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  • « Enchantement garanti » par Jazz Magazine- Jazz news
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    « Avec Gus Viseur 1942-1952 […], Dany Lallemand complète la discographie en CD de l’as de la valise swing et du jazz bretelles. Enchantement garanti, auquel donne la main André Lluis (notamment sur Nuages), Joseph Reinhardt, Matelo Ferret, Maurice Speilleux, Robert Mavounzy, Loulou Legrand (sur une Be-bop Polka qui n’a de « bop » que le « be ») et même Tony Murena (Body and Soul). »Franck Bergerot – Jazz Magazine- Jazz news

  • « De quoi faire le délice des fans, et des amoureux du patrimoine » par Télérama
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    Avant de devenir le provocateur que l’on sait Serge Gainsbourg fut défendu par les autres, par les femmes surtout, mais aussi par Hugues Aufray, Jean-Claude Pascal ou… les Frères Jacques. Idem pour Claude Nougaro qui, avant de sortir son premier album, fut chanté par Philippe Clay, Lucienne Delyle, Colette Renard et Marcel Amont. Quant à Boris Vian, il devint chanteur presque par hasard, après avoir écrit pour Salvador et Renée Lebas. A chacun de ces trois géants, un petit coffret rend hommage, avec une anthologie de vieux enregistrements des années 1950. On les entend défendre eux-mêmes leur répertoire, d’une voix pas toujours très assurée. On entend aussi leurs interprètes, souvent plus aguerris. Et visionnaires. De quoi faire le délice des fans, et des amoureux du patrimoine. V.L.-TELERAMA

  • « Délicatesse, classe et musicalité » par Accordéon & Accordéonistes
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    Depuis l’aventure « Paris Musette » au début des années 1990, Daniel Colin est une star au Japon. Il se produit régulièrement au pays du Soleil Levant où il est considéré comme une sorte de trésor vivant. Il y publie des disques produits par Kenichi Takahashi pour le label Respect Records « French Café Music » (2007), « Chansons d’amour de Paris » (2008), « Mon cœur est un accordéon » (2011). Ils sont en général repris en licence par Frémeaux. C’est le cas pour cet « Rencontre à Paris » (inédite, en tous cas sur disque), enregistrée dans la capitale en mai/juin 2012 pour Respect Records par deux légendes du dépliant : Daniel Colin (accordéon, bandonéon) et Raul Barboza, l’Argentin de Paris roi du chamamé. L’équipe est la même ou presque : Dominique Cravic (guitare, chant), Claire Elzière (chant), Grégory Veux (piano), Laurent Larcher (contrebasse) pour quelques invités ici ou là. Les japonais considèrent l’accordéon et la chanson tendance rive gauche comme de la musique parisienne [...]

  • « Une judicieuse sélection » par L’Humanité
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    Poursuivant son précis et précieux travail sur le patrimoine mondial, Patrick Frémeaux sort une judicieuse sélection , allant de 1926 (Jelly Roll Morton) à 1961 (Coltrane). Comme toujours, un riche livret français-anglais (texte instructif de Bruno Blum). Des voix du blues (Muddy Waters, Bo Diddley), du jazz (Art Blakey, Coltrane), du rock’n’roll (l’éclaireur Bo Diddley), du rhythm’n’blues (The Clovers), de la Louisiane (le saisissant Oscar « Papa » Célestin) ou de la Jamaïque (The Kingston Trio). Pratiqué par les esclaves noirs comme culture de résistance, le vaudou nord-américain s’est développé et imposé en vraie contre-culture. L’HUMANITE

  • « Le choc musical des Caraïbes avec l’Amérique » par Lettres des Amériques
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    Autant sensuel et sucré que vif, enlevé et hypnotique, le mambo a quelque chose qui parle autant aux sens qu’aux idées. Son succès ne tiendrait-il pas au précipité chimique né du choc musical des Caraïbes avec l’Amérique, celle du jazz et de l’entertainment, de la cristallisation des feux latents de l’Afrique et de l’énergie américaine, au mariage de la peau des tambours et des cuivres. Avec ses airs machistes, la dextérité et la synchronisation des mouvements qu’elle implique, la chorégraphie du mambo est compliquée, tellement difficile qu’elle sera vite supplantée par le cha-cha-cha. Le mambo est une danse où les mouvements de hanches sont typiques des danses des Caraïbes. LETTRES DES AMERIQUES

  • « Un autre incontournable. » par Rock and Roll Revue
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     Conçu de la même manière que le premier, sous forme de coffret 3 CD’s, avec des versions originales ou marquantes des reprises d’Elvis de la période, ce qui permet d’intéressantes comparaisons (Little Richard est grand vainqueur à ce petit jeu), ce deuxième volume reprend le cours de la carrière elvisienne en 1956-1957, après “When My Blue Moon Turns To Gold Again” qui terminait le précédent opus. On constate l’évolution du bientôt King vers d’autres styles que le Rockabilly, puis le Rock’N’Roll pur et dur des débuts, le Gospel, la Country, les chansons de Noël ou la Variété. Bruno Blum signe un intéressant livret, s’étendant sur la société et le milieu musical américains de la période. Même si vous possédez déjà ces enregistrements, comparer immédiatement originaux et versions d’Elvis est un incontestable plus. Qui peut se vanter d’avoir aussi les originaux ou les versions de Bernard Hardison (“Too Much”), Jane Froman (“I Believe”), David Hill (“I’m All 38 - Rock and Roll Revue [...]

  • « Documents radio, et extraits de concerts à la clé » par Le Monde
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    Avec deux volumes déjà parus, 1957-1960 et 1960-1962, Frémeaux & Associés poursuit son travail d’exploration du patrimoine avec intelligence. L’idée d’associer les titres originaux et les versions chantées par des tiers permet de mieux cerner l’univers d’un Serge Gainsbourg ou d’un Claude Nougaro, à qui l’éditeur consacre un volume (Nougaro et ses interprètes, 1955-1961). Gainsbourg est éclairé par les Frères Jacques, Philippe Clay, Juliette Gréco, mais aussi par des voix plus rares, comme celle d’Hélène Martin, féministe et cruelle, complice de Gainsbourg au temps du cabaret Milord l’Arsouille et qui reprenait en 1961 Ronsard 58. Documents radio, et extraits de concerts à la clé. Véronique MORTAIGNE – LE MONDE

  • « Au service des jeunes pionniers du rock hexagonal » par l’Enseignement
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    Boris Vian est catégorique : le rock’n’roll, en France, ça ne marchera jamais, ou, à la rigueur, dans une version comique. Il se lance donc dans l’écriture de Rock and roll mops et autres Rock hoquet. Big Mike (Michel Legrand) met en musique. Henry Cording (Henri Salvador) entre en studio en compagnie du gratin du jazz de la capitale. Et le succès est immédiat. Boris Vian persiste avec Magali Noël (Fais-moi mal Johnny !) et signe avec Rock Failair (Requins drôles). Après quoi, il garde le rythme mais renonce aux sarcasmes pour mettre sa plume au service des jeunes pionniers du rock hexagonal. Il adapte des tubes d’outre-Atlantique pour Danyel Gérard (D’où reviens-tu Billie boy ?) ou Gabriel Dalar (39 de fièvre). Ce chapitre de l’histoire de la chanson occupe un gros tiers de cette anthologie de 64 titres gravés par Boris Vian et ses interprètes – des plus connus (Juliette Gréco, Mouloudji…) aux plus obscurs (Lona Rita, Stephen Bruce…) – dans les années cinquante. René TROIN – L’EN [...]

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