<< 1 ... 363 364 365 366 367 >>
  • « D’une belle fraîcheur et d’une réelle originalité » par Classica
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Enregistrement raffiné, magnifiquement spatialisé.Finesse est un bon titre. Il rend parfaitement compte de la qualité première de cette musique, qui pour être d’une belle fraîcheur et d’une réelle originalité, se donne à entendre de façon privilégiée et choisie à travers le chuchotement, le raffinement mélodique, la souplesse des timbres. Mariant avec bonheur l’univers des séances haïtiennes du clarinettiste Sidney Bechet, la souplesse des petites formations ellingtoniennes, la musique créole, voire le choro brésilien, avec l’univers de Django Reinhardt, ce quartet d’une élégance à toute épreuve charme immédiatement. D’abord parce que la musique créole et la biguine ont une histoire en France. Ensuite parce que Sidney Bechet et Django Reinhardt furent  aussi de grandes vedettes françaises. Enfin, plus important encore, parce que cette musique en demi-teintes, parfois presque diaphane, réveille au sein de notre mémoire musicale parfois assourdie ces magiques soirées de Pigalle où [...]

  • «Rescapé de la Shoah » Par Laïcité
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Rescapé de la Shoah, où périt sa famille, Emmanuel Levinas est marqué par l’expérience du mal radical qu’il considère comme une inclination intrinsèquement humaine. Attentif à cette tentation toujours présente d’aller jusqu’au bout, « de négliger complètement autrui », il lit dans le visage qui s’offre et s’expose, totalement vulnérable, la figure du plus grand dénuement, de la plus grande faiblesse, ce qui est le plus susceptible d’être violenté »Par Cédric Enjalbert — LAÏCITE

  • « Très bien réalisé » Par Trad Mag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    «Ce double CD vient enrichir le catalogue Frémeaux des musiques brésiliennes traditionnelles et populaires. Le nombre de coffret CD sur le Brésil comme l’exceptionnel intérêt documentaire et musical de ces musiques font apparenter l’ensemble à une anthologie. Toujours très bien réalisé sous la responsabilité artistique de Teca Calazans et Philippe Lesage, ces albums dévoilent à chaque fois une facette nouvelle du Brésil. Un voyage dans le temps et l’espace que facilite un livret copieux et détaillé. Il s’agit cette fois des musiques du Nordeste, région rendue célèbre en France notamment par le cinéma novo brésilien des années 1960. Les enregistrements pas très anciens proviennent de petits labels indépendants. Au centre de ces musiques, trônent en bonne place l’accordéon ainsi que d’excellents interprètes comme César do Accordeon. Ce dernier joue de nombreux thèmes de Luiz Gonzaga et bien sûr le forro. Avec toujours ces vielles odeurs de musique portugaise médiévale.»Par Michel Pl [...]

  • « Remarquable à plus d’un titre » Par Classica
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Ce huitième disque de l’intégrale de la grande Mahalia, qui nous a déjà offert tant de beautés avec les volumes précédents, est remarquable à plus d’un titre, notamment par le texte éminemment documenté du livret dû à Jean Buzelin. D’abord parce qu’il comprend les faces enregistrées en mars 1957, après que l’on ait tiré à la carabine sur les fenêtres de sa maison de Chicago proche d’un quartier blanc. Ensuite parce que l’on y entend les trois chansons qu’elle interprète dans le film d’Allen Reisner, Saint Louis Blues, où figure également Nat King Cole, ainsi que les deux véritables chefs-d’œuvre (Come Sunday et le 23e Psaume) qu’elle grave avec l’orchestre de Duke Ellington dans le cadre de la suite de Black, Brown and Beige. Enfin parce qu’y figure l’enregistrement dans l’ordre original de parution de sa prestation phénoménale au Festival de Newport en 1958, sa seule apparition dans un contexte purement jazz. Il convient encore d’ajouter une dernière raison : Mahalia Jackson fu [...]

  • « Le plus bel hommage qu’ils pouvaient rendre au blues » Par Trad Mag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Juste retour des choses que cette union musicale des Verbeke père et fils, que seul Patrick Frémeaux pouvait nous offrir avec autant de générosité et de qualité. Cet album est en effet, en plus d’une aventure familiale (pour la moitié des treize titres composés par le duo), l’héritage de la tradition musicale franco-nord-américaine. Le mélange des compositions (Tu m’as menti, La tangente, Mets ta casquette blues, Dis moi pourquoi, Celle que j’aime, Ragtime blues) côtoient les classiques du Mississippi blues (Frankie & Johnny, Cattfish Blues), dans une fusion naturelle qui frise l’exceptionnel avec La p’tite ceinture et T’efface pas comme ça (adaptation de Baby Please Don’t Go ?). Les jeux subtils des instruments (guitare steel, acoustique, électrique harmonicas) et des vois très différentes, sur des arrangement simple mais efficaces, sont les fils conducteurs de cet album qui ne cherche pas à épater ni à surprendre, mais juste à émouvoir, comme ce qui constitue le sens même du b [...]

  • « De nombreux témoignages de ces tirailleurs » Par Trad Mag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « En ces périodes de polémiques autour du film «  Hors la loi » de Rachid Bouchareb à Cannes ou, d’une façon plus générale, d’un passé colonial si difficile à dépasser après reconnaissance des immenses dégâts qu’il a produit, il est intéressant de se pencher sur les rôles que jouèrent autrefois nos « compatriotes colonisés » pour défendre les valeurs d’un pays qui n’hésite pas aujourd’hui à expulser leurs enfants, sans tambours ni trompettes… Pour les en remercier ! Ce coffret est consacré aux tirailleurs « sénégalais » (qui étaient aussi maliens, malgaches, marocains…ou martiniquais) qui défendirent de leurs vies, de 1857 à 1964, en première ligne et sur tous les fronts ce beau pays qui est le nôtre. Il regorge de nombreux témoignages de ces tirailleurs, d’entretiens divers, extraits musicaux, chansons, extraits d’émissions de RFI, allocution officielles et propos d’historiens. Laissons parler l’histoire avec des extraits de chansons d’époque : « Un caillou blanc, un caillou noir [...]

  • « Album sublime » Par Sciences et Avenir
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Le label Frémeaux, bien connu pour ses rééditions de bonne facture, publie cette compilation couvrant la période la plus électrique de Manu Dibango, de 1978 à 1989. On (re)découvre ainsi quelques extraits d’un album sublime, un tantinet oublié, Waka Juju, datant de 1982, quand le grand Manu commençait à sérieusement fricoter avec le funk et l’afrobeat, notamment le fabuleux Africa Boogi, avec Wally Badarou et Jean-Claude Naimro, le clavier de Kassav’. Ou cette rareté, le fameux Soul Makossa, titre qui avait lancé la carrière internationale du saxophoniste camerounais en 1972, piraté par