Mathilde Febrer - Milou en mai

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Mathilde Febrer - Milou en mai

Ref.: FA8613

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Hommage à Stéphane Grappelli

Mathilde Febrer

Ref.: FA8613

Direction Artistique : Kenichi Takahashi (Respect Record)

Label : FREMEAUX & ASSOCIES

Durée totale de l'œuvre : 47 minutes

Nbre. CD : 1

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Distinctions

Recommandé par :

- * * * * Paris Move
- * * * * Jazz Magazine

Présentation

Rendre hommage au maître français du violon jazz n’est pas chose aisée et pourtant qui mieux que Mathilde Febrer pouvait mener à bien cette aventure ? La violoniste, de formation classique et convertie au jazz depuis longtemps, a accompagné des artistes aussi variés que Daniel Colin, Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Led Zeppelin, Renaud, Henri Salvador, Rodolphe Raffalli ou Sanseverino. Voici enfin son premier album sous son nom, produit par le légendaire producteur japonais francophile, Kenichi Takahashi, pour le label Respect Record. La grâce sans égale de la violoniste est sublimée par aréopage de musiciens prestigieux, parmi les meilleurs représentants du jazz en France. Un swing sans pareil pour aborder un répertoire intemporel.
Augustin BONDOUX - Patrick FRÉMEAUX

I’LL REMEMBER APRIL • JAPAN FEELING • DOUCE FRANCE • MILOU EN MAI • BLUES FOR STÉPHANE • BALLADE DE L’ESPÉRANCE • SI TU SAVAIS • DOUBLE FROM NO.1 PARTITA FOR VIOLIN • VALSE DU GRAND PARIS • DAPHNÉ • THE JITTERBUG WALTZ • LES VALSEUSES.

MATHILDE FEBRER : VIOLON, ARRANGEMENTS • ALAIN JEAN-MARIE : PIANO • YVES TORCHINSKY : CONTREBASSE • JULIEN CHARLET : BATTERIE • JEAN-MARIE ECAY : GUITARE • SAMY DAUSSAT : GUITARE MANOUCHE

PRODUCTION : KENICHI TAKAHASHI - RESPECT RECORD

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Presse

« Une soliste aussi brillante qu'inspirée » par Jazz Magazine

Premier album publié sous le nom de la violoniste Mathilde Febrer, cet hommage à Stéphane Grappelli a été produit par le directeur du label Respect Record, le célèbre producteur japonais Kenichi Takahashi. Il rassemble dans des groupes à géométrie variable, des musiciens français venus d'horizons divers, tous dignes d'entourer une musicienne elle-même éclectique : la violoniste a, en effet, reçu une formation classique avant d'être gagnée par le virus du jazz Durant sa carrière, elle a accompagné des artistes aussi divers qu'Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Renaud, Led Zeppelin, Henri Salvador ou encore Stéphane Grappelli lui-même. Son engouement pour ce dernier, maître incontesté du violon jazz français, ne date pas d'hier. II se traduit ici par le choix d'un répertoire varié, emprunté à Grappelli. Django Reinhardt, Georges Ulmer, Charles Trenet ou Jean-Sébastien Bach. Sans oublier des compositions de Mathilde Febrer elle- même, qui signe aussi tous les arrangements Ceux-ci, axés sur le swing, offrent un somptueux écrin à une soliste aussi brillante qu'inspirée. Ainsi remporte-t-elle un pari ambitieux : se montrer digne de son modèle, tant dans l'approche de la musique que dans l'art de la transcender pour lui imprimer sa marque propre. Jacques Aboucaya – Jazz Magazine

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"Febrer has an impressive technique, and swings” Syncopated Times

