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  • Plaisir de la découverte de raretés Par Jazz Man- Jazz Mag
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    "Après-guerre, le paysage jazzistique français est foisonnant car pendant l'Occupation, radios, cabarets, casinos, palaces, cinémas, galas, compagnies de disques, chanteurs ont beaucoup fait travailler les jazzmen hexagonaux. Et les expatriés, comme Ray Ventura, sont très vite revenus dès la fin des hostilités. Résultat: dès 1945 un très grand nombre de musiciens, de solistes et d'orchestres de qualité sont en parfait "état de marche" sur le marché de la musique festive et dansante. Leur modèle quasi exclusif est le swing US des années 40. Pendant une dizaine d'années des flopées de 78-tours vont être produits et les surprises-parties vont en faire un usage intensif. Mais...cendres, rayures, aiguilles de phono hors d'usage vont martyriser ces fragiles galettes. Ces maltraitances expliquent que les collectionneurs de 78-t de cette période possèdent fort peu de disques en bon état. Conséquence: la qualité technique de certaines plages (assez peu en définitive) de ces deux CD est ass [...]

  • Alors : comment expliquer le succès de Freud ? par L'Express
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    "Après Dieu, Michel Onfray déboulonne Freud, le freudisme et les freudiens. Les griefs qu'il récapitule en tête de sa conclusion (voir l'extrait ci-dessous) sont de trois ordres. Le premier est biographique : Freud aurait eu un comportement malhonnête. En deuxième lieu, sa thérapie n'a pas fait ses preuves. Progressiste ou révolutionnaire, Freud ? En aucun cas, objecte Michel Onfray, qui tient à le mettre également en cause sous l'angle politique. C'était un fieffé conservateur, gardien des bonnes moeurs et partisan de régimes autoritaires.Au terme de cette analyse, une question s'impose : si Freud fut bien cet affabulateur accablé par un lourd dossier ; s'il a bien été un philosophe qui a détesté la philosophie pour mieux déployer sa pensée dans le seul cadre philosophique ; s'il a très tôt détesté les biographes parce qu'il savait que cette engeance ferait un jour l'histoire de ce qu'il s'est évertué, lui et ses amis, à présenter sous le signe de la légende ; si son odyssée fut [...]

  • Onfray dénonce avec une belle ardeur les maladresses intellectuelles de Freud pa
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    "On se rappelle les justifications de Michel Onfray à la présence de Freud dans sa contre-histoire de la philosophie : il s‘agissait toujours d’écrire cette histoire subversive de la philosophie et de la pensée, organisée surtout autour de l’articulation entre le XIXème et le XXème siècles. Dans le prolongement de Schopenhauer, voire de Nietzsche, Onfray rangeait Freud parmi les philosophes "vitalistes". L’intérêt du propos, c’était au fond l’aveu de ne vouloir s’arrêter qu’aux attendus de cette histoire, non pas dans une perspective scientifique mais subjective, comme si l’histoire ne pouvait plus, décidément, n’être autre chose qu’un propos de cantonade énoncé avec la plus grande liberté concevable. Armé de Nietzsche dénonçant le besoin de rationaliser les besoins, ce que visait Onfray n’était finalement pas Freud lui-même, mais ces philosophies entendues comme malentendus du corps.Onfray reprochait aussi à Freud d’avoir brouillé sa biographie en manipulant Ernst Jones pour le c [...]

  • Le culte narcissique du Moi que célèbre l’individualisme libéral. par Libération
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    "Si la psychanalyse n’est que l’autobiographie de Sigmund Freud, comme le soutient Onfray, elle révèle un homme bien peu… légendaire. Mais, depuis Freud, la psychanalyse, en dépit de toutes les critiques, a connu un essor considérable. On ne peut pas seulement expliquer son succès par le fait qu’elle a « fait entrer le sexe dans la pensée occidentale », qu’elle s’est instituée en «église» protégée par ses dévots, que le « freudo-marxisme » (Reich, Marcuse, les enfants de Mai 68…) lui a donné une patine « plus séduisante », ou qu’elle se trouve à présent en syntonie avec le culte narcissique du Moi que célèbre l’individualisme libéral. Ses praticiens, dont on ne peut pas penser qu’ils soient tous incapables de reconnaître un « effet placebo », peuvent attester son efficacité pour soulager les souffrances ou délier les « nœuds » qui empêchent de bien vivre. Ses concepts sont utilisés par tout le monde - y compris par Onfray, qui, par exemple, à propos du rapport de Freud à Nietzsche [...]

