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  • « En route vers la gloire » par Le Quotidien du médecin
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    « En 1962, Johnny Hallyday, qui n’a pas encore 20 ans, a déjà une belle carrière de chanteur derrière lui. C’est à cette époque que le jeune homme, qui commence à largement puiser (piller, plagier ?) dans le répertoire du rock’n’roll made in USA grâce à des adaptations, va devenir « l’idole des jeunes ». C’est aussi à cette époque que celui qui va devenir une icône des yé-yé et, plus tard, de la variété française, traversant toutes les époques et les générations, va investir le temple de la chanson qu’est l’Olympia. Des moments de jeunesse musicale, gravés alors par Europe n°1, que l’on peut réentendre, dans la collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés), avec « Johnny Hallyday - 31 oct./13 déc. 1962 ». Au programme : « Elle est terrible », « l’Idole des jeunes », « Pas cette chanson », « Retiens la nuit » ou encore « 24.000 baisers ». En route vers la gloire. »Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Un son tout en grâce » par Tout prévoir
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    « On fait toujours confiance à Frémeaux et associés pour la qualité sonore des documents historiques d’origine et le traitement de restauration qui leur est appliqué, ainsi que sur la pertinence des informations et illustrations contenues par les livrets. Ces deux volumes consacrés à Miles Davis, prince des trompettistes, couvrent les années quarante-cinq à soixante. On se laisse charmer par ce son tout en grâce, si peu athlétique mais voluptueux et qui n’est qu’à lui. Ces deux volumes regorgent de pépites comme It might as well be spring et Mean to me avec Sarah Vaughan (1950), les sessions réalisées avec Charlie Parker et bien sûr les célèbres prises pour Ascenseur pour l’échafaud (1957). »Par Olivier BRUNEL – TOUT PREVOIR

  • « Produire des émotions fortes en même temps que du swing » par Mediapart
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    « Compositeur américain d'origine italienne, Henry Mancini (1924-1974) fait l'objet d'un hommage de la part des éditions Frémeaux et associés. Les illustres chansons que ce fameux mélodiste a conçues pour Hatari! ou Breakfast at Tiffany's font partie de l'anthologie. Mais c'est aussi l'arrangeur de l'orchestre fondé par Glenn Miller qui est ici célébré. La musique de Peter Gunn -dont le thème principal a été mille fois ressassé depuis 1978 permet de mieux comprendre les penchants de jazz de Mancini, son désir de produire des émotions fortes en même temps que du swing. Pour affronter cet avant dernier dimanche d'août, il n'y a pas beaucoup mieux. »Par Frederick CASADESUS - MEDIAPART

  • « L'orchestre de Bécaud est renversant de caractérisation et de patte » par l’Av
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    « Pour goûter l'Irlande imaginaire et le ton singulier de L'Opéra d'Aran, unique ouvrage lyrique de Gilbert Bécaud qui y mit un métier sûr et une inspiration certaine, il faut l'abstraire de son époque. Monté en grande pompe au Théâtre des Champs-Elysées le 25 octobre 1962, avec une distribution de premier rang assemblée autour de la Maureen de Rosanna Carteri et dans la régie luxueuse de Margarita Wallman, enregistré en studio par EMI sous la baguette de Georges Prêtre, l'ouvrage divisa la critique - les conservateurs applaudissant derrière Clarendon, les modernistes se rangeant au côté de Claude Samuel qui dégaina un peu vite en raillant une partition certes incongrue l'année où Pierre Boulez achève Pli selon pli. Finalement, ce seront les Américains qui auront le nez creux, débusquant derrière ses apparats de grand opéra vériste ce qu'est réellement L'Opéra d'Aran : un musical flamboyant. Paradoxe : si l'orchestre de Bécaud est renversant de caractérisation et de patte - le jeu [...]

  • « Une époque faste pour l’artiste » par Chant…Songs
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    « La collection « Live in Paris » consacrée à des enregistrements inédits permet de réentendre Henri Salvador sur scène entre 1956 et 1960. Une époque faste pour l’artiste. Il faut bien l’avouer, certaines morceaux de ces enregistrements sur scène ont un peu vieilli aujourd’hui, soit parce qu’Henri Salvador force un peu sur le rire pour… le rire, soit parce que la chanson date un peu ou semble parfois – c’est un comble vu l’artiste – un brin xénophobe quand il en rajoute sur l’accent créole. Mais, il faut bien le dire aussi, Henri Salvador – qui est né en 1917 en Guyane – fait montre dans ces spectacles donnés à Bobino ou à l’Alhambra d’un sacré métier et il signe une prestation de crooner-entertainer dont il a le secret. L’artiste est capable de se moquer du rock – annonçant des chansons créées avec l’ami Vian comme « Rock hoquet » – pour mieux le servir avec un sens du rythme qui balance pas mal. A côté de deux versions du célèbre « Blouse du dentiste », qui demeure un joli numé [...]

  • « Un coffret digne de ceux qui l’ont précédé. Ce qui n’est pas peu dire. » par L
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    « Où va le jazz ? Dans toutes les directions. D’aucuns y voient un signe de vitalité. Certains sont plus réservés. Cette dispersion les inquiète. A chacun de trancher selon les critères qu’il place au premier plan, la liberté d’une musique qui ne connaîtrait pas de frontières, ou le respect d’un minimum de codes, garant de sa spécificité. Les premiers arguent que le jazz a toujours connu, depuis ses origines, la tentation de la fusion. Ce qui n’est pas faux, si ’on songe qu’il a surgi du melting pot de La Nouvelle-Orléans avant d’essaimer de par le monde. Les seconds soutiennent à l’inverse que, s’il est vrai qu’il a assimilé, au cours des ans,  bien des influences, le risque de dilution dans une world music uniforme et sans saveur n’a jamais comme aujourd’hui hypothéqué son identité. On se gardera de trancher. Constatons seulement que la palette est large entre la perpétuation d’un classicisme qu’on aurait mauvaise grâce à confondre avec un psittacisme revivaliste, et une musique [...]

  • « Trois CD à la valeur incontestable de témoignage » par Le Salon littéraire
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    « Où va le jazz ? Dans toutes les directions. D’aucuns y voient un signe de vitalité. Certains sont plus réservés. Cette dispersion les inquiète. A chacun de trancher selon les critères qu’il place au premier plan, la liberté d’une musique qui ne connaîtrait pas de frontières, ou le respect d’un minimum de codes, garant de sa spécificité. Les premiers arguent que le jazz a toujours connu, depuis ses origines, la tentation de la fusion. Ce qui n’est pas faux, si ’on songe qu’il a surgi du melting pot de La Nouvelle-Orléans avant d’essaimer de par le monde. Les seconds soutiennent à l’inverse que, s’il est vrai qu’il a assimilé, au cours des ans,  bien des influences, le risque de dilution dans une world music uniforme et sans saveur n’a jamais comme aujourd’hui hypothéqué son identité. On se gardera de trancher. Constatons seulement que la palette est large entre la perpétuation d’un classicisme qu’on aurait mauvaise grâce à confondre avec un psittacisme revivaliste, et une musique [...]

  • « Un maillon essentiel dans l’évolution de son instrument » par Le Salon littéra
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    « Où va le jazz ? Dans toutes les directions. D’aucuns y voient un signe de vitalité. Certains sont plus réservés. Cette dispersion les inquiète. A chacun de trancher selon les critères qu’il place au premier plan, la liberté d’une musique qui ne connaîtrait pas de frontières, ou le respect d’un minimum de codes, garant de sa spécificité. Les premiers arguent que le jazz a toujours connu, depuis ses origines, la tentation de la fusion. Ce qui n’est pas faux, si ’on songe qu’il a surgi du melting pot de La Nouvelle-Orléans avant d’essaimer de par le monde. Les seconds soutiennent à l’inverse que, s’il est vrai qu’il a assimilé, au cours des ans,  bien des influences, le risque de dilution dans une world music uniforme et sans saveur n’a jamais comme aujourd’hui hypothéqué son identité. On se gardera de trancher. Constatons seulement que la palette est large entre la perpétuation d’un classicisme qu’on aurait mauvaise grâce à confondre avec un psittacisme revivaliste, et une musique [...]

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