“The French violinist Mathilde Febrer has had a wide-ranging career. Although trained in classical music, jazz interested her much more. She has performed with rock groups (including Led Zeppelin), Claude Bolling, big bands, swing groups, and even on a recording of the music of James Reese Europe.Milou En Mai is her recording debut as a leader. A tribute to the great violinist Stephane Grappelli, it finds Ms. Febrer playing in a sextet that also includes Jean-Marie Ecay and Samy Dussat on guitars, pianist Alain Jean-Marie, bassist Yves Torchinsky, and drummer Julien Charlet.Paying homage to an instrumentalist who plays the same instrument can be tricky. One has to balance emulating aspects of the subject’s style with adding to the music; there is no point in trying to be an exact copy. While inspired by Grappelli in her sound and phrasing, Mathilde Febrer also displays her own musical personality throughout her well-rounded set. She performs two Grappelli originals (“Milou En Mai” and “Les Valseuses”), Django Reinhardt’s “Daphné,” a pair of swing standards, four of her pieces (including “Blues For Stéphane”), Bach’s “Double From No. 1 Partita For Violin,” and two other songs.Everything works well. Febrer has an attractive tone, impressive technique, and swings. The same could be said for Stephane Grappelli and one imagines that he would have enjoyed this tribute.”By Scott YANOW – THE SYNCOPATED TIMES

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« L’élégance est reine… » par TED

« En 1990, sortait sur nos écrans Milou en mai du réalisateur Louis Malle. Un tandem de rêve avec les acteurs Michel Piccoli / Miou-Miou, et plus important encore, du moins pour le passionné de jazz, le violon de Stéphane Grappelli (1908-1997). Immense musicien, dans tous les sens du terme, qui dépasse le cadre du jazz et influença nombre d’instrumentistes, dont la violoniste classique-jazz Mathilde Febrer qui a une très belle feuille de route. Avec ce Milou en mai, qui fait référence au film évidemment, elle rend un hommage bien senti à son maître, et ce de façon appuyée et sensible. Et nous soulignerons deux fois plutôt qu’une qu’elle s’est entourée de quelques grands patrons de la scène française dont le guitariste Jean-Marie Eckay, le pianiste Alain Jean-Marie et le guitariste manouche Samy Daussat. En douze plages, des compositions inusables, interprétées avec lyrisme et finesse. À chaque écoute, des instants de bonheur vous surprendront avec Les valseuses, Si tu savais, I’ll Remember April, Blues for Stéphane (compliment de la violoniste) et l’inoubliable Daphné. Quand l’élégance est reine… » Par Christophe RODRIGUEZ – TENDANCES ELECTRONIQUES & DESIGN

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« Une pépite » par Paris Move

« La violoniste Mathilde Febrer a parfaitement accompli la mission qu’elle s’était fixée, rendre hommage à la figure tutélaire du violon jazz qu’était Stéphane Grappelli (1908 – 1997) dès le premier album sous son nom! De formation classique et convertie au jazz depuis longtemps (Daniel Colin, Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Led Zeppelin, Renaud, Henri Salvador, Rodolphe Raffalli ou encore Sanseverino), elle produit son premier album sous la direction artistique du producteur Kenichi Takahashi pour le label Respect Records. Elle est accompagnée par Alain Jean-Marie au piano, Yves Torchinsky à la contrebasse, Julien Charlet à la batterie, Jean-Marie Ecay à la guitare, Samy Daussat à la guitare manouche et Christophe Lampidecchhia à l’accordéon. Un petit clin d’oeil à la Partita N°1 de J.S. Bach, quelques incontournables du Maître lui-même, Les Valseuses, Milou en mai, des standards qu’il affectionnait, I’ll Remember April, The Jitterbug Waltz de Fats Waller, des coups de chapeau au partenaire Django, Daphné ou Si tu savais de George Ulmer, quelques compositions personnelles de la violoniste elle-même, Japan Feeling, Blues For Stephane, Ballade de l’Espérance, Valse Du Grand Paris, une relecture décalée de Douce France de Charles Trenet font de cet album une pépite que chériront tous les aficionados. » Par Dominique BOULAY – PARIS MOVE

