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  • « Le travail le plus complet et le mieux conduit sur Murena » par Jazz Magazine-
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    Du triumvirat Viseur-Murena-Privat qui rénove l’accordéon populaire français de 1938 à la fin  des années 50 sous l’influence des guitares manouches et du swing américain, Tony Murena, plus à son aise au dancing qu’au musette, fut le plus technique des trois et aussi le plus jazz et l’ont dit même que Glenn Miller chercha à l’engager. Dans ce « le plus jazz » peut-être faut-il voir ce qui poussa André Hodeir à déclarer l’accordéon « anti-swing » et, en effet, ce serait une erreur d’apprécier le swing des accordéonistes français de l’époque (et leurs improvisations) sur la même échelle que Louis Armstrong, Lester Young ou Django Reinhardt, mais son swing sautillant a son charme qui ouvre des portes immenses à l’instrument des bouges parisiens. Ce volume conçu par Francis Couvreux est le travail le plus complet  et le mieux conduit sur Murena jusqu’à ce jour. A ses côtes, on croise parfois les Ferret, plus souvent son fidèle guitariste Didi Duprat, mais aussi les clarinettes de Hube [...]

  • « Mahalia reste sublime… » par Soul Bag
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    Ce volume est sans doute le plus hétérogène de la série. Pour commencer, voici trois traditionnels sombres et magnifiques. En ce 1er avril 1959, la Reine du gospel chante les jours derniers comme personne. L’accompagnement est anonyme mais parfait. Puis, « Brown baby », toute première version enregistrée de ce poème en faveur des droits civiques signé Oscar Brown Jr. Immense frisson. Mahalia en prise directe avec le Mouvement. Ensuite, pour quatre courtes plages, l’atmosphère se détend, le rythme sautille. Swing & gospel. Epanouissement total. En revanche, à la séance du lendemain ; le ton redevient grave. Mahalia reste sublime mais ne sourit plus et se laisse parfois déborder par un chœur un peu trop à l’aise. Et pourquoi le guitariste de jazz Jimmy Raney n’intervient-il pas davantage ? Des regrets d’autant plus amers que la suite et fin de ce CD est tout en « violonades ». Place en effet au grand orchestre hollywoodien de Percy Faith pour quatre hymnes patriotiques et religieux. [...]

  • « Joya discografica » por El País
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    Esta joya  discográfica (cuarenta grabaciones fechadas entre 1899 y 1959 y rescatadas  de discos  de pizarra  u otros  soportes  remotos) constituye una rareza. La música en gaélico ha revivido en los círculos folclóricos y nacionalistas de las Islas Británicas a lo largo del último medio siglo y constituye un patrimonio ampliamente documentado. Los intérpretes que desfilan por este álbum integran una lista de pioneros que los aficionados a Dick Gaughan, Tannahill Weavers, Ossian o Capercaillie harán bien en incorporar a sus oraciones. Parece evidente que folcloristas como Alan Lomax habrían desgastado sus grabadoras ante las voces de Norman MacPhail Blair, James MacPhee o el prolifico Neil  MacLean, ídolos de entreguerras. De otros artistas aquí representados apenas se conservan sus nombres, lo que incrementa el hechizo de las grabaciones. F. Neira – El País (quotidien espagnol de référence)

  • « Verdadera leyenda de la canción francesa » por Tango Reporter
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    Nacido en Toulon, Francia, el cantante y compositor Gilbert Bécaud contribuyó  con su estilo y sus temas a revolucionar la canción del music hall. Surgido a principio de la década de 1950, sus canciones ingresaron entre las más sobresalientes del patrimonio artístico francés. Habiendo comenzado a ganarse la vida  en los cabarets  y piano-bares, pronto se asoció con Maurice Vidalin que le puso letra a las composiciones que Gilbert comenzaba a escribir (Le mur, Seul sur une étoile, y L’indifférence) y luego con Pierre Delanoë, letrista  con el que compuso  sus primeros éxitos (Mes mains, Quand tu danses, Je t’appartiens). En 1953 aparece su gran oportunidad al presentare abriendo en el Olimpia el espectáculo de Luciente Delyle y Aimé Barelli, causando sensación. Admirado  por la generación  joven, su éxito fue  fulminante. Este compacto  doble captura una selección  de 36 conciones grabadas  durente  ese periodo inicial, las cuales permiten  descubrir  sus  comienzos y el por qué  d [...]

  • « Un lever de rideau captivant » par Médiapart
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    « C'est un coffret d'émotions, qui reflète un paysage d'entre deux mondes. Claude Nougaro commence une carrière à la fois remarquable et périlleuse par l'écriture de chansons pour des femmes et des hommes que l'on nomme en ce temps-là des artistes interprètes. Lucienne Delyle ou Lucette Raillat nous rappellent que "le réel, suivant le mot de Lacan, c'est quand on se cogne"; une inspiration populaire, audacieuse comme à regret, se trouve incarnée par Marcel Amont- dont il faut témoigner ici de la vraie modestie, de la gentillesse aussi; la figure de Philippe Clay, grande gigue à peine sortie de French Cancan, nous laisse entrevoir un désordre passionnant que les engagements réactionnaires ultérieurs, hélas, ont étouffé; de jeunes premières apparaissent: Jocelyne Jocya, Pierette Bruno, chantent La Folle Chanson, Dent de lait, titres éloquents; la présence de Doris Manier, de Florence Passy donnent l'impression de lire un récit de Modiano. Comme si cela ne suffisait pas au bonheur, i [...]

  • « Un document exceptionnel » par On mag
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    « Ce triple album est avant tout un document exceptionnel. Le premier CD est divisé en deux parties : tout d’abord les chansons de Boris Vian chantées par lui. Des chansons avec un ton différent, une forme nouvelle d’humour, un antimilitarisme forcené et un goût avide de la liberté.Boris Vian vit au milieu de la jeunesse, plus ou moins dorée, du Quartier latin, entre zazous et existentialistes. Cette génération qui a eu vingt ans en 1940 (« drôle de cadeau d’anniversaire », dira-t-il) et qui a subi la guerre sans la faire, veut vivre avant tout. Pour ceux qui n’ont jamais entendu chanter Boris Vian, disons-le tout net, il existe de meilleurs chanteurs, mais le document vaut par la qualité des onze chansons. On ne compte pas celle qu’il chante sous le nom de Fredo Minablo et sa pizza musicale, pochade pour se moquer de « Bambino », la scie de l’époque. La seconde partie du CD est consacrée à Boris Vian, inventeur du rock n’ roll français, avec les enregistrements historiques que ré [...]

  • « Tonique et plein d’humour » par Classica
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    Les scènes de l’Europe et de quelques pays adjacents savent depuis un certain temps le succès que remporte le groupe Pink Turtle à chacune de ses prestations. Le principe est désormais connu : en gros, réorchestrer façon crooner des années 1950 et 1960 les succès pop et rock des années qui suivirent. Le résultat est tonique et plein d’humour. Mais tout cela ne convaincrait pas durablement si la mise en place, les arrangements, n’étaient pas impeccables, si la maîtrise instrumentale de chacun n’était pas irréprochable. Avec ce troisième opus sur le marché, c’est ce qui frappe d’abord : la fantaisie est au cordeau, le délire est millimétré. Il est évidemment permis de choisir une autre voie, mais une chose est sûre : celle-là fonctionne bigrement et n’engendre pas la tristesse. CLASSICA

  • « Des œuvres éclairées d’un jour nouveau » par Vibrations.
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    Arrivé sur le sol américain avec les esclaves d’Afrique de l’Ouest, le culte vaudou a profondément innervé les cultures locales, mais à des degrés divers. Si sa présence est évidente aux Antilles (Haïti) ou au Brésil (le candomblé), les traces de ce syncrétisme se retrouvent parfois subtilement – l’esprit plutôt que la lettre – dans le cadre états-unien. Il fallait la curiosité de Bruno Blum pour en retranscrire la vitalité à travers les œuvres de Jelly Roll Morton jusqu’à John Coltrane, en passant par Muddy Waters ou Bo Diddley, éclairées d’un jour nouveau.Par Bruno GUERMONPREZ - VIBRATIONS

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