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  • « L’émotion d’un texte » par Lire
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    Seuls le cinéma ou la visite de certains hauts lieux nous ramènent de temps à autre vers le Moyen Age. La littérature de cet âge qui ne se concevait en rien comme intermédiaire n’est souvent, hélas ! qu’un souvenir scolaire. Or, il nous suffit d’écouter Daniel Mesguich lire la Ballade des pendus de François Villon pour être soudain embarqués par l’émotion d’un texte aussi présent à notre cœur qu’à ses contemporains, et peut-être plus car nous l’abordons aujourd’hui à travers le souvenir de Corbières, de Rimbaud, d’Apollinaire et d’autres encore : « La pluie nous a débués et lavés/ Et le soleil dessechés et noircis./ Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés/ Et arraché la barbe et les sourcils./ Jamais nul temps nous ne sommes assis;/ Puis çà, puis là, comme le vent varie,/ A son plaisir sans cesser nous charrie,/ Plus becquetés d’oiseaux que dés à coudre. / Ne soyez donc de notre confrérie, / Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! ». Alain Viala, qui est titulaire de la ch [...]

  • « This is the collection to get » by Echoes
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    There’s a surfeit of albums compiling Jamaican rhythm and blues sides from the late fifties and early sixties, and even more devoted to music made by their American counterparts. Rarely do you find a triple CD set like this that combines both, and wich gives us a taste of how Jamaican audiences would have experienced the music back then so if you’ve always wondered what it must have been like in a dance when the likes of Coxsone and Duke Reid were slugging it out on rival sound-systems, this is the collection to get. Key names include Louis Jordan, T Bone Walker, Professor Longhair, Jimmy Witherspoon, Johnny Otis and Willis ‘Gator’ Jackson, whose Later For The Gator served as Coxsone’s secret weapon after he scratched the name off the label and spun it a Downbeat sessions. Johnny ‘Guitar’ Watson is one of the star attractions on Disc Two – an honour shared with BB King, Lowell Fulson and Barbie Gaye, whose original cut of My Boy Lollipop has none of the fizz and exuberance of Mill [...]

  • « Ce jazz intemporel respire le bonheur discret de jouer » par Jazz Magazine/Jaz
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    « Nouveau quintette, donc, et nouvelle collection de timbres : ceux, délicatement entrelacés et joliment complémentaires de mesdames Besson, Hélary et Bonacina. « Grâce au travail sur les timbres effectué par la trompette et le saxophone et à l’usage fréquent des flûtes graves (alto en sol ou basse), nous obtenons un son parfaitement homogène et, à ma connaissance, unique dans sa distribution instrumentale », précise Didier Levallet dans le livret. On ne saurait mieux résumer l’apport de ces trois « voix croisées ». Car moins qu’une hasardeuse « touche féminine » - parlerait-on de « touche masculine » si Airelle s’appelait Aurélien, Sylvaine Sylvain et Céline Célestin ? -, ces trois instrumentistes donnent effectivement à ce disque tout son cachet. Restons dans la métaphore épistolaire et parlons du sceau du leader : grâce à des arrangements qu’on imagine mûrement réfléchis, il a idéalement donné la parole à son trio de souffleuses. Les canaliser sans les restreindre. (Derrière se [...]

  • « La musique sonne, emporte, rebondit » par Jazzmagazine/Jazzman
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     « On parlera surtout du bonheur qui s'est dégagé du concert d'hier soir, avec son quintet : un moment très fort, très intense, qui réjouit tous ceux qui connaissent et aiment Didier Levallet. D'emblée la musique sonne, emporte, rebondit, elle est dansante, elle chante, elle swingue, c'est un bonheur de voir Didier Levallet lancer tout ça d'une main à la fois ferme et décontractée. (…) Des pièces comme Adélie et La Jetée, avec leur côté diablement bop, sonnent et même résonnent. (…) Oui la section de soufflantes a un son magnifique (un peu "west coast" en fait), oui quand elle prend un solo Céline Bonacina colore son baryton ou son alto de façon différente, oui Sylvaine Hélary séduit par son phrasé avec intelligence à la flûte alto et aux autres flûtes, oui Airelle Besson timbre admirablement. On n'était pas habitué à ça, il faut bien le dire, et c'est donc un signe très intéressant que ce "nouveau" bonheur d'écrire, de jouer, de rassembler, chez Didier Levallet. Ceux qui connaiss [...]