  • On se précipitera sur ce nouveau segment d’une indispensable intégrale par Class
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    "Nous voilà parvenus au volume x de cette superbe intégrale. Hormis deux ultimes séances pour Decca, ce coffret fait entendre Louis lors d’enregistrements radio à Chicago, sur la côte Ouest, à Dallas, puis à New York avec un all-stars prestigieux pour la revue Esquire et une captation au Cotton Club en 1940. Y figurent aussi la musique enregistrée pour un court-métrage ("When It’s Sleepy Time Down South"), un morceau coupé au montage pour le film "Cabin In The Sky" de Minnelli, et celui gravé pour "Jam Session", produit par la MGM. La production perturbée par l’effort de guerre suite à Pearl Harbour et la grande grève de l’enregistrement de 1943 rendent les captations radio particulièrement précieuses, d’autant que leur qualité sonore est bonne et Louis aussi solaire qu’à son habitude. Si l’on ajoute que Sidney Catlett y tient la batterie une grande partie du temps, on se précipitera sur ce nouveau segment d’une indispensable intégrale."Par CLASSICA

  • « Un enregistrement extraordinaire et bouleversant » par Le Nouvelliste (L’Expre
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    Qu’y a t-il de plus merveilleux que de pouvoir apprendre de nouveaux mots, de nouvelles expressions pour élargir les horizons de la pensée et le champ de nos partages et de nos communications avec autrui ? Et pourquoi ne parlerions-nous pas un jour avec les oiseaux, si tant est que l’on pouvait apprendre leurs langages, leurs mots et, bien sûr, la manière de les moduler pour exprimer comme eux leurs émotions et leurs besoins, leurs joies et leurs amours, leurs craintes et leurs jalousies ? Car c’est de tout cela que parlent les oiseaux, comme les humains ou d’autres animaux, du matin au soir, dans les forêts ou les marécages, au sol ou en plein vol, à marée basse comme à marée haute, seuls dans leurs nids ou en groupes. Dans cet enregistrement extraordinaire et bouleversant de 10 CD réalisé par Jean C. Roché, 481 chants d’oiseaux de tous les pays d’Europe et du Maghreb sont ainsi répertoriés et classées, de près ou de loin, selon leurs différentes espèces et selon qu’ils soient mâ [...]

  • « Rêvons à rebours » par Jazzman-Jazzmag
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    Ce sixième volet de l’intégrale Sister Rosetta Tharpe débute en décembre 1957 au Free Trade Hall de Manchester où, lors d’une tournée européenne de près de cinq mois, la chanteuse-guitariste est accompagnée par l’orchestre du tromboniste Chris Barber qui la révèle à des auditoires britanniques encore étrangers aux holy roller singers de son abattage. Et qui ne s’entendent guère plus, en pleine déferlante du rock’n’roll, à la voir éclipser bien d’autres guitaristes en décochant son répertoire d’église avec le soutien d’un orchestre « trad » (dixieland). Barber a publié en 2008 ces dix titres live dans sa série « Lost & Found » (Classic Studio T) avec d’autres traces précieuses du temps des revivals dans ce qu’il eut de plus réparateur et vivifiant. Rosetta parle, chante et joue avec autant de naturel que de métier, son triomphe et éclatant. Auprès d’elle, plusieurs solistes sont à citer – Pat Halcox (tp), Monty Sunshine (cl), Barber. La prise de son est sommaire mais aussi bien tra [...]

  • « Un million d’exemplaires vendus » par Vibrations
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    Et si, pour une fois, l’arbre ne cachait pas la forêt ? Les oripeaux et le pandémonium faisaient partie de son art, et même un peu de sa personnalité pour le moins fantasque et expansive. On ne s’est pas renseigné auprès de la soixantaine d’enfants qui peuvent se prévaloir de sa paternité, mais il semble que Screamin’ Jay Hawkins se soit accommodé du cirque grand-guignolesque de son cercueil dont il sortait chaque soir sur scène, ainsi que des gargouillis intestinaux (« Constipation Blues ») qu’il aimait présenté au public, ad nauseam. Pour meilleure preuve, on brandira surtout « I Put A Spell On You » auquel il est cruel de le réduire, mais dont personne n’ignore que c’est son meilleur titre. Une composition personnelle qu’il avait tout d’abord pensée comme une ballade blues, lui qui avait appris le métier auprès du méconnu Tiny Grimes et qui se voyait reprendre le flambeau lyrique du baryton Paul Robeson. C’est ainsi qu’il enregistre ce futur tube en 1956 dans les studios Columb [...]

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