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  • « Fascinant et émouvant. » par ABS Magazine
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    Les Michot sont des musiciens réputés, de père en fils, depuis des générations et le groupe actuel revendique son statut non professionnel (mais quel talent !) car ils exercent tous un métier : Tommy Michot (accordéon, harmonica et chant) est biologiste des fonds sous-marins et Rick Michot (violon, chant), père du guitariste Patrick Michot, est juge à Lafayette ! Ce trio familial nous offre un album de musique cajun traditionnelle en registré en mars 2008 dans les fameux La Louisiane Studios de Lafayette. Les chants sont en Français cajun et part belle est faite aux valses (Valse de Albert Broussard, Valse de Bayou Lafourche), 2-steps (allons à Lafayette, Le 2 pas de vieux temps), contredanses (Contredanse à Pépère) et autres joyaux du répertoire (La Veuve du lac Bleu, J’ai passé devant ta porte). Fascinant et émouvant.Par Robert SACRE – ABS MAGAZINE

  • « Un de plus, mais un bon. » par Trad Mag
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    Loulou Boislaville dirigeait cet orchestre dans les années 1960/1970. Avec ce genre de groupe, la musique des Antilles s’est mise à voyager, à se faire connaître et aimer. A l’époque, des grandes tournées ont lieu pour des ensembles qui présentent des spectacles très complets avec danses, chorégraphies, évocations historiques, voire discours touristique ! Le groupe s’est d’ailleurs appelé Les Ballets Martiniquais puis Le Grand Ballet de la Martinique. C’est l’occasion de réentendre la biguine mais aussi des valses et mazurkas très enlevées sur clarinette et saxophone ou même accordéon. Pour les amateurs : un de plus, mais un bon.Par Etienne BOURS  - TRAD MAG

  • « Une réédition des mieux venues » par ABS magazine
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    Je gage que la plupart d’entre vous ont vu et revu les 3 saisons de la série HBO intitulée Treme, vous devez donc savoir que Tremé est un quartier de New Orleans (le 6th Ward) ou vivaient les Noirs Libres de Couleur au XIXè siècle puis la plupart des musiciens locaux avant l’ouragan Katrina. Après 2005, nombre d’entre eux sont revenus et ce quartier, à nouveau festif et coloré, est le berceau d’un Brass Band extrêmement populaire (et talentueux) Le Treme Brass Band qui se produit encore dans toutes les parades, et elles sont nombreuses dans la Cité du Croissant quand on additionne les fêtes des saints (Joseph, Patrick,…), les enterrements, le Mardi Gras, les parades politiques au moment des élections, etc. Voici l’occasion d’écouter à loisir ce brass band enregistré en juillet 1990 par Gary Edwards pour son label SONO (Sound of New Orleans) et que réédite Frémeaux & Associés. Le répertoire va du r&b (I got a big fat woman) aux succès de Louis Armstrong (Back o’town, What  a wonder [...]

  • « La complicité musicale de deux virtuoses » par Jazz mag - Jazzman
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    1992 : le mariage inattendu du violoncelle et de l’accordéon. La complicité musicale de deux virtuoses offrant une musique de chambre sans étiquette où jazz , valse , tango, musette et manouche font bon ménage dans un répertoire que Galliano reprendra souvent : « Waltz for Debby, Laura et Astor, Fou Rire ».Par JAZZ MAG-JAZZMAN

  • « Tangentiel, certes ! Mais tellement frais… » par Jazz Magazine-Jazzman
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    Différentes sont l’approche et la démarche de la maison Frémeaux & Associés qui accorde une large place à La Nouvelle-Orléans contemporaine et, plus généralement à la Louisiane. Non dans le souci de ressusciter le passé, si prestigieux soit-il, mais plutôt de porter témoignage sur la musique telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui. Ainsi l’album « I Got A Big Fat Woman » (2), enregistré en live en 1990 par le Treme Brass Band, offre t-il un exemple de la tendance qui perdure actuellement, caractérisée par un melting pot brassant jazz, funk, soul, spiritual, blues, rhythm and blues et leurs dérivés. Le groupe, dans la lignée des Rebirth et d’autre Dirty Dozen d’où est, du reste, issu l’un de ses membres fondateurs les plus illustres, Uncle Lionel Bastide, alors octogénaire encore fringuant (il a disparu en 2012), reprend les grands standards du cru, mais en les assaisonnant à sa sauce – celle, épicée, du gumbo louisianais. Swing intermittent, mais enthousiasme collectif. Solistes i [...]

