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  • « la splendeur de l’âme » Blog de Choc
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    « (…) Dans “Birdy Heart” (AxolOtljazz / La Lichère /Frémeaux & Associés), elle chante la splendeur de l’âme qui, échappant au regard, se révèle dans le rayonnement de chaque être. Cet album est le dernier que produit AxolOtljazz, label fondé par Jean-Louis Wiart et qui après vingt ans d’existence, cesse son activité. Do l’a enregistré au Brésil avec Sergio Farias et Roberto Taufic (guitares) et Airton Guimarães (contrebasse). Entièrement acoustique, il contient des thèmes de Luiz Eça (le superbe Imagem qui introduit l’album), Antônio Carlos Jobim, Edu Lobo et quelques standards de jazz, Never Let Me Go que Nat « King » Cole interprète dans le film de Michael Curtiz “The Scarlet Hour” (“Énigme policière”) et Peace d’Horace Silver. Des chansons parfois co-signées avec Sergio Farias que Do interprète en portugais, français et anglais. Marc Berthoumieux (accordéon), Jacques Morelenbaum (violoncelle) et Toninho Horta (guitare) jouent sur certaines d’entre-elles. De ce dernier, elle rep [...]

  • « Un exposé d’une érudition jamais pesante. » par Le Soir
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    Marc-Aurèle, c’est l’homme aux multiples facettes, c’est l’empereur du IIᵉ siècle après J-C, c’est un philosophe qui nous a laissé des écrits sous son nom, c’est un empereur romain mais qui écrit en grec. Comment saisir l’insaisissable Marc-Aurèle ? Empereur et philosophe, cela ne va pas de soi. Les historiens s’accordent à dire que l’Empire romain vit sous Marc-Aurèle l’apogée de son histoire juste avant un déclin qu’annoncent déjà les menaces des barbares aux frontières. Véronique Boudon-Millot aborde ce personnage contradictoire avec une érudition jamais pesante et une narration qui ne lasse pas. Par J.-C. V. – LE SOIR

  • « Ce coffret est un exemple insurpassable de l’art vocal du grand Ray » par Clas
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    Voilà quatorze ans que Ray Charles nous a quittés, mais il reste un des plus grands chanteurs qu’il nous ait été donné d’entendre. Sa première apparition en dehors des États-Unis fut en France, au Festival International de Jazz d’Antibes juan les Pins en 1961. L’ORTF avait alors diffusé, sous la direction de Jean-Christophe Averty, le premier concert, celui du 18 juillet, repris sur DVD en 2011 par Reelin’ In the Years. Mais voilà que ceux des 19, 21 et 22 juillet sont désormais ajoutés dans un coffret inespéré de 4 CD permettant de revivre ces soirées fabuleuses. Non seulement Ray Charles s’y montre à son sommet et ses plus grands succès sont présents (« What I Say, Georgia On My Mind, The Right Time, I Believe To My Soul”, etc.), mais son orchestre comprend David Newman, Hank Crawford, Philip Guilbeau et le batteur Bruno Carr, qui furent sans doute ses meilleurs accompagnateurs. En outre, le groupe féminin the Raelets se produit à ses côtés, avec en particulier la brûlante Marjo [...]

  • « De magnifiques révélations » par Classica
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    C’est enfin Kurt Weill dont les airs sont célébrés ( "Mack The Knife, September Song, Speak Low, My Ship, Bilbao Song", entre autres) sur 3 CD par une grande variété d’interprètes et d’interprétations. On y découvre des versions rares, certaines surprenantes, d’autres magnifiques révélations. Toutes ces versions aident à cerner le talent multiforme de ce grand compositeur allemand. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Des documents inédits ou rares » par Jukebox
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    Dans la série de documents inédits ou rares sur scène, Frémeaux exhume ici 17 titres de Jacques Brel à l’Olympia en octobre 1961 consignés par Europe N°1 et sept le 10 septembre 1960 à la Foire de Douai (tous inédits sauf trois). On sait Jacques Brel à la fois adepte de tournées stakhanovistes et très lié à l’Olympia, où il démarre en juillet 1954 au programme de Damia, crée « Amsterdam » en 1964 et fait ses adieux scéniques en 1967. Il fait ô combien partie d’une poignée d’artistes qui sur scène (ou en télé) se sur-dimensionnent, notamment depuis que, en 1958, il a cessé de s’accompagner à la guitare, qui bridait son expressivité. Dans une tradition qui s’est un peu perdue, Jacques Brel rode même certaines de ses créations sur scène. C’est le cas chez Bruno Coquatrix pour « Les Bourgeois », « Les Paumés Du Petit Matin », « Madeleine », « Zangra ». Alors qu’il est en transfert connu et à litige entre Philips et Barclay, le premier édite « A L’Olympia » en 25 et 30 cm plus super 45 [...]

