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  • « Michel Onfray chante le temps virgilien » par Philosophie Magazine
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    « La mort de son père en novembre 2009 lui a donné l’impulsion de ce livre définitif, annoncé comme le premier tome d’une trilogie : la Nature, l’Histoire, la Sagesse, rien moins qu’une « brève encyclopédie du monde »… Cosmos est placé sous le signe de l’étoile Polaire que son père lui avait appris à voir pour ne jamais se perdre, l’étoile de ce pôle Nord où ils voyagèrent ensemble, étoile qui, justement, était cachée sous les nuages le soir où le père mourut dans les bras du fils, étoile qui raconte le cosmos comme « lieu généalogique et païen de la sagesse », étoile, enfin, comme « point de repère existentiel » d’une vie digne de ce nom. (...) Dans les pas de son père, Michel Onfray chante le temps virgilien, la culture comme agriculture (conservation, dépassement et transfiguration de la nature), le penseur des champs contre le penseur des villes, le paganisme antique, le sens de la terre et du ciel (où ne se trouvent ni Idées ni dieux, mais l’immensité physique de l’Univers), [...]

  • « Une amoureuse de chanson et d’histoire » par I/O
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    « (…) Il ne fallait pas moins qu’une femme d’exception pour redonner des couleurs à Yvette. Sa plume magnifique ne pouvait pas être mieux servie que par une amoureuse de chanson et d’histoire qui travaille depuis plus de dix ans à exhumer les traces de cette femme disparue. Mais où sont donc toutes les Nathalie Joly de ce monde ? »Par Lola SALEM –  I/O

  • « Ce madison swingue agréablement » par Jukebox
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    La danse en ligne que l’on qualifie de country, très populaire de nos jours, pratiquée par des milliers d’adeptes, s’inspire du madison. Après le rock’n’roll qui se danse à deux puis le twist qui voit chacun se démener de son côté, le madison propose une véritable nouveauté, tous ceux qui se trouvent sur la piste exécutant les mêmes pas, autant que possible à l’unisson. Comme tous les airs nouveaux, le madison nous vient de là-bas, d’outre Atlantique, où Al Brown’s Tunetoppers avec Cookie Brown créent « The Madison » (Amy N°23). Le même mois (avril 1960), sort « The Madison Time, Part 1 » du Ray Bryant Combo (Columbia, N°30). Empruntant un peu au rythme du stroll, le madison swingue agréablement. Ces premiers exemples laissent une belle place à l’orgue et au saxo, ce qui leur donne une coloration jazz ou R&B. En juin 1962, dirigé par le formidable guitariste américain Mickey Baker, Billy Bridge (1945-1994) enregistre « Le Grand M », « Ça C’Est Le Madison » et « En Twistant Le Madi [...]

  • « Comme toujours chez Frémeaux, c’est un spécialiste, qui s’y colle » Par Jukebo
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    Voici une suite au répertoire d’avant 1963 de Claude Nougaro, à titre personnel et surtout auprès de ses confrères (double, 46 titres). Comme toujours chez Frémeaux, c’est un spécialiste, Olivier Julien, qui s’y colle, là où il s’agit, dans un but « définitif », de ne rien omettre sur un sujet donné, en plus d’un livret éclairant. A son avènement en 1962, l’originalité de Claude Nougaro est flagrante : style de chanson-jazz convaincant, qui réunit les tenants de la syncope et de la rime ; singulière inspiration d’auteur, alliant poésie et jeux linguistiques ; parlé-chanté inimitable, de la « diversité » parmi les accents exotiques, parigots ou neutres de l’époque ; enfin morceaux forts et à succès. Comme quoi en 1962, au plus fort de la vague rock-twist, la porte reste ouverte à la java-jazz. D’ailleurs, Nougaro est diffusé sur « Salut Les Copains ». La sélection démarre par les neuf titres de son premier 25 cm Philips de 1962, qui est sans doute son meilleur album, avec quatre de [...]

