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  • « Un minutieux travail de réédition » L’Alsace
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    « Fruit d’un minutieux travail de réédition, ce double CD sort Don Byas des oubliettes. Décédé à Amsterdam en 1972 après un ultime concert à Zürich, le saxophoniste détenait le secret du son de velours qu’il partageait avec Ben Webster ou Stan Getz. Sa carrière est ici résumée de 1938 à 1955, de ses premières collaborations (NDLR : il avait joué à Strasbourg en 1949 avec l’Edward’s Jazz Band) jusqu’à ses débuts sous son propre nom. Des standards comme Laura, Body & Soul, September Song, You go to my head, ou Worried n’Blues, qu’il a signé, remettent en perspective la quête d’un son langoureux via des notes séductrices. Un jazz bigrement classique qui survit à la patine du temps. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « Soixante douze titres exceptionnels » par L’Echo Républicain
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    « Les éditions Frémeaux ont encore frappé ! Scrupuleux défenseur du patrimoine, le label vient de sortir un exceptionnel triple CD qui se penche sur les grands moments de la musique soul née à La Nouvelle Orléans. Pas de jazz, donc, mais soixante douze titres exceptionnels, où se pressent Fats Domino, Slim Harpo, l’ombrageux Larry Williams ou Irma Thomas (notre photo). Exemplaire. » Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN

  • « Un coffret magnifique » Chant…Songs
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    « Auteur, humoriste, comédien, chanteur… Que n’a pas fait Francis Blanche ? Un coffret magnifique nous permet de retrouver le créateur de chansons savoureuses servi par ses propres interprétations et par une belle brochette d’artistes. Francis Blanche chante et fait chanter... c’est en quatre CD une plongée passionnante dans l’univers d’un auteur qui fit chanter son monde durant quatre décennies avec des couplets ironiques, décalés. L’homme qui était  un adolescent timide quand il alla féliciter Pierre Dac après l’avoir découvert sur scène, devint dès 1947 le chansonnier le plus jeune de Paris. Un autre record précoce pour celui qui était le plus jeune bachelier de Paris. Ensuite, malgré le tabac qu’il connut à la radio, ses succès au cinéma, sur les planches, à la télévision,  Francis Blanche, un suractif maladif,  ne cessa de composer des fables-expresses et des chansons à l’écriture savoureuse. On le mesure ici avec des textes comme Général  à vendre, Sœur Marie-Louise ou La Fi [...]

  • “His natural successor” par Jazz Journal
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    “Celebrating the centenary of the great Stéphane Grappelli’s birth, this musical homage was first released in 2008 and has now been given a welcome reissue.  Curiously this is not Didier Lockwood’s first tribute to Grappelli; the first, Tribute to Stéphane Grappelli, was recorded in 2000 but this later recording is a much more lavish affair adorned by a host of guest artists, many with their own connections to the late violinist. Lockwood was feted by Grappelli, who called him his “grandson”, the older man perhaps regarding the younger as his natural successor, since Jean-Luc Ponty, surely the most eminent jazz violinist alive, was so taken with electronics. For anyone familiar with Grappelli’s work, this is a deserved tribute as the violinist was undoubtedly the finest exponent of the violin in jazz to date. Good as his peers are or were, they have never matched Grappelli’s sheer stylistic finesse and panache played with such apparent (but deceptive) insouciance. On this CD there [...]

