’un, dont la musique est due à Christiane Verger, la première compositrice du poète.
Il faut surtout mentionner deux titres extraits de la série de poèmes d’Aragon mis en musique par Léo Ferré en 1959 et dont le disque enregistré par ce dernier chez Barclay deux ans plus tard a fait sensation. Montand en a retenu L’étrangère, qu’il conservera longtemps, ainsi que Est-ce ainsi que les hommes vivent ?, un souvenir de la Grande Guerre qui sera adopté par nombre d’interprètes : Monique Morelli, Marc Ogeret, Catherine Sauvage, Francesca Solleville, jusqu’à Bernard Lavilliers…
Montand se livre en outre à une performance vocale en empruntant au répertoire lyrique une mélodie de Gabriel Fauré composée en 1879 sur un poème de Sully Prudhomme, Les berceaux, accompagné simplement au piano par son fidèle arrangeur Bob Castella, conformément à la partition.
La séquence géographique qui suit nous emmène à Londres avec le truculent personnage à double vie de Sir Godfrey, aux accents jazzy dus aux auteurs Jacques Mareuil et Georges Liferman ; et surtout à Syracuse, une nouveauté créée quelques mois plus tôt par Jean Sablon. Malgré la beauté des paroles de Bernard Dimey, c’est cette fois son compositeur Henri Salvador qui n’y croyait pas et qui ne se décidera à l’enregistrer qu’après avoir constaté le succès de ses camarades. La veine tendre de Salvador se retrouve dans Cherche la rose, sur un texte de René Rouzaud, qui a été créée peu avant par Marlène Dietrich.
En écho au succès récent de Charles Aznavour intitulé Les comédiens, Montand reprend une chanson qu’il a lancée douze ans plus tôt et que l’on peut aussi rattacher au registre poétique : Saltimbanques, d’Apollinaire et Louis Bessières ; elle est en outre émaillée de performances physiques, puisque le chanteur n’hésite pas, lors de la séquence orchestrale qui ponctue la chanson, à faire la roue sur scène !
Une demoiselle sur une balançoire, fruit tardif de la collaboration de Mireille et Jean Nohain en 1951, est déjà un classique que Montand reprend volontiers. Autres standards, de création plus récente, dont les musiques sont dues au talentueux Philippe-Gérard : le loufoque Chat de la voisine de René Lagary, lancé en 1957 par Germaine Montero et repris l’année suivante par Montand, et La chansonnette, signée en 1961 du parolier à succès Jean Dréjac, qui évoque l’éternelle quête amoureuse.
Ce récital de 1962 comporte d’autres chansons nouvelles, l’une aux accents exotiques et indolents : Fumer le cigare, d’Eddy Marnay et Emil Stern ; l’autre beaucoup plus locale : L’enfant de Paris, de Jacques Mareuil et Jean-Pierre Mottier. Il s’agit d’un hommage à Molière qui, à en juger par les applaudissements, plait aux spectateurs mais ne connaitra pas une grande postérité. Il faut dire qu’au chapitre des chansons parisiennes, la concurrence est des plus rudes !
La dernière chanson, composée par le fidèle Philippe-Gérard et intitulée simplement La musique, en donne l’acception la plus large, puisque son auteur Jean Dréjac met sur un pied d’égalité : Vincent Scotto, Bach, Ravel, Gershwin, Kurt Weill…
Malgré son succès de chanteur, Yves Montand est conscient que tout change dans le métier, en particulier avec l’avènement de la vague yéyé, et que sa grande période d’artiste de music-hall touche à sa fin. Les grands auteurs-compositeurs chantent eux-mêmes leurs chansons et les interprètes renommés ont du mal à trouver de nouveaux titres. Cela conduit Montand à prendre une décision assez radicale puisqu’au cours des années suivantes, il va consacrer l’essentiel de son énergie au cinéma.
Après la disparition du Théâtre de l’Étoile en 1964, les deux dernières séries de récitals d’Yves Montand auront lieu à l’Olympia en 1968 et en 1981. Son répertoire aura alors évolué mais il conservera bon nombre des chansons qui sont déjà au programme de ses prestations antérieures présentées ici.
Martin Pénet
© Frémeaux & Associés 2022
Yves Montand
Live in Paris 1962 + Bonus ’58
1. Intro : À Paris (Francis Lemarque) 0’57
2. Je vais à pied (Francis Lemarque) 2’28
3. Le jazz et la java (Claude Nougaro / Jacques Datin) 2’40
4. Quelqu’un (Jacques Prévert / Christiane Verger) 2’38
5. L’étrangère (Louis Aragon / Léo Ferré) 2’57
6. Les berceaux (Sully Prudhomme / Gabriel Fauré) 2’57
7. Sir Godfrey (Georges Liferman / Jacques Mareuil) 5’00
8. Syracuse (Bernard Dimey / Henri Salvador) 2’30
9. Est-ce ainsi que les hommes vivent ? (Louis Aragon / Léo Ferré) 4’29
10. Une demoiselle sur une balançoire (Jean Nohain / Mireille) 3’55
11. Fumer le cigare (Eddy Marnay / Emil Stern) 3’57
12. Les saltimbanques (Guillaume Apollinaire / Louis Bessières) 3’54
13. La chansonnette (Jean Dréjac / Philippe-Gérard) 3’04
14. L’enfant de Paris (Jacques Mareuil / Jean-Pierre Mottier) 2’55
15. Le chat de la voisine (René Lagary / Philippe-Gérard) 2’27
16. Cherche la rose (René Rouzaud / Henri Salvador) 3’18
17. La musique (Jean Dréjac / Philippe-Gérard) 4’06
18. Luna Park (Jean Guigo / Louis Gasté) 2’24
19. Sanguine joli fruit (Jacques Prévert / Henri Crolla) 2’58
20. Le chef d’orchestre est amoureux (Georges Liferman / Jacques Mareuil) 5’21
21. Mon manège à moi (Jean Constantin / Norbert Glanzberg) 5’54
Durée totale 1h10’49
Enregistré par :
Europe N°1 (Novembre 1962)
Dates d’enregistrement :
Pistes 1 à 17 : Novembre 1962
Pistes 18 à 21 : Octobre 1958
Lieu d’enregistrement :
Théâtre de l’Étoile, Paris, France
Produit par : Jacques Canetti & Lucien Morisse (Pistes 1 à 17)
Personnel :
Freddy Balta, accordéon
Bob Castella, piano
Didi Duprat, guitare
Claude Gousset, trombone
Pascal Groffe, contrebasse
Roger Paraboschi, batterie
Hubert Rostaing, clarinette
Emmanuel Soudieux (pistes 18 à 21), contrebasse
Dédié à Claude Boquet, Bill Dubois, Jean Claude, Philippe Moch, Raymond Treillet et toute l’équipe
La collection Live in Paris :
Collection créée par Gilles Pétard pour Body & Soul
et licenciée à Frémeaux & Associés.
Direction artistique et discographie : Michel Brillié, Gilles Pétard.
Coordination : Augustin Bondoux.
Livret : Martin Pénet.
Conception : Patrick Frémeaux, Claude Colombini.
Fabrication et distribution : Frémeaux & Associés.