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Liste des titres

Mathilde Febrer - Milou en mai

Piste

Titre

Artiste principal

Auteur

Durée

Enregistré en
1

I’ll Remember April

Mathilde Febrer

00:04:16

2024
2

Japan Feeling

Mathilde Febrer

00:04:38

2024
3

Douce France

Mathilde Febrer

00:03:38

2024
4

Milou en mai

Mathilde Febrer

00:04:02

2024
5

Blues for Stéphane

Mathilde Febrer

00:04:46

2024
6

Ballade de l’espérance

Mathilde Febrer

00:03:20

2024
7

Si tu savais

Mathilde Febrer

00:02:53

2024
8

Double from No.1 Partita for Violin

Mathilde Febrer

00:03:07

2024
9

Valse du Grand Paris

Mathilde Febrer

00:03:49

2024
10

Daphné

Mathilde Febrer

00:02:41

2024
11

The Jitterbug Waltz

Mathilde Febrer

00:05:20

2024
12

Les Valseuses

Mathilde Febrer

00:04:37

2024

Livret

Mathilde Febrer

Milou
en Mai

Hommage à Stéphane Grappelli

TELECHARGER LE LIVRET

Si l’on m’avait dit, à 10 ans, jeune étudiante de violon au conservatoire que je ferais un jour un disque en hommage à l’un de mes musiciens favoris, Stéphane Grappelli, ce violoniste reconnaissable entre tous dès les premières notes, je ne l’aurais pas cru... Pourtant Stéphane a dû semer suffisamment de graines sur mon chemin pour qu’un jour, à mon tour, je me tourne vers le jazz...

Pour préparer ce disque, j’ai donc passé un an avec Stéphane ! Pour mon plus grand bonheur !

Merci aux merveilleux musiciens qui m’ont accompagnée dans ce projet, c’est la richesse de leur talent qui a donné la couleur de ce disque.

Et surtout merci à Kenichi TAKAHASHI-SAN du label RESPECT RECORD sans qui rien n’aurait pu se faire... Bonne écoute !

Mathilde Febrer

Pour un(e) violoniste, rendre hommage à Stéphane Grappelli, figure tutélaire du violon jazz, est toujours un exercice de style délicat. Qui plus est lorsqu’il s’agit, comme c’est le cas pour Mathilde Febrer, de son premier véritable album sous son nom !

De cette double épreuve, l’on peut dire que Mathilde sort avec tous les honneurs, en ayant parfaitement rempli son contrat. D’abord, parce qu’elle mobilise ici,
avec justesse et élégance, l’intégralité de sa culture violonistique, classique (cf. son
très joli clin d’œil à la Partita N°1 de J.S. Bach) aussi bien que jazz. Qu’elle a conçu à cet effet un programme idéalement équilibré, ménageant les incontournables de Stéphane (Les Valseuses, Milou en mai), les standards qu’il affectionnait (I’ll Remember April), les coups de chapeau à son partenaire Django Reinhardt (Daphné, Si tu savais), judicieusement assortis de quelques compositions personnelles agréablement « balancées » (Ballade de l’espérance, Valse du grand Paris, Japan Feeling…), qui feront assurément le bonheur de l’auditeur et qui montrent par ailleurs que Mathilde « en a sous le pied ». Parmi ces dernières, son Blues for Stéphane occupe une place singulière : par son titre – emblématique, par sa signature sonore – qui nous replonge à l’aube des Seventies, autant que par les perspectives qu’il laisse entrevoir. Tout comme cette relecture « décalée » (à 11 temps) de Douce France, l’hymne de Charles Trénet. Nul doute que Grappelli (qui n’hésita pas à enregistrer avec les Pink Floyd) aurait apprécié !

Enfin (mais l’on aurait pu tout aussi bien commencer par là !), ce matériel se trouve somptueusement sublimé par les partenaires dont Mathilde a su très intelligemment s’entourer. En imaginant deux « couleurs », qui alternent, se croisent et parfois se superposent tout au long de cet album : piano – avec le légendaire Alain Jean-Marie, et guitares – avec Jean-Marie Ecay et Samy Daussat, deux pointures chacun dans leur domaine, auxquels se joint en invité le tourbillonnant accordéon de Christophe Lampidecchia, Mathilde brosse un portrait on ne peut mieux cadencé du maître du violon jazz. Quant à la section rythmique, superbement assumée par Yves Torchinsky (contrebasse) et Julien Charlet (batterie), elle offre l’écrin qu’on attendait.

Max Robin

Produit par Kenichi Takahashi
pour le label Respect Record

Direction : Mathilde Febrer

Enregistrement et mixage : Mohammad Sadeghin

Assistant : Thomas Bonnin

Enregistré au STUDIO DE LA SEINE

Mixé au KFH STUDIO

Mastering : Mitsukazu Tanaka

Assistant : Moe Kazama

Studio Chatri, Tokyo, Japon

Artwork : Yoji Asada

Photos : Philippe Cabaret