  • « Une référence incontournable » par Accordéon & Accordéonistes
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    « Ce coffret de trois CDs 1949-1962 va devenir une référence incontournable.  Dans le coffret “Accordion in Americas, 1949-1962”, les directeurs artistiques Teca Calazans et Philippe Lesage déclinent l’accordéon américain en soixantedix titres. De la musique rurale trad’ aux riches harmonies du choro en passant par le jazz nord-américain, l’accordéon s’est adapté à tous les contextes musicaux. Il se fait soutien de la voix et du texte quand il s’insère dans les traditions folkloriques, leader d’un groupe de danse (par exemple le trio colombien Seibano présent avec sept titres), soliste sous les doigts d’un Sivuca ou se fondant dans des alliages sonores (vibraphone, guitare, accordéon) chez le jazzman Art Van Damme. Brésilien, jazz, roots Le CD n°1 est plutôt brésilien. On trouve Luis Gonzaca et Sivuca, chacun sur cinq titres, dont les fabuleux Carioquinha no flamenco et Tico tico (1952) au swing impressionnant par Sivuca, les magnifiques Sanfonando (enregistré en solo en 1942) et [...]

  • « La bande-son d’une époque » par Djam
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    « Illustration sonore de la belle exposition en cours au Centre Pompidou sur le mouvement de la Beat Generation, l’anthologie conçue par Bruno Blum est un peu la bande-son d’une époque durant laquelle de jeunes blancs férus de littérature, de rêves libertaires, de trips sous hallucinogènes  et de voyages  vont se prendre de passion pour la note bleue, envier la désinvolture des «  hipsters », s’inspirer de leur mode d’expression spontanée et briser la chape de plomb de la morale conservatrice et pudibonde de ces temps de ségrégation raciale.  Puisqu’il fallait bien lui définir une identité, le mouvement littéraire conduit de manière informelle par la bande d’amis qu’étaient Jack Kerouac (1922-1969), Allen Ginsberg (1926-1997) et William Burroughs (le plus âgé, né en 1914, décédé en 1997 ; petit-fils du créateur de la première machine à calculer) s’est vu imposer bon gré mal gré l’étiquette « Beat Generation ». Dans le monde occidental, plusieurs générations de « beatniks » furent [...]

  • «Réveille l’esprit » par Daily Books
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    « Premier concert parisien du pianiste cofondateur (avec Art Blakey) des Jazz Messengers et initiateur du soul jazz, Horace Silver est ici en quintet. Les cinq morceaux proposés sont des compositions d’Horace Silver et nous sommes en présence d’un jazz qui a pour moi la particularité de s’écouter sans toujours s’entendre. Je veux dire que vous écoutez le vinyl ou le CD de manière plus ou moins discontinue et que ce qui vous touche, vous émeut à la première audition n’est pas nécessairement ce qui vous touchera à la seconde. Est-ce assez clair ? Il me semble que la première raison de ce phénomène est bien sûr le fait que les compositions ont le même auteur, une seconde raison vient de l’unité du quintet (Horace Silver : piano, Junior Cook : saxo ténor, Blue Mitchell : trompette, Gène Taylor : contrebasse, Louis Hayes : batterie). Et cette unité est des plus manifeste dans The Preacher, un morceau que les responsables de Blue Note trouvaient trop « Dixieland ». Étrange car à la deux [...]

  • « Eclectisme et extrême sensibilité pour cet hommage à Fats Waller » par Jazz Ma
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    Marc Benham confirme avec cet hommage à Fats Waller un éclectisme qui, associé  à ce masque de pingouin déjà arboré sur son précédent « Herbst », tient du sourire selon Martial Solal. Mais c’est autre chose que ce dernier salue chez Benham : « technique, feeling, sens harmonique, invention mélodique, il a su incorporer à son langage, pétri de tradition, toutes les avancées. ». Ses compositions « Boxing Day » et «  Tes zygomatiques » ont en tout cas des atours très solaliens, et témoignent d’un bagage classique qui s’exprime dans le détaché et le feutré des premières notes du disque. Comme conçu pour jouer Liszt, le poids du son ménage fermeté, délicatesse et facilité à l’accélération du débit, le rubato se laissant soudain corrompre par un rythme shuffle, puis plus soudainement encore par le stride de « Viper’s Darg » (Fats Waller). Ailleurs (« Black and Blue » ou, écart vers James P. Johnson, « Carolina Shout »), il imprime mille détours au stride de la main gauche et mille autre [...]

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