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  • « De très belles (re)découvertes » par Vinyl
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    Avant de devenir « La chanteuse de minuit » ou autre « Dame en noir », Barbara (Monique Serf) a sillonné de nombreux cabarets, La Rose Rouge, Chez Moineau et le plus emblématique, l’Ecluse. Elle publie chez Decca un premier 78 tours en 1955 (Mon Pote Le Gitan / L’Oeillet Blanc). Ses deux premières compositions personnelles (J’ai Troqué / J’ai Tué l’Amour) apparaissent sur un premier EP (4 titres) en 1958, intitulé « La Chanteuse de minuit » (Voix de son Maître). En 1960, elle change de maison de disques pour signer chez Odéon. Elle y enregistre deux 25cm, « Barbara chante Brassens » et « Barbara chante Jacques Brel », le premier est couronné par l’académie Charles-Cros dans la catégorie « Meilleure interprète ». A partir des années 1962-63 arrivera le succès avec ses propres titres : « Dis, Quand Reviendras-tu ? », « Nantes », « Au Bois de Saint-Amand », « Göttingen », « Ma Plus Belle Histoire »… etc… Mais restons dans le cadre ici développé par les infatigables Frémeaux & Associé [...]

  • « Les brass bands actuels les plus en vue » par Le salon littéraire
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    (…) Quoi qu'il en soit, il aura fallu la tragédie de l'ouragan Katrina, en août 2005, pour que les projecteurs se braquent à nouveau sur une ville dévastée, décimée, laissée exsangue et que l'on découvre, ou redécouvre, la vitalité de sa musique. Le feuilleton d'une télévision américaine, Treme, dont quelques épisodes furent diffusés en France, ne contribua pas peu à faire connaître l'ampleur de la catastrophe et, surtout, le courage, l'opiniâtreté des habitants acharnés à maintenir en vie leur cité. Singulièrement ceux des quartiers les plus pauvres, les plus ravagés, essentiellement des Noirs. Ainsi fut révélé le rôle fédérateur de la musique et son pouvoir de catalyseur. Car, au contraire de ce qui était communément admis, on s'aperçut que nombreux étaient les orchestres, souvent amateurs ou semi professionnels,  perpétuant la tradition caractéristique de La Nouvelle-Orléans, parvenue jusqu'à nous en dépit des vagues successives de diaspora et de l'évolution du jazz dont les ce [...]

  • « Une rare réussite » par Presto !
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    «  (…) La palme française revient indéniablement à un label fondé voici vingt ans déjà : Frémeaux et Associés. Fournisseur favori des médiathèques et BCD hexagonales, sa vocation patrimoniale et pédagogique (depuis les archives sonores de la maison De Gaulle jusqu'à Michel Onfray et Luc Ferry) ne doit pas occulter cependant son implication dans les musiques actuelles. En la matière, les anthologies bien troussées y côtoient donc la création contemporaine. À preuve, leurs dernières parutions comptent un album de blues en français, et un autre en wallon ! Le premier est l'oeuvre commune de deux bourlingueurs invétérés : Benoît BLUE BOY (pionnier du blues dans la langue de Claude Moine) et Franck GOLDWASSER. Si ce dernier, bien que Parigot de naissance, s'est exilé voici un quart de siècle dans la baie d'Oakland, Californie (il y fait même partie des Mannish Boys, chroniqués dans notre PRESTO! 171), le second partage depuis belle lurette son temps entre les rives de Belleville et cel [...]

  • « Le patriarche bienveillant du blues belge » par Presto !
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    «  (…) La palme française revient indéniablement à un label fondé voici vingt ans déjà : Frémeaux et Associés. Fournisseur favori des médiathèques et BCD hexagonales, sa vocation patrimoniale et pédagogique (depuis les archives sonores de la maison De Gaulle jusqu'à Michel Onfray et Luc Ferry) ne doit pas occulter cependant son implication dans les musiques actuelles. En la matière, les anthologies bien troussées y côtoient donc la création contemporaine. À preuve, leurs dernières parutions comptent un album de blues en français, et un autre en wallon ! (...) Daniel Droixhe (alias ELMORE D) nous fait une proposition presque aussi exotique que celle de Clifton Chenier en son temps... Son second album chez Frémeaux est en effet chanté à 50% dans le patois picard de son terroir liégeois. Pour ce Back To Hèsta (De Retour A Herstal), il s'est non seulement entouré de la fine fleur du blues belge (des deux parts de la pseudo frontière linguistique), mais aussi du piano maestro allemand [...]

