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  • « Avec le mastering exceptionnel de Frémeaux & Associés » par Rock & Folk
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    Trois CD consacrés au genre bénéficiant du mastering exceptionnel de Frémeaux & Associés. Il y a évidemment les grands classiques ( Elvis Presley, Johnny Cash, Roy Orbison, Carl Perkins, Eddie Cochran, Gene Vincent, Charlie Feathers, Warren Smith, Billy Lee Riley, Buddy Holly, Ricky Nelson, Johnny Burnette, Wanda Jackson, Sonny Burgess, Jack Scott, Jerry Lee Lewis, Bill Haley, etc ) mais également d’autres moins connus comme Sonny Fisher, Joe Clay, Buck Griffin, Roy Hargrave, Lew Williams, Marvin Rainwater, ou d’autres venus de la country qui tentèrent sporadiquement de monter dans le train rockab (Buck Owens, Johnny Horton, George Jones, Malcolm Yelvington). Les perles de Sun, Gold Star à Houston, mais aussi du mythique studio Meteor De Memphis sont au rendez-vous. Ceux qui pensent déjà avoir tout devraient se pencher sur la qualité sonore de cette anthologie, ceux qui n’ont pas grand-chose peuvent foncer tant elle montre idéalement la diversité du genre. Et puis, il y a « Love M [...]

  • « Ce disque correspondait à une attente » par Blues & Co
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    Cet enregistrement daté de 1962 est loin d’être une nouveauté. C’est sur la demande du label Frémeaux et Associés avec l’autorisation de Claude Bolling et du saxophoniste Gérard Badini, que ce disque a été remis dans le circuit en fevrier 2013, sous la forme modernisée et actuelle d’un CD. Réunis une nouvelle fois, Claude Bolling et Gérard Badini se connaissaient parfaitement bien puisqu’ils avaient déjà travaillé ensemble en trio dès 1955. Influencé par Art Tatum, Fats Waller et Duke Ellington, le doué pianiste né sous le soleil cannois s’est illustré tout le long de sa carrière sur de nombreuses reprises de ses maîtres du jazz et leurs dérivés : ragtime et boogie woogie. Pour ma part, je le trouve plus créatif comme compositeur de musique de films (le plus connu étant celui de Jacques Deray « Borsalino » avec Jean-Paul Belmondo et Alain Delon). Je pense que ce disque fait pour la danse avait une importante signification à l’époque des sixties : il correspondait à une attente ! M [...]

  • « Tout simplement indispensable » par Blues & Co
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    Si le blues est considéré pour certains comme une musique sans avenir, B.B. King fait partie de ceux qui ont su le faire évoluer dans la structure et le son en y ajoutant la sensibilité créative. Inspiré entre autre par T.Bone Walker « Boogie Rock » (CD 2), il découvre le blues en allant sous les drapeaux de L’US Army. Son célèbre cousin Bukka White chez qui il sera hébergé à Memphis, lui offrira sa première guitare quand B.B. King âgé de 22 ans voudra faire une carrière de musicien dans cette ville. Avant de trouver son propre style, il va parcourir toute une palette de musiques populaires venant d’horizons divers tels le gospel et le rock and roll sous influence du blues-jump. Devenu rapidement disc jockey tout d’abord à la station KWEM fondée en 1947 puis à WDIA de Memphis. Il se fait repérer deux ans plus tard par Sam Philips créateur des studios Sun. Avant que ce découvreur de talents se lance dans le rockabilly avec Carl Perkins, Elvis Presley, Jerry Lee Lewis et Roy Orbison [...]

  • « Des explorations plus qu’audacieuses » par Le Quotidien du médecin
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    « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. En 1960, Miles Davis se produit à deux reprises à Paris. La première fois à l’orée du printemps, le 21 mars, et la seconde durant l’automne, le 11 octobre. Deux concerts donnés à l’Olympia, produits à l’époque par le tandem Frank Ténot -Daniel Filipacchi, mais avec deux formations différentes, que l’on peut redécouvrir dans un quadruple CD, « Miles Davis - 21 mars/11 octobre », paru dans la nouvelle collection « Live in Paris - La collection des grands concerts parisiens » (Frémeaux & Associés), dirigée par Michel Brillé et Gilles Pétard. Lors de la première prestation, le trompettiste est à la tête d’une formation comprenant John Coltrane (saxe-ténor), Wynton Kelly (piano), Paul Chambers (contrebasse) et Jimmy Cobb (batterie). Un concert qui va être lourd de tensions personnelles et musicales, et pour cause [...]

