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  • « De la fusion de première main » par Funk-U
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    « Le premier album du groupe éphémère du batteur Andre Ceccarelli est enfin disponible en CD chez Frémeaux & Associés. Publié en 1972 dans le sillage de Weather Report et des excentricités électriques de Miles Davis, le disque de TROC est devenu un véritable collector au fil du temps. 41 ans après sa sortie, la basse de Jannick Top raisonne toujours autant et l’energie communicative d’Alex Ligertwood nous rappelle combien ce chanteur fut important pour Santana qu’il accompagna pendant 16 ans. De la fusion de première main. » Par J.-B. – FUNK-U

  • « Je vous invite fortement à tenter l’expérience, elle vaut le coup. » par Blues
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    « Dji K’Nohe Ossi Bonie Moronie évoque-t-il quelque  chose pour vous ? Oui, ils’agit bien du Bonie Moronie de Larry Williams, mais en dialecte wallon. Et cela vaut, dans un genre différent, les versions en espagnol de titres de Little Richard par les groupes mexicains. Si vous connaissez Benoît Blue Boy, sachez que Daniel Droixhe, puisque c’est son nom, s’inscrit dans le même créneau musical. Sur ce CD, son sixième, qui donne envie de connaître les précédents, il a puisé dans le catalogue Bluebird et fait redécouvrir des artistes plus ou moins oubliés, Jazz Gillum, Big Bill Broonzy, Leroy Carr, qu’il reprend à sa manière, souvent en style néo-orléanais et, parfois, en wallon. Le wallon n’étant pas facile à piger, Frémeaux a mis les paroles et les a traduites en français de chez nous sur un livret. Je vous invite fortement à tenter l’expérience, elle vaut le coup. »Par Bernard BOYAT – BLUES MAG

  • « Bravo et merci ! » par Blues Mag
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    « Après un premier coffret consacré à la décennie des débuts de Muddy, Gérard Herzhaft présente une anthologie dédiée à la suivante. Cette remarquable (pléonasme quand il s’agit de parutions Frémeaux) réalisation est, en sus, nantie d’un livret clair, net et précis, à la portée de tous, expliquant simplement le passage de Muddy d’une musique rurale du Delta avec accompagnement restreint à un Blues musclé et électrifié avec groupe complet dès 1953. De plus, cerise sur le gâteau, on a droit à une photo d’un Herzhaft jeune avec le maître. Les amateurs de Blues et des racines du Rock’n Roll (Mannish Boy, Baby Please Don’t Go, Hoochie Coochie Man, Got My Mojo Working entre autres) seront déjà familiers avec les titres de la période et se régaleront à leur écoute. Bravo et merci ! »Par Bernard BOYAT – BLUES MAG

  • « Authentique… » par Vibrations
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     Bien avant que la formidable série de David Simon ne le fasse connaître au monde entier, le quartier néo-orléanais de Treme avait sa fanfare homonyme, ici captée live en studio en 1990, en plein revival funky. Aucun artifice, un son brut de décoffrage et ces fameuses lignes de cuivres qui se croisent, se frottent et se carambolent dans une harmonie miraculeuse. Le répertoire est classique mais l’énergie formidable. Sauf à faire le déplacement in situ, difficile de trouver plus authentique en matière de brass band…Par Bertrand BOUARD - VIBRATIONS

  • « Une antichambre roots du DDBB » Par Soul Bag
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    Paru initialement sur le label Sound of New Orleans en 1992 , cet enregistrement fait la part belle à cette véritable antichambre roots et traditionnelle du Dirty Dozen Brass Band. Les prestigieux Roger Lewis et Kirk Joseph respectivement sax baryton et tuba du DDBB en ont fait partie à l’instar de la famille Andrews (James, le trompette ainé, Troy alias Trombone Shorty et Glen David, le cousin extraverti). Le « Back o’town blues » de Luis Russell et de Louis Armstrong souligne les qualités vocales du regretté « Uncle » Lionel Batiste.Par Stéphane COLIN – SOUL BAG

  • « Tremé incarne la tradition » par Jazz News
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    Depuis la série de HBO, le quartier qui jouxte le Carré Français, est devenu un passage touristique obligé. Mais avant de devenir cette caricature, en proie avec la gentrification, Tremé fut l’âme de la ville, l’antichambre où nombre de musiciens ont grandi. Trombone Shorty fut ainsi formé dans les rangs de son brass band. Et c’est d’ailleurs un autre Andews (grande lignée) que l’on retrouve à la coulisse de cet enregistrement de 1990. A l’époque, alors que l’heure est au renouveau des brass Bands, avec le Dirty Dozen pour mener la danse, celui de Tremé incarne la tradition, ce nécessaire lien qui fait la vitalité de la ville. Et dans le genre, la bande drivée par Lionel Batiste, tambour majeur et pilier de Tremé, en donne une version conforme. Jacques DENIS – JAZZ NEWS

  • « Une plongée dans le blues ancien » par Soul Bag
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    Un disque d’Elmore D, accompagné de son Band, dont Big Dave à l’harmonica, et d’invités comme le spécialiste du piano blues traditionnel Christian Rannenberg, c’est l’assurance d’une plongée dans le blues ancien, sinon par le répertoire, du moins par l’approche musicale. Bumble Bee Slim, Big Bill Bronzy, Tampa Red, Washboard Sam, Walter Davis, Jazz Gillum, Buddy Woods côtoient Larry Williams et Elmore lui-même qui compose superbement dans son style de prédilection. En ouverture, Végn’ tot chal est un lazy blues avec une femme qui s’en va et des bouteilles à partager. Confessin’ the moûse est un très beau blues en tempo moyen mettant en valeur le piano de Christian Rannenberg et la guitare slide du leader. Li spér est un « boogie two step » très dansant, avec des paroles très savoureuses. Sûr de son sujet, Elmore effectue des reprises comparées de versions concurrentes d’une même chanson comme Sloppy drunk et Sloppy drunk again ou Roll dem bones (magnifique reprise) et Roll them bo [...]

  • « Comme une bonne bière… » Par Blues & Co
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    De son vrai nom Daniel Droixhe, Elmore D vient de sortir son sixième disque depuis son entrée en studio en 1997. Le belge de Herstal près de Liège a l’art de composer ses chansons en dialecte wallon avec un certain humour sous forme d’anecdotes et de vécus. Pour ce dernier opus, il explique : « comme dans mes albums précédents, des souvenirs personnels sont évoqués aux limites du bavardage ». Ce bluesman est aussi un sentimental ; Il ajoute de la nostalgie et des regrets sur « Back to Hèsta » : où vécurent ses parents. L’intègre et désintéressé sexagénaire du blues, droit dans ses bottes, continue peinard, au gré du vent, des rencontres, son chemin et sa passion depuis plus de quarante ans. Il est entouré suivant les circonstances, de musiciens très compétents et soudés. Parmi eux, le fiston Gilles à la guitare électrique et acoustique ainsi que de deux pianistes dont Christian Rannenberg qui excelle dans « New Orleans stop time »de Bumble Bee Slim. Sont abordés Big Bill Bronzy, T [...]

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