  • « Un guitariste rare » par Django Station
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    « Pour son troisième album (le précédent, Lejos de mi tierra, remonte à 2004 !), Kamlo Barré s’est entouré d’une bien belle équipe. Il y a d’abord les frères Reinhardt, Fanto et Yayo, déjà entendus aux côtés de Romane, Angelo Debarre ou Stochelo Rosenberg, et dont la régularité et la simultanéité de la pompe impressionnent toujours autant. Claude Mouton est à la contrebasse, proposant ici de solides lignes (Blues for Mundine) et là quelques jolis soli d’archet (Valse pour Jeannette) dont il a le secret ; ses talents d’improvisateur à l’oud, instrument qu’il a sérieusement étudié, se fondent naturellement dans le projet de Kamlo (Camino del estrecho). La violoniste Eva Slongo, formée au jazz par Pierre Blanchard et chez Didier Lockwood intervient sur quelques morceaux swing de l’album ; on apprécie tout particulièrement sa façon de délicatement doubler ses chorus en scattant. Enfin, le percussionniste Charles Sidoun apporte un complément rythmique essentiel dès que le répertoire pr [...]

  • « Romane imprime sa French touch immédiatement reconnaissable » Par Django Stati
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    « En 2007, Romane avait enregistré « père et fils » en duo avec Richard, son fils ainé ; avec l’arrivée de Pierre, le petit dernier, la Guitar Family Connection est au complet. L’exercice à 3 guitares, sans basse ni batterie n’est jamais évident, mais le trio a beaucoup répété et ça s’entend : mise en place, arrangements ; il n’y a par exemple jamais deux guitares rythmiques ; l’un fait les basses, l’autre la rythmique et le troisième improvise, et tout cela à tour de rôle ; avec ce dispositif, le trio sonne comme un orchestre. Trois guitares donc, deux électriques, plus la Dupont de Romane, modèle spécial équipé de deux stimer. N’étant jamais là où on l’attend, Romane se confronte ici à quelques grands standards, ce qu’il n’avait quasiment jamais fait, sur disque en tous cas. Complètement chez lui sur Over the rainbow, Take the A train et autre Round midnight Romane leur imprime sa French touch immédiatement reconnaissable : très beau son et toucher de guitare, phrasé précis et c [...]

  • « Plus qu’un régal, une bénédiction » par Télérama
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    « Les punks de la classe 77 criaient no future, mais ils ne faisaient pas table rase du passé. S'ils paraissaient vouer aux gémonies tous les artistes établis qui les avaient précédés, il s'agissait avant tout de dénoncer le dévoiement et la décadence de l'esprit rebelle du rock originel. Mais il suffisait de se pencher sur les reprises judicieusement choisies dans le répertoire des Clash, des Ramones, de Blondie ou des Cramps pour voir que ces insurgés avaient de fermes références, de sérieux modèles : des bluesmen et des rockeurs sauvages, dont la formidable énergie et colère étaient leur première et primordiale qualité. Autant dire que la triple anthologie The Roots of punk rock music, 1926-1962 (1) s'avère plus qu'un régal, une bénédiction. Compilée par le journaliste et musicien Bruno Blum, elle réunit des dizaines de perles brutes d'artistes insoumis, certains reconnus (Little Richard, Jerry Lee Lewis...), d'autres plus obscurs (Esquerita, Ronnie Allen, Hasil Adkins, punk et [...]

  • « Une jouissive compilation » par Jazz News
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    Si vous voulez découvrir ce qui nourrit le meilleur de la scène funk de la Nouvelle-Orléans, de Trombone Shorty à Galactic, précipitez-vous sur cette jouissive compilation en trois CD, à travers des enregistrements de sept formations remarquables quoique méconnues hors de la cité du Croissant. Commentés dans un instructif livret dû à Jean Buzelin, les titres sont classés en trois ensembles cohérents : la tradition (dès 1819) avec blues et spirituals, la tradition du dixieland au swing et, enfin, les sonorités actuelles empruntant au be-bop, au funk, à la soul. Un panorama sur une tradition musicale d’une ville dont les habitants n’ont pas renié leur plaisir à se retrouver dans la rue pour les célébrations communautaires.Par Jean-Pierre BRUNEAU – JAZZ NEWS

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