  • « De très grands moments musicaux » par Le Quotidien du médecin
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    « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) La même année, le trompettiste Quincy Jones, âgé de 27 ans, qui est déjà chef d’orchestre et arrangeur mais pas encore l’immense producteur d’aujourd’hui, se retrouve à Paris à la tête d’un big band… sans travail à la suite de la rupture d’un engagement dans un musical. Une fois de plus, le duo Ténot-Filipacchi est sollicité et permet à ces musiciens – notamment la tromboniste Melba Liston, le saxophoniste-alto  Phil Woods et le trompettiste Clark Terry, parmi les plus connus – d’entrer en studio pendant trois jours et de donner un concert en direct à l’Olympia. De très grands moments musicaux dans la longue carrière de celui qui allait devenir M. Q. et qui se retrouvent dans « Quincy Jones - 5-7-9 mars/19 avril » (double CD, Frémeaux & Associés). Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Des classiques de la poésie et de la chanson française » par Le Quotidien du m
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     « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) Enfin, cette même collection permet de retrouver l’inégalable Georges Brassens à l’Olympia en novembre 1961 et à quatre reprises dans les studios d’Europe n°1 entre novembre et décembre 1955, accompagné de son fidèle et incontournable Pierre Nicolas à la contrebasse, interprétant les morceaux qui vont devenir des classiques de la poésie et de la chanson française. À redécouvrir dans « Georges Brassens - 3 novembre 1961 » (Frémeaux & Associés). Une collection qui devrait s’enrichir à l’automne d’un Ray Charles (3 CD) et d’un Ella Fitzgerald (3 CD). » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « La période Chess bien résumée » par Blues & Co
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    xCet étonnant afro-américain a su par ses textes imagés, son humour et son rythme endiablé, enthousiasmer toute une jeunesse : celle des années fifties avide du rêve américain. Si Elvis Presley est devenu le King que l’on connaît, de nombreux artistes ont vu en Chuck Berry le plus prolifique auto compositeur et le plus talentueux showman de la profession. Eric Clapton avait dévoilé « Si vous voulez jouer du rock and roll, vous finirez par tomber dans le style de Chuck Berry » ; Mick Jagger pensait qu’il était le premier songwriter dont les paroles valaient la peine d’être écoutées ; Jerry Lee Lewis le comparait à Hank Williams au niveau du talent ; Little Richard confiait que la couronne devait lui revenir depuis toujours. Quant à John Lennon n’a-t-il pas dit que si on voulait donner un autre nom au rock and roll, il fallait l’appeler Chuck Berry !. Ses chansons ont été reprises par un nombre impressionnant de vedettes internationales : Les Rolling Stones, Les Beatles, Elvis Presl [...]

  • « Encore une excellente initiative » par Le Cri du Coyote
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    C’est à Eddie Cochran que s’intéresse ici Frémeaux dans sa série des indispensables, toujours en 3 CD. S’il est évident que les inconditionnels du chanteur à la Gretsch possèdent sûrement l’intégrale Bear Family (BCD 15989) de 2009 et ne trouveront ici rien de neuf, cette trilogie sera un excellent moyen de découvrir ce chanteur, à la si courte carrière, très bien retracée par Bruno Blum dans le livret, pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore. On retrouve au fil des 70 morceaux, ses titres les plus célèbres, ceux enregistrés avec Hank Cochran sous le nom de Cochran Brothers, mais aussi des morceaux moins connus , dont « Don’t bye bye me (que j’ai toujours vu titré « Don’t bye bye baby me). Encore une excellente initiative.Par LE CRI DU COYOTE

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