  • « Un précieux album » par Le Monde
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    « François Tusques, Césarius Alvim, Lee Konitz, Jeff Gardner, Patrick Favre, Guillaume de Chassy, Daniel Yvinec, Frédéric Jeanne… ont été quelques-uns des musiciens enregistrés par la compagnie phonographique AxolOtl Jazz depuis 1994, fondé par Jean-Louis Wiart. Dernière en date, et pour ce qui sera la dernière production du label, la chanteuse Do Montebello, dont vient de paraître Birdy Heart (AxolOtl Jazz-La Lichère/Frémeaux & associés). Dans un environnement musical créé par des guitares, acoustiques essentiellement ou discrètement électrifiées, une contrebasse, ici et là un violoncelle, un accordéon, Do Montebello interprète une quinzaine de chansons douces, touchantes, voix précise dans le phrasé, caressante, en portugais, anglais et français. Des reprises d’Antonio Carlos Jobim, Edu Lobo ou Horace Silver et ses propres compositions avec le guitariste Sergio Farias, dans l’esprit (Outrenoir, The Volcano, Rindo Ao Vento, Birdy Heart…). Ce précieux album – et des chansons du pr [...]

  • « L’un des très grands albums jazz de cette année » par Couleurs jazz
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    « Francis Lockwood revient avec un album en 4tet parfaitement lumineux. Francis Lockwood, pianiste et compositeur est un musicien rare au jeu remarquable ; un grand maître des harmonies et du rythme, aussi à son aise dans les répertoires jazz bebop que dans les univers rock, celui de Franck Zappa ou bien encore de Jimi Hendrix. Avec ce nouvel album sorti chez Frémeaux & Associés, il évoque davantage et avec beaucoup d’adresse et de bonheur, le jazz hardbop, en hommage au célèbre club de Jazz New-yorkais, le Minton’s Playhouse. L’album est d’un bout à l’autre jubilatoire. Dès l’ouverture, « Spiritual Ways » vous secoue les neurones un grand coup, pour vous mettre dans les meilleures conditions d’écoute pour ce qui va suivre… Et dès le 2ème morceau, « Night Blues », ça y est, vous êtes entièrement captivé. On est dans l’album qui fera date, un futur collector. Une seule écoute suffit, confirmée par toutes les autres, que l’on ne peut s’empêcher d’enchainer. Voici alors, le titre épo [...]

  • « Magnifique album et magnifique quartet » par Batteur Magazine
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    Cruelle ironie du sort, le lendemain de la fin de cet enregistrement, l’excellent pianiste et compositeur Francis Lockwood perdait son frère violoniste Didier, à qui chaque note de ce superbe album est dédiée… Bebop, hard bop et soul jazz, Francis nous emmène quelques décennies en arrière, le titre de l’album évoquant le célèbre « Minton’s Playhouse », club de jazz historique de Harlem fondé en 1938 par le saxophoniste Henry Minton. De la ballade au titre « up tempo », douze compositions originales, dont l’une co-signée par Baptiste Herbin, flamboyant saxophoniste alto, les deux compères étant soutenus par une rythmique soudée, efficace et nuancée : le Cubain Damian Nueva à la contrebasse, et le Niçois Frédéric Sicart à la batterie. Magnifique album et magnifique quartet, à voir au Pan Piper (Paris) le 9 novembre…Par Thierry « FANTOBASSE » MENU – BATTEUR MAGAZINE

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