  • « Un chef-d’œuvre à classer dans l’anthologie des documents sonores » par Jukebo
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    L’accordéoniste-chanteur Clifton Chenier est né le 25 juin 1925 à Opelousas en Louisiane. Tout jeune, il se passionne pour cet instrument dont son père joue régulièrement dans les bals du samedi soir. Avec son frère ainé Cleveland, ils émigrent à Port Arthur (Texas) à la recherche d’un travail mieux rémunéré dans l’industrie pétrolière. Tous les deux musiciens, de culture acadienne-créole, ils proposent leur pittoresque zydeco mixé de blues, boogie, rhythm’n’blues, chants populaires et airs de danse (valse…) dans les bals texans et louisianais. Il faut attendre 1955 pour que Clifton se fasse reconnaître dans le milieu artistique et devienne le « King of Zydeco ». Son premier succès, « Ay-Tete-Fee » (eh petite fille), qui figure dans cette compilation, a été enregistré à Los Angeles, la même année. Clifton est accompagné par son frère Cleveland au frottoir (rub board), James K. Jones (piano), le virtuose Philip Walker (guitare, créateur de « Laughin’ and Clownin’ » repris notamment [...]

  • « Des textes d’une incroyable modernité » par Le Figaro
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    Les rappeurs, pour la plupart très machos, seraient bien surpris de découvrir que leur ancêtre était une femme, féministe de surcroît : Yvette Guilbert, inventrice du « parlé chanté » et reine du café-concert à la Belle Epoque. Sa vie fut une extraordinaire aventure au cours de laquelle elle parcourut le monde et rencontra Freud. Nous sommes en 1890, le futur inventeur de la psychanalyse est encore étudiant de Charcot à la Salpêtrière quand il assiste au concert d’Yvette. Freud est subjugué, et quarante années durant, ils entretiendront une correspondance et se verront régulièrement à Vienne où Yvette, star de l’époque, donne quasiment un concert par an… Le souvenir de cette pionnière nous est transmis par la chanteuse et actrice Nathalie Joly, qui a fait de la vie d’Yvette Guilbert le sujet de tous ses spectacles. La première pièce qu’elle lui consacre, crée à la demande de la Société française de psychanalyse, est jouée devant 800 psychanalystes médusés. Depuis Nathalie Joly a r [...]

  • « Une authentique joie de vivre » par Jukebox
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    Film à succès, « La La Land » (Damien Chazelle, 2016) attire l’attention sur le Caveau de la Huchette, club parisien sis au 5 de la rue éponyme, ouvert en 1948, époque où l’idée de jazz, musique américaine, et celle de la libération (avec ou sans majuscule) se marient naturellement. L’extraordinaire longévité du Caveau est illustrée par cette « Anthologie » (3cd, 55 titres, livret français/anglais 24 p. par Jean-Michel Proust, par ailleurs saxophoniste). Danseur ou mélomane, on vient au Caveau déguster du jazz, qu’il soit d’orientation blues, boogie, Nouvelle-Orléans ou bop, qu’importe s’il swingue. L’esprit Saint-Germain-des-Prés règne toujours dans ce sous-sol devenu un haut-lieu de la capitale. La diversité des musiciens qui s’y sont succédés est illustrée par la sélection qui comprend pas mal de personnalités qui ont marqué le public parisien, Memphis Slim (« Shake Rattle And Roll » avec Michel Denis), Milt Buckner (« Boogie-Woogie Au Caveau De La Huchette »), Wild Bill Davis [...]

  • « Ces trois CDs sont bien faits » par Big Bear
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    Il est bon de revenir en arrière sur cette époque « yéyé » des années 60. À l’écoute de nos chanteurs français, avec le recul, les anglais et américains avaient une bonne avance sur nous. De mon côté, pas facile de donner mon avis car à l’époque et même aujourd’hui, j’ai toujours préféré la musique anglo-saxonne et outre-atlantique qui m’apporte le rêve. Il est bon aujourd’hui de se remémorer ces chansons que l’on a tous entendues, pour ceux qui ont au moins de 70 ans et plus. Ces trois CDs sont bien faits car nous avons à chaque titre la version française et américaine ou anglaise. Nous allons des Chaussettes Noires aux Chats Sauvages, de Long Chris jusqu’aux Pingouins, et oui !  Et ce n’est pas tout ! Et pour la langue anglaise Gene Vincent, les Everly Brothers, Cliff Richard, Jerry Lee Lewis et bien entendu Bill Haley et bien d’autres… Une écoute musicale de cette époque ne fait pas de mal et vous évoque toujours un passé qui n’est plus.Par BIG BEAR

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