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  • « Un pianiste des plus honorables » par Jazz Magazine
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    Révélation avec ce même trio, du festival d’Antibes 1961, Les McCann fut un musicien controversé. Imposteur pour les uns, génial novateur pour d’autres, il ne méritait « ni cet excès d’honneur, ni cette indignité ». Ce concert enregistré live au Caméléon, avec tous les avantages et inconvénients que cela suppose, permet de faire fi des a priori et de juger sur pièce. On y entend un pianiste des plus honorables, nourri de gospel et de blues, pratiquant, avant que la mode ne s’en empare, un jazz mâtiné de soul.Par Jacques ABOUCAYA – JAZZ MAGAZINE

  • « La suite menée par le spécialiste J.P.Meunier » Par Jazz Magazine
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    Suite d’une anthologie menée par le spécialiste Jean-Pierre Meunier, ce triple CD nous entraîne sur des routes qui croisèrent souvent celles du jazz au voisinage du Bal Colonial de la rue Blomet, de la Coupole ou de la Cigale, etc. Les héros en sont le trompettiste Abel Beauregard, le tromboniste Al Lirvat, les altistes et clarinettistes Félix Valvert, Sylvio Siobud, Robert Mavounzy, le violoniste Ernest Léardée, le pianiste Bernard Sardaby (père de Michel), le guitariste chanteur Pierre Louiss (père d’Eddy Louiss) et bien d’autres…Par Alfred SORDOILLET – JAZZ MAGAZINE

  • « Une anthologie essentielle » par Jazz Magazine
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    Du jazz jamaïcain, on connaît surtout certaines figures semi-légendaires qui émergèrent au début des années 1960 pour inventer le ska au sein des Skatalites : les Roland Alphonso, Don Drummond, Tommy McCook et autres Ernest Ranglin – La plupart anciens élèves de la fameuse Alpha School, une école catholique dont la Sœur Ignatius possédait une impressionnante discothèque jazz et inculqua aux adolescents de précieuses leçons d’harmonie. On retrouve sur cette anthologie leurs rarissimes premiers enregistrements ensemble, pré-Skatalites, au sein du Cecil Lloyd Group, en 1962. L’un des trésors de ces trois CD, qui devraient faire sortir de l’ombre des musiciens dont l’histoire a, injustement, oublié le nom. Ainsi du saxophoniste Joe Harriott, dont le vocabulaire et l’évolution n’avaient pas grand-chose à envier à ses homologues américains , d’une reprise de « Cherokee » à une autre de « Caravan » appuyée par des tambours, en passant par des flirts avec le free (Impression, Calypso Sket [...]

  • « Une belle moisson de raretés au son craquant ! » par A/R
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    « Qu’y avait-il avant le reggae ? Ce label avait déjà documenté les débuts du ska et les musiques rituelles des campagnes jamaïcaines ; voilà qu’il ressuscite sur trois rondelles le jazz de l’île, des débuts au sein de la diaspora londonienne à la fusion du hard bop et des percussions rastas. Le tout baigne dans une chaude décoction de rythmes caribéens, avec de nombreux emprunts au mento, l’équivalent local du calypso de Trinidad. Une belle moisson de raretés au son craquant ! »Par François MAUGER – A/R

  • « Erratique et pourtant… » par Jazz Magazine
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    La fin approche, la carrière se fait erratique et pourtant… Certes, la discographie officielle s’effiloche e nous n’en aurons ici, sous le nom de Charlie Parker, que la belle séance Clef/Verve en quartette (Hank Jones, Teddy Kotick, Max Roach) du 30 décembre 1952 (Kim, Cosmic Rays…). Au merveilleux succède le décevant où, le 30 janvier 1953 sous le nom de Miles Davis pour Prestige, Bird joue du ténor. La séance Clef du 25 mai arrangée par Gil Evans repoussée au volume suivant pour des raisons d’encombrement est remplacée par une radio au Birdland le 30 mai avec Bud Powell, Charles Mingus, Art Taylor et Candido, ces deux derniers cédant la place au seul Max Roach sur « Dance Of The Infidels ». Un feu d’artifice ! Des captations au Birdland, il y en aura d’autres : le 9 mai avec John Lewis, Curley Russell et Kenny Clarke, le 23 plus anecdotique en quintette plus invités (Miles, Dizzy Gillespie et Joe Carroll). On trouve encore ici le célèbre Quintet of the Year (Dizzy, Bud, Mingus e [...]

  • “As a collection of wonderful Crescent City music, it is hard to beat!” By Blues
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    « A Losing Battle As you might expect after looking at that track-listing, this collection offers an excellent overview of the bluesier side of New Orleans music from within the stated time-span. The only issue I have is that this is intended as a look at the roots of soul music in New Orleans, and in that it is a little less successful. The first CD includes the wild Reverend Utah Smith and the rather more restrained Mahalia Jackson, with both providing indisputable evidence that the greatest part of the roots of soul music lie in gospel. The remaining tracks tend to have been picked for specific instances: Satchmo’s ‘Mack The Knife’ is here because it uses a gospel rhythm and Armstrong uses some vocal techniques also common in gospel music, and many of the blues tracks are here because “blues was fundamentally an extension of Negro spirituals”. Hmmm – the music is still wonderful though, and the thought did occur to me that for once a theme such as this set has would have been a [...]

  • « Ce coffret riche retrace trente ans de compagnonnage » par Chant… Songs
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    « L’histoire remonte au milieu des années 70. En janvier 1975, Gérard Pierron et Bernard Meulien dirent et chantèrent au théâtre du Tertre, rue Lepic à Paris, les textes de Gaston Couté. Depuis, Gérard Pierron n’a cessé de promener le timbre de sa voix sur le répertoire de cette graine d’ananar, célébré aussi, à ses heures,  par Bernard Lavilliers. Entre autres. Il est vrai, Gaston Couté n’est pas un pèlerin comme les autres.  Poète libertaire et fils de paysan monté à Paris pour se produire dans les cabarets de la Capitale, Couté a connu une vie et une carrière en forme de comète : il est mort à 31 ans seulement en 1911. Il n’était pas du style à vibrer aux accents optimistes de la Belle Epoque, mais brocardait une société nationaliste et volontiers belliciste. Chansonnier et éternel rebelle, Gaston Couté n’a jamais renié ses origines et ce fils de meunier. (...) Au fil des ans, Gérard Pierron n’a cessé de célébrer avec finesse et justesse l’univers de ce type fidèle à sa terre, [...]

  • « De la musique que l’on ne se lasse pas d’écouter » par Daily Books
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    « En juin 2016 cela fera deux ans que Claude Bolling a cessé de se produire sur scène. Cet enregistrement célèbre les 60 ans du Big Band créé à l’initiative de Frank Ténot. Mais si vous le connaissez ce Frank. Je suis sûr qu’une bonne partie d’entre vous a connu les beaux jours d’une station de radio dite périphérique avant 1981. Frank Ténot et son compère Daniel Filipacchi animaient une émission intitulée « Salut les Copains » et le soir plus tard une émission de jazz. Claude Bolling vous le connaissez aussi peut-être comme accompagnateur et compositeur du groupe « Les parisiennes » qui chantait « Il fait trop beau pour travailler »… Faites vibrer votre mémoire ou actionnez votre moteur de recherche habituel… A la suite de l’initiative de Frank Ténot, le Big Band de Claude Bolling n’a jamais cessé de travailler entre accompagnement des émissions télévisées de Maritie et Gilbert Carpentier et tournées triomphales de par le monde en jouant les classiques du Duke, arrangés par Claud [...]

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