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  • Il doit être bien heureux, Bernardin de Saint-Pierre de s’entendre ainsi par L’i
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    Comme c’est différent d’entendre bien dire l’intégrale d’un des récits les plus décriés du siècle XVIII, Paul et Virginie, considéré comme illisible, fade, minable en somme, et que ressuscite avec talent de sa voix souple et ferme Marie-Christine Barrault. Il doit être bien heureux, Bernardin de Saint-Pierre, de s’entendre ainsi remis au goût du jour, et peut-être plus encore son maître, Jean-Jacques Rousseau, dont il avait voulu illustrer la théorie de l’humain foncièrement bon ! Alors que nous savons si bien depuis… Les deux anges du ciel, si adorables, si bons, mais si victimes de leurs proches, qui comme les gens de 2011 ne comprennent rien aux bonnes intentions, s’en moquent ou pire, les méprisent ou les assassinent !Par L’INEDIT

  • Une Afrique en radio m’a remis en mémoire ce que j’ai vécu avec passion par L’in
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    Je ne sais comment qualifier le bel ensemble de voix proposées par la célèbre et si complète Encyclopédie sonore de amis Frémeaux en ce début d’année. Je commence par ce qui m’a touché le plus, au plus profond de mes souvenirs, lorsque pendant dix ans je me suis passionné (à Bruxelles) pour l’Afrique et le Congo qui n’était pas encore indépendant. Ce sont les archives de Robert Arnaut, que l’on appelait là-bas « le griot blanc » et qui a tant ramené d’échos de la vie africaine de la période 1967-1995. C’est un ensemble d’émissions radios où l’accompagne un fidèle Thomas Baumgartner. Arnaut aura presque tout vu de ce qui à l’époque était encore possible, car maintenant il aurait couru des dangers incroyables, comme lorsqu’il a interviewé Diane Fossey, dont les gorilles de montagne sont aujourd’hui chassés par des groupes de mutins des uns ou milice des autres. Et ce n’est qu’un exemple. La belle consolation, c’est la musique, traditionnelle enregistrée par lui ou par Radio France, [...]

  • Pas tout à fait la même Story. D’où le plaisir tout neuf à l’écouter par L’ensei
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    Ce n’est un secret pour personne, Arthur Laurents, le librettiste de West Side Story, s’est largement inspiré du Roméo et Juliette de Shakespeare. Juste continuation des choses, la partition de Léonard Bernstein a, à son tour, fait le bonheur de nombreux jazzmen. Stan Kenton, Dave Grusin, Dave Brubeck, pour ne citer que des pianistes, ont consacré un album entier à la musique du film aux dix Oscars. Ajoutons… Oscar Petterson dont les versions en trio de Somewhere, Jet song et autres Maria ont déclenché chez Ludovic de Preissac l’envie d’arranger un West Side Story pour septet (soit son piano, deux saxophones, une trompette, un trombone, une contrebasse, une batterie) augmenté de quelques invités à l’aise dans l’art du solo. Mention spéciale (et subjective !) au vibraphoniste Florian Bellecourt… Maria est là, Jet song aussi, et puis Somewhere… C’est bien la même Story, mais… pas tout à fait. D’où le plaisir tout neuf qu’on prend à l’écouter.Par René TROIN – L’ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE

  • Une mémoire émouvante par La Tribune
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    Réalisés entre 1916 et 2009, ces enregistrements, qui font partie d’une « anthologie des musiques traditionnelles », sous la direction de Guillaume Veillet (ancien red-chef de « Trad Magazine »), portent une mémoire émouvante. Une génération de chercheurs, réagissant à la société de consommation et y ajoutant souvent une préoccupation identitaire, se lance dans la collecte auprès de personnalités bien trempées et d’interprètes reconnus. Ici évidemment le chant polyphonique sous ses différentes formes, mais aussi d’autres expressions. Celles qui ponctuaient, comme les poèmes improvisés, les événements de la vie locale : complaintes, chants funèbres, sérénades, joutes improvisées, chants électoraux mettant également en valeur la tradition instrumentale. Forte présence de la montagne et hommage tout particulier aux chants enregistrés par les autorités allemandes auprès de prisonniers corses détenus à Königsbrucck en novembre 1916. Plongée dans la Corse de nos souvenirs, terroir vivan [...]

  • Onze propositions pour un concert idéal par Jazz Magazine
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    C’est avec l’orchestre de Bennie Moten, dans l’ambiance torride des clubs de Kansas City, que Count Basie fait ses débuts. Quelques futurs acteurs du Count Basie Orchestra sont déjà là. Notamment Eddie Durham tantôt en solo à la guitare avec résonateur, tantôt au trombone à pistons. Il a co-arrangé ce démarquage du standard You’re Driving Me Crazy avec Basie, à la hâte dans le sous-sol du Pearl Theater de Philadelphie pour satisfaire son directeur insatisfait. En outre, c’est lui qui sut comment réécrire les arrangements, lorsque Bennie Moten introduisit dans son orchestre un troisième trompettiste. Mais l’homme clé, à part Basie qui joue l’ouverture au piano comme il aimera toujours le faire, c’est Walter Page. Sa Walking Bass définit le mode de propulsion de la future limousine orchestrale du Count. Moten Swing en devint le générique avant de connaître en 1937 un nouvel arrangement de Buck Clayton.Par Franck BERGEROT – JAZZ MAGAZINE

  • Ce trompettiste de génie est passé devant les autres et a créé le soliste... par
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    "Le tome 9, triple comme ses collègues précédents, couvre la période 1938-1941 de la vie de Louis Armstrong et comme les précédents, il se révèle une mine de trésors réalisés par celui à qui l'on doit en quelque sorte le jazz moderne.Car tous les développements du jazz, une fois qu'il est sorti de l'improvisation collective de la Nouvelle-Orléans, vient du fait que ce trompettiste de génie est passé devant les autres et a créé le soliste, le leader, la vedette. Dans ces années 1938 à 1941, Louis Armstrong enregistre peu, il revient d'une tournée exténuante en Europe (1933-1935), il a les lèvres massacrées par son instrument (il en a profité pour chanter davantage) et il tourne dans quelques films. Ce tome 9 s'intitule « Jeepers Creepers » du fait que quatre versions de ce titre existent sur le disque 1, deux versions du film, une de la radio et une du disque. Le film, éponyme, n'était qu'un prétexte (un cheval de course qui ne gagne que quand Louis, garçon d'écurie, joue de la tro [...]

  • L’origine de sa brillante mais courte carrière par Le Quotidien du Médecin
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    "Après plusieurs intégrales magistrales consacrées à Louis Armstrong, Charles Trénet, Henri Salvador, Django Reinhardt (vingt volumes) et à l’accordéon notamment, le label français Frémeaux & Associés, qui produit aussi ses propres disques et a obtenu des centaines de distinctions pour son travail muséographique de sauvegarde et de diffusion du patrimoine sonore mondial, se lance dans la publication des oeuvres complètes de Charlie Parker (1920-1955). Le premier volume (2 CD - direction Alain Tercinet), intitulé « Groovin’ High - 1940-1945 » vient de paraître. Si le double album commence par un étonnant enregistrement privé du « Bird » au saxe-alto en solo à Kansas City, sa ville natale, au milieu des années 1940, on le retrouve par la suite au sein de la formation du pianiste Jay McShann, qui fut à l’origine de sa brillante mais courte carrière. Viennent ensuite des sessions en trio (1942), et surtout les premières rencontres avec Dizzy Gillespie, avant une collaboration plus pou [...]

  • Un double CD consacré au violoniste Stéphane Grappelli par Le Quotidien du Médec
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    "Dans la collection « Quintessence » (dirigée par le critique/écrivain Alain Gerber ), le label propose (sous la houlette de l’historien Daniel Nevers), un double CD consacré au violoniste Stéphane Grappelli. « Paris - London - 1933-1958 » comprend immanquablement des titres enregistrés avec son associé historique au sein du quintette du Hot Club de France, Django Reinhardt (déjà répertoriés dans l’intégrale consacrée au guitariste manouche), mais aussi des morceaux de « Grappelly » (avec un Y pour faire plus anglo-saxon) à la tête de ses quintets lors de son exil à Londres pendant la guerre, le même avec Jack Diéval (piano) à Paris (1954), en grand orchestre à cordes, et avec celui d’Eddie Barclay (1957), comprenant notamment Lucky Thomson (ténor-saxe) et Kenny Clarke (batterie), sur un arrangement de Quincy Jones."par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

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