  • « Chaudement recommandés » par Jazz Magazine-Jazzman
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    Les faces Savoy du quintette avec Miles se terminent. Ce dernier commence à assimiler son rôle, un rôle longuement répété (comparez les prises de Bluebird). Mais tout au long de l’année 1947 – le coffret commence en décembre – ça s’est bien débridé, la technique (sur Bird Gets the Worm, il faut bien), les idées, l’angularité bop toujours un peu ingrate mais d’une ingratitude qu’il sait se faire pardonner par l’élégance du placement et du son. Au sein des Metronome All Stars qui ferment ce chapitre le 3 janvier 1949, on le confondra avec Dizzy Gillepsie et Fats Navarro. Entre-temps, le quintette  revient  deux fois en Studio (John Lewis et Curly Russel remplaçant Duke Jordan et Tommy Potter) où il enregistre Constellation, Parker’s Mood, Perharps, Marmaduke… Mais il donne aussi à la radio (avec Tadd Dameron, puis Al Haig au Royal Roost) ce que l’on peut considérer comme son apogée, l’entente des deux souffleurs avec Max Roach atteignant une sorte d’idéal. Le 25 décembre 1948, Kenny [...]

  • « Un album attachant » par Jazz Magazine -Jazzman
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    Il n’y a pas que derrière sa batterie qu’André Ceccarelli excelle. C’est aussi le champion des participations à des groupes cultes dont les 33-tours collectors s’arrachent au prix fort. Peu à peu, certains retrouvent une seconde vie en CD. Ainsi, en 2011, Vadim Music exhumait l’unique album de CCPP (« Ceccarelli Chantereau Padovan Pezin », 1975). Croisons les doigts pour qu’un autre label indépendant extirpe des limbes les deux Bad News Travel Fast, souvenirs du rêve américain de « Dédé » parus en 1978 et en 1979 sur le label Casablanca (avec la participation de Michael Brecker). N’oublions pas non plus son premier opus personnel et éponyme de 1977, aussi introuvable en vinyle qu’en Cd, et sur lequel on retrouvait la majeure partie des musiciens qui, cinq ans plus tôt, s’étaient réunis au légendaire Château d’Hérouville pour mettre en boîte ce disque de Troc, produit par Yves Chamberland et paru à l’origine sur label CY Records. Le truc de Troc, c’était l’échange de bon procédés : [...]

  • « Que demander de plus ? » par Jazz Mag - Jazzman
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    A plus de quatre-vingts printemps, une valeur sûre. Quasiment une institution dans le paysage du jazz français. Pourtant, s’agissant de Claude Bolling, le chef d’orchestre, le compositeur et l’arrangeur, sans compter l’explorateur d’un Troisième Courant à la française, ont souvent éclipsé, dans l’esprit du public, l’interprète. Alors qu’il est loin d’être négligeable, comme en témoigne cet album où le pianiste, entouré seulement de quelques uns des solistes de son big band, compagnons de route depuis des lustres, montre sa capacité à se couler avec virtuosité dans divers styles relevant, s’il faut risquer une typologie, du « jazz classique » : relents épars de stride, voire de ragtime qu’il est un des rares contemporains à maîtriser en en préservant l’esprit, souvenirs des diaprures ellingtoniennes (Quitly, Tell Your Story), réminiscences de Garner (I Love You All Madly), de Basie ou de Lunceford (For Jammers Only), hard bop façon Messengers (Rockin’March). C’est, précisément, cet [...]

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