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  • « La rencontre inouïe d’une traduction et d’une lecture » par Lire
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    "Ce coffret consacré au « De rerum natura » de Lucrèce est la rencontre inouïe d’une traduction et d’une lecture. Docteur de l’Ecole pratique des hautes études en philologie et littérature latine, agrégé de lettres classiques, professeur de première supérieure à Louis-le-Grand, Bernard Combeaud, décédé en janvier dernier à l’âge de 69 ans, reçut, en 2016, le prix Jules-Janin de l’Académie française pour cette traduction parue chez Mollat à Bordeaux. Il fallait, pour la lire, la voix d’un lecteur comme Denis Podalydès. Si ce vaste poème matérialiste est, aux dires de Bernard Combeaud, sans antécédent et sans successeur dans la littérature universelle, cette rencontre d’un acteur et d’un traducteur pourrait bien l’être aussi dans le domaine du livre audio. Peut-être faudrait-il désormais un autre terme pour nommer ce matérialisme, tant le verbe poétique de la traduction est exaltant, lequel respecte la métrique de Lucrèce et mime le dynamisme d’une autre nature toujours en mouvement [...]

  • « L’angle d’approche, nuancé dans le livret, fonctionne » par Jazz News
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    « L’avant-Garde », c’est tout à la fois une exposition dans les locaux de Frémeaux & Associés à Paris et une compilation orchestrée par Bruno Blum qui mène ses auditeurs d’Erik Satie à Zappa, en passant par Charlie Parker. Les enregistrements classiques, qui ne sont pas les plus incandescents en raison de la politique « domaine public » du label, sont le seul bémol qu’on pourrait faire en toute honnêteté à cette sélection chronologique dont l’angle d’approche, nuancé dans le livret, fonctionne : la correspondance entre Debussy et Ellington, Moondog et Messiaen délivre de nouvelles compréhensions et décloisonne les esgourdes. Mais malgré tout, l’anthologie témoigne malgré elle de la péremption du concept d’avant-garde, dont les origines militaires se rappellent toujours plus à notre présent : l’histoire, fut-elle de l’art, n’est pas un champ de bataille où l’on dégoupille vers l’arrière-ban ses grenades de modernité ou d’académisme. Comment comprendre que soient ramassés sous le mê [...]

  • « Un récital de légende » par Classica
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    Il y aura bientôt soixante ans le 1er octobre 1958, l’Olympia accueillait sur scène une brochette prestigieuse de jazz men américains : le trio du pianiste Phineas Newborn avec Oscar Pettiford et Kenny Clarke puis, avec la même rythmique, le saxophoniste Lee Konitz, suivi des trombonistes Jay Jay Johnson et Kai Winding. Sous l’appellation de « Jazz from Carnegie Hall », tout un aréopage de brillants solistes qui enflamme la salle parisienne où de chanceux spectateurs se voient offrir un récital de légende dont aujourd’hui la précieuse restitution sonore constitue un pur miracle. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Une rétrospective, judicieusement organisée » par Classica
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    Le saxophoniste belge Bobby Jaspar, mort trop tôt à trente sept ans, se voit consacrer une anthologie en trois CD rendant justice à son talent d’improvisateur qui séduisit les plus grands, tels Miles Davis, Milt Jackson, Chet Baker et beaucoup d’autres. Rassemblant ses faces essentielles captées en France et aux Etats-Unis, cette rétrospective, judicieusement organisée par Alain Tercinet, permet de réécouter une des plus grandes voix de la fin des années 1950 et une personnalité musicale injustement oubliée, mais très attachante. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Un travail soigné et de grand goût » par Stars Illustrated
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    La société Frémeaux et Associés qui édite un catalogue reluisant de toutes les musiques du monde, vient d’éditer un coffret de 3 cd sur cette grande vedette de l’accordéon, mondialement connue, qui fut l’accompagnateur de grandes vedettes de la chanson, dont Jacques Brel qui lui disait dans « Vesoul », ‘Chauffe, chauffe Marcel’ et là il y avait un déchainement de notes dignes de notre grand Marcel. Ce coffret comprend 3 époques sur une décennie. Marcel Azzola dans les grands classiques du musette avec à la fin deux inédits appartenant à Marcel Azzola, « Campanera » et « Ay mi sombrero » chantés par Lina Bossatti qui est également une grande virtuose du violon et du piano (c’est une surprise) sur le CD 2 Marcel Azzola interprète toutes les grandes chansons en rendant hommage aux plus grands de la chanson et sur le CD 3, cerise sur le gâteau les plus belles pages classiques en terminant par des standards internationaux avec « Lover » (collection personnelle de Marcel) jamais sortie [...]

  • « Que tous les saints de La Nouvelle-Orléans soient honorés » par Libération
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    « L'art de Louis Armstrong, retrouvé chez des particuliers qui ont enregistré ses concerts avec leur poste radio en 48/49, retentit de joie pure dans 3 nouveaux CD. L' Intégrale du trompettiste de la Nouvelle-Orléans chez Frémeaux compte maintenant 45 CD. Que tous les saints de La Nouvelle-Orléans soient honorés en ce début de printemps, l’éditeur phonographique Frémeaux et Associés présente le quinzième volume (3 CD par coffret) de l’Intégrale Louis Armstrong, premier génie du jazz. Génie ? Le mot est faible. L’histoire sacre le trompettiste (cornettiste), créateur et premier soliste du jazz. Fondateur d’un art majeur du siècle dernier. Le Louisianais, de 1925 à 1945 invente tout. Sans conteste. Miles Davis : « On ne peut rien jouer à la trompette que Louis Armstrong n’ait déjà joué - y compris le jazz d’aujourd’hui. J’aime la conception moderne du jeu de la trompette, jamais il ne sonne. mal. Il joue sur le temps. Comment mal jouer quand on joue sur le temps avec un tel feeling? [...]

  • « Monumental » par Libération
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    &laquo;&nbsp; Dans ses oeuvres s&eacute;lectionn&eacute;es, le saxophoniste t&eacute;nor au son tant&ocirc;t coup de boule, tant&ocirc;t suave (&laquo;de balle de coton&raquo; selon le critique Michel Contat). Un des trois, avec Coleman Hawkins et Lester Young, qui d&eacute;boulonn&egrave;rent le tr&ocirc;ne de la trompette dans le royaume du jazz, cela &agrave; partir des ann&eacute;es quarante. Monumental.&nbsp;&raquo;Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Un prince du jazz » par Télérama
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    &laquo; Cadeau. Que fit Ben Webster &agrave; l&rsquo;histoire du jazz. Ce son &eacute;norme du saxophone t&eacute;nor au sein de l&rsquo;orchestre de Duke &shy;Ellington, opulent, splendide et doux lainage sur les ballades, v&eacute;h&eacute;mence rauque sur les tempos vifs. La l&eacute;gende de Kansas City nocturne sous &shy;Pendergast, le maire corrompu, retient le &laquo; cutting contest &raquo; (bataille musicale) en jam session qui opposa Coleman Hawkins, Ben Webster et Lester Young et dont ce dernier sortit vainqueur. Son style se situait &agrave; &eacute;gale distance de celui du Hawk, l&rsquo;aigle imp&eacute;rial du jazz, et celui du Pr&eacute;sident funambule qui annon&ccedil;ait par son phras&eacute; la r&eacute;volution be-bop. Webster, c&rsquo;&eacute;tait une sensualit&eacute; appuy&eacute;e de s&eacute;ducteur jouant sur le souffle, avec une sonorit&eacute; de balle de coton, ou sur le muscle, avec un son tendu comme pour impressionner les dames. Alain Gerber, dans [...]

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