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  • « Tout est remarquable de fraîcheur et d’implication » par Jazzmag -Jazzman
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    Ray Charles s’est produit pour la première fois en France en juillet 1961 à l’occasion du festival d’Antibes. Il était alors à la tête d’une petite formation de sept musiciens. Sa carrière internationale était lancée et, trois mois plus tard, il entamait une nouvelle tournée, avec un big band de seize musiciens cette fois, qui devait le conduire à Zurich et Lyon, mais surtout à Paris où, aux quatre concerts initialement prévus, il fallait en ajouter deux pour satisfaire la demande. Alors au faite de sa popularité, il avait réussi la fusion des ses racines, le rhythm and blues et le gospel, amorçant la révolution soul qui allait secouer la Great Black Music plusieurs décennies durant. Mais, avec son passage d’Atlantic à ABC en 1960, il s’était fixé un autre objectif : réaliser le fameux crossover en direction du « grand public » - sans distinction d’origine ethnique ou sociale. Même si, fondamentalement, son chant restait indéfectiblement ancré dans la tradition noire, il allait le [...]

  • “An exceptionally fine album” by Jazz Journal UK
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     “The first live album by this remarkable group contains performances recorded in the UK in 2012, towards the end of a lengthy international tour. As the group’s name and instrumentation suggests, it’s style basically applies a broad-based traditional New Orleans Creole approach to Reinhardt’s gypsy swing. But the talented New Orleans clarinettist Evan Christopher (whose mentor, surprisingly, was Tony Scott) is at pains to point out, in his earnest sleeve notes, that many other seasonings are added to this multicultural musical gumbo. The “Spanish Tinge” advocated by Jelly Roll Morton is honoured specifically in detailed arrangements of Mamanita and The Crave. Both tunes are recreated afresh with sensitivity and skilled attention to Morton’s rhythmic dynamics capturing the strong emotional groundswell which permeates the expressive melodies. Although the quartet is clearly inspired by the classic jazz of such masters as Morton, Ellington and Reinhardt, it’s commendably ambitious i [...]

  • “Those were the days !” par Blues & Rhythm
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    Rockabilly has been described as ‘Black blues and rock played by young white country musicians’, and whilst that is not the whole story, consider the first ten tracks here : two are by Bill Haley, one by Jack Turner, five by Elvis Presley, one by Malcolm Yelvington and one by Johnny Cash, but the songs themselves were originally associated with Jackie Brenston, Jimmy Preston, Big Mama Thornton (this is Jack Turner’s cover of ‘Hound dog’ from 1953), Big Boy Crudup, Roy Brown, Stick McGhee, Arthur Gunter and Junior Parker. The two omissions are Elvis’s cover of the bluesy, hokum-ish vintage song, ‘Just Because’, and Cash’s original ‘Cry! Cry! Cry! – but then Cash never was a typical rockabilly artist anyway! Other songs included on these CDs are originally from Big Maybelle, Ivory Joe Hunter, Tiny Bradshaw, Big Joe Turner, Fats Domino, Billy ‘The Kid’ Emerson, Little Richard, Little Walter, and another from Crudup, with Carl Perkins copping the writer’s credit for ‘Matchbox’, a whol [...]

  • « Tout simplement bouleversant !» par Blues & Co
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    Qui n’a jamais entendu cet illustre et incontournable chanteur-pianiste auteur-compositeur Ray Charles Robinson, plus connu sous le nom de Ray Charles ? Il fait partie des plus grands artistes afro-américains que cette nation a pu connaître au cours du vingtième siècle. Pour commémorer les dix ans de la disparition (Ray Charles est décédé le 10 juin 2004), Frémeaux & Associés a édité ce coffret de trois cd reprenant les concerts donnés au Palais des sports en octobre 1961 et ceux de l’Olympia en mai 1962. En backing vocals figuraient les Raelettes : Gwen Berry, Margie Hendricks (avec qui il aura un enfant : Charles Wayne), Pat Lyles et Darlene McCrea, ainsi qu’une imposante section cuivres. Lors des dates prévues à Paris en octobre 1961, sa venue attira une foule si nombreuse, qu’il fallut rajouter plusieurs dates de concerts, ce qui a permis à 35000 fans d’assister à ses remarquables et émouvantes prestations. Vous retrouverez bien évidemment tous ces grands succès qui ont fait l [...]

  • « L’homme noir à peau blanche » par D.N.A.
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    Scott Joplin était à la Choucrouterie ; Avec ses copains modestes et géniaux, Clarence « Pinetop » Smith et John Hammond. Sébastien Troendlé réussit avec « Rag’n Boogie » le pari audacieux de ressusciter l’âge d’or du ragtime et du boogie-woogie dans une ambiance canaille.C’est un coup de génie que de s’emparer de ce pan essentiel, injustement délaissé sur le Vieux Continent, le ragtime et son cousin le boogie-woogie. Sébastien Troendlé, pianiste aguerri formé à Bâle et mordu jusqu’au bout des doigts de rag’n boogie, redore ici les lettres de noblesse de l’incontournable révolution de Scott Joplin. Ce petit prodige afro-américain s’empare des pianos qui trônent dans les maisons de Blancs nettoyées par sa mère, et ose à l’âge adulte l’impensable : vivre de sa musique et évincer la case « métier manuel » propre aux Noirs dans l’Amérique du XIXe siècle. Et il aura réussi brillamment sa petite et si nécessaire révolution. La voix sera libre au boogie-woogie, blues, jazz et rock’n roll [...]

  • « Léger comme une robe de soie » par Médiapart
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    « Mireille et son parolier Jean Nohain... Ce balancement spécial que l'on nomme le swing est ici léger comme une robe de soie. Les mots ne sont futiles qu'en apparence. Un monde où se meuvent des ombres: Et la tendresse en angoisse est changée. Quelque chose de la Règle du jeu se devine derrière la malice et le goût du populaire. Bientôt surgira Trenet: plus haut, plus vite, plus fort. Mais il y eut le temps de Mireille et Nohain. Disponible encore chez le bijoutier de la chanson, Frémeaux et associés. »Par Frédérick CASADESUS

  • « Ces concerts parisiens qui ont marqué l’histoire » par L’Echo Républicain
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    « Ce sont d’infatigables défenseurs du patrimoine sonore de l’Humanité. Les éditions Frémeaux ne se lassent pas de faire découvrir au public les plus belles plages musicales du passé, avec toujours un grand sens de la pédagogie. Ces esthètes ont eu la bonne idée de lancer récemment une collection appelée Live in Paris qui vise, comme son nom l’indique, à préserver et présenter des concerts historiques captés dans la capitale au cours des décennies passées. Ces enregistrements ne sont pas toujours complètement inédits. Ils sont passés entre les mains des fans, par fois avec une qualité pas optimale. Rien de tout ça ici. Comme toujours chez Frémeaux, la reproduction sonore est parfaite. Ça saute aux yeux (ou plutôt aux orei l les ) à l’écoute de vieilles bandes du trompettiste Miles Davis, captées en mars et octobre 1960. Dans une ambiance pas vraiment chaleureuse (le saxophoniste John Coltrane est sifflé à chacune de ses interventions), le quintette pousse toujours plus loin les ex [...]

  • « Le big band allie la fantaisie, la bonne humeur à l'efficacité » par Médiapart
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    « A la vitesse d'un cheval au galop dans les rues de Paris: Quincy Jones. Le double-album qui paraît ces jours-ci donne l'aperçu de ce que les américains pouvaient offrir en 1960. Un brin désargenté, le compositeur et trompettiste cherchait le moyen de relancer sa carrière. En ce temps-là, dominait parmi les mélomanes de France l'idée que le jazz est un genre majeur et les jazzmen noirs des artistes aussi respectables que Beethoven et Ravel. Quincy Jones et son orchestre ont gravé trente pièces de musique. Frank Ténot et Daniel Fillipachi, jeunes gens entreprenants, ont produit l'enregistrement pour le label d'Eddy Barclay.  Dans le grand studio de l'avenue Hoche, dont il suffisait de prononcer le nom pour qu'aussitôt le prestige et le confort tiennent la première place dans une phrase, le big band allie la fantaisie, la bonne humeur à l'efficacité. Un style ici s'affirme: Jones a le sens public. Un samedi, quoi de plus dynamique? »Par Frédérick CASADESUS – MEDIAPART

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