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« Un véritable document audio » par Big Bear
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Un livret 27 pages avec un historique des trois périodes de Bruno Blum dont il est même le dessinateur de la jaquette. 3 CDs d’une heure chacun de bonne musique, c’est un véritable document audio de la musique populaire américaine relatant surtout le mythe de l’automobile, la belle, la grande, comme la Cadillac, Pontiac, Chevrelet, Plymouth, Ford, Dodge, Lincoln, Chrysler, Mercury et bien d’autres que l’on nomme aujourd’hui les voitures de légende. (…) Enfin, trois bonnes heures à ouvrir ses oreilles cheveux au vent !Par Yves GUSTIN – BIG BEAR
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« Un opuscule fondamental » par Marianne
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Contrairement au coffret évoqué précédemment, celui-ci (2 cd, 44 titres) pourra difficilement mettre en valeur vos talents de dj si vous envisagez d’occuper la platine d’une soirée. Encore moins éprouver vos prouesses sur une piste de danse. Mais il pourra épater la galerie, et bluffer les amateurs de reggae, ou toute personne prête à découvrir le berceau du reggae, pour l'éclairage qu'il apporte sur la genèse de cette musique. Ecrivain, journaliste (grand spécialiste du reggae, de Bob Marley, et du passage de Serge Gainsbourg en Jamaïque !), dessinateur, musicien, producteur, Bruno Blum est parti à la recherche d’un temps perdu. Celui de la musique jamaïcaine, née de l’esclavage : trois cent mille déportés d’Afrique nous rappelle-t-il, qui peupleront cette colonie anglaise. Un temps où les rythmes et les cultures noirs se sont ancrés dans la vie comme autant d’outils de résistance (les Marrons, esclaves rebelles, se sont enfuis dès le 17e siècle dans les montagnes de la petite [...]
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« Les arrangements sont ciselés, les enchaînements irréprochables » Par Citizen
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« On en arriverait presque à croire que le sextet est la structure idéale pour l’artiste qui souhaiterait avant tout développer un travail de composition et d’arrangements d’ensemble. Car après son album précédent, une relecture de West Side Story en 2010, Ludovic de Preissac a éprouvé le besoin de se recentrer sur ses propres créations. On aurait pu imaginer chez lui un désir de marquer une pause plus confidentielle, histoire de s’éloigner un peu de ce monument qu’est Leonard Bernstein. Mais il fait le choix de rester en sextet. Formation idéale, donc, car offrant à la fois un dynamisme de big band et l’intimité d’un groupe plus réduit. Hormis une reprise d’« Estate » qui clôt l’album, toutes les compositions sont signées du leader, et englobent une très vaste palette d’atmosphères : ici, une ballade évoque un gospel, là une salsa – mais sur une métrique en 7/4 pour corser l’exercice ; ailleurs c’est une harmonie be bop plaquée sur une rythmique groove... Les arrangements sont ci [...]
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« A insérer rapidement dans son lecteur de CD ! » par Lire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Alors que le Parlement examine depuis janvier le projet de loi sur le « mariage pour tous » et que plus d’un million de Français sont déjà par deux fois descendus dans la rue, réfléchir avec Pascal Bruckner au fait que le mariage d’amour aurait peut-être échoué n’est pas inutile. Si le mariage d’inclination devait répondre aux défauts du mariage de raison en soustrayant les époux aux arrangements de leurs parents et en libérant la femme de la tutelle de son mari, il n’est pas sûr que ne tourne pas au fiasco le pari des sociétés modernes : « Mettre la loi au service des passions au lieu d’encadrer les passions par la loi. Fonder le durable sur le transitoire, épouser la moindre inflexion des mœurs en convulsant au besoin les institutions pour mieux les adapter. Chevaucher le tigre au risque d’être renversé, canaliser par l’assentiment le fleuve impétueux des émotions que nos ancêtres endiguaient par les interdits. Ambition délirante dont nous n’vons pas fini de ressentir les effets [...]
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« La fraîcheur éternelle des rendez-vous amoureux » par Jazz News
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Affublé d’un surnom et d’une iconographie de fier artisan, le guitariste Pierre Barré (il bénéficia d’une enfance méditerranéenne, avant de se passionner pour le jazz manouche en compagnie de Ninine Garcia, et du Kamlo trio) joue comme il chante, et chante sans doute comme il respire. Ses refrains modestes (en apparence) bénéficient de cette instantanéité qui fait les mélodies populaires. Soutenu par la fidèle – quinze années, déjà – contrebasse de Claude Mouton, le jeu de Barré permet à des doigts rêveurs et discrètement volubiles de nous conter les voyages, et les rêveries qui vont avec. Et ses propres compositions ou thèmes empruntés (la galopade conclusive de « Les Yeux noirs ») ont la fraîcheur éternelle des rendez-vous amoureux.Par Christian LARREDE – JAZZ NEWS
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« Une suite prestigieuse » par Jazzmag-Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ce douzième volume débute le 10 janvier 1946 avec l’Esquire All-Americans Award Winners parmi lesquels Satchmo est environné d’ellingtoniens et de figures comme Don Byas et Charlie Shavers. La suite n’est pas moins prestigieuse, où pour la première fois il donne la réplique à Ella Fitzgerald. Mais le cœur de ce volume est ailleurs, avec le film « New Orleans », une idée originale d’Orson Welles massacrée à la sauce hollywoodienne. Par bonheur, les musiques enregistrées pour la BO furent conservées telles qu’avant sélection, montage et mixage. Rien d’inédit pour les collectionneurs, mais une somme qui fait souvent défaut aux amateurs. Armstrong s’y trouve à la tête d’un Hot Seven reconstitué : Kid Ory, Barney Bigard, Charlie Beal, Bud Scott et Zutty Singleton (plus, selon les plages, Billie Holiday, Mutt Carey, Lucky Thomson et différents musiciens de studio). Swing et Victor profitèrent de ce séjour hollywoodien pour enregistrer quelques faces supplémentaires en septette. L’autre [...]
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« Une pièce qui vaut acte d’archive historique » par Intramuros
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Après un premier volume consacré aux années 1957/1960, voici une autre période des années Gainsbourg : 1960/1962. Entre rétro et modernisme, c’est-à-dire entre chanson à texte et tsunami yé-yé, notre homme est toujours là ou il fallait (« a place to beat » aurait –il pu dire). Un Gainsbourg prolixe, peu asséché du stylo et de l’inspiration, il écrivait à tout va et pour tous. La preuve encore avec cette somme de 58 titres (excusez du peu !) qui compile, outre lui-même (et même en scène et à travers des documents), Michèle Arnaud, Jean-Claude Pascal, Juliette Gréco, Catherine Sauvage, Philippe Clay, Petula Clark, Isabelle Aubrey… Plus qu’un simple coffet (trois cd tout de même !), cette pièce vaut acte d’archive historique en matière de musique française qui reste et restera.Par M.C. - INTRAMUROS
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« Un langage ouvert » par Jazzmag-Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ce violoniste habitué des Petits Joueurs et enseignant à la Romane Swing Académie à Paris s’exprime au sein d’un quintette façon Hot Club de France (Samy Daussat, Mathieu Guinot, Claudius Dupont), mais dans un langage ouvert à des influences plus modernes qui se mêlent l’une à l’autre très librement et sur des compositions pleines d’entrain.Par A.S. – JAZZMAG - JAZZMAN