  • « une dentelle de timbres richissime » par Libération
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    « Didier Levallet a composé à trois vents une dentelle de timbres richissime (trompette, saxophone baryton, flute). Les pointures (Airelle Besson, Céline Bonacina, Sylvaine Hélary) nous retournent les neurones. Car en filigrane de la perspective improbable présumée par la combinaison hétéroclite apparaît un langage totalement homogène. Le projet imaginé au gré de rencontres par le contrebassiste Didier Levallet, et l'écriture en adoration permanente, diffusent profondeur et unité. Les trois solistes et la section rythmique (le drive expérimenté de François Laizeau!) redistribuent, élèvent, transfigurent les lignes de fuite ouvertes par les compositions originales du leader (moins deux, Candide et Siegfried). Quant à son Dur Désir de Durer : du diamant ! »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Le triomphe de la négritude à la Bo Diddley » par Soul Bag
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    Dès les premiers enregistrements de Bo Diddley, il est difficile de qualifier sa musique. En 1959, début de la période couverte par ce deuxième volume concocté par Bruno Blum, le doute n’est plus permis : il faut parler de « Diddley style ». Rock and roll, blues, country, surf, variété, autopromotion de son personnage, Bo mélange tout avec bonheur, enregistrant en totale liberté dans son propre studio, les nombreuses fins en « fading » montrant qu’il y avait là beaucoup de choses improvisées. Le son est dantesque, l’écho plus que caverneux, les guitares fuzzent, ce ne sont plus seulement les prémices du surf mais aussi du psychobilly des années 1980. Bo superpose les couches rythmiques, batterie, basse, maracas, piano, guitares, et c’est l’ensemble qui fait la mélodie. Il a également une des voix noires les plus évocatrices. Avec lui, la puissance du gospel, la profondeur du blues, la hargne du rock and roll et la suavité des crooners, se mélangent dans un message ambigu, que rest [...]

  • « Des histoires fabuleuses » par le Journal des enfants
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    « Pour les vacances de Pâques, Simon et Elliot partent en Angleterre chez Elizabeth, la grandmère d’Elliot. Elizabeth adore les contes et tous les soirs raconte aux deux garçons des histoires fabuleuses, à travers lesquelles ils rencontreront des personnages hors du commun comme Antoinette la Poule Savante, le grand dinosaure, Monsieur Loyal, un ancêtre d’un château hanté… Découvrez ces contes musicaux d’Isabelle Aboulker, dont les textes sont chantés en français et en anglais sur de la musique classique. » Par LE JOURNAL DES ENFANTS / L’ALSACE

  • « La voix de Gene reste unique » par Soul Bag
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    "Quand Gene Vincent enregistre « Be bop a lula », le 4 mai 1956, il porte déjà en lui sa destruction inéluctable. Depuis l’accident de moto en juillet 55, sa jambe ne cesse de le faire souffrir, ce qui le mènera à l’alcool et aux drogues et à une aide mécanique, couplée à sa future tenue de cuir noir, contribuera à construire son image de rocker maudit jusqu’à sa mort en 1971. Osons affirmer que Gene seul peut porter ce titre : Buddy holly et Eddie Cochran mourront jeunes, Johnny Burnette virera crooner, Bill Haley se figera dans une posture passéiste, Elvis vivra plus longtemps mais changera de monde. Le seul à suivre le chemin du rock, avec un succès limité, c’est Eugene Vincent Craddock, né en 1935 et touché par la grâce en 1956 avec ses enregistrements Capitol, entouré de son propre groupe, tellement bon que les requins de studio convoqués par le label ont laissé les instruments dans les étuis. Tous les titres avec le fantastique Cliff Gallup à la guitare sont repris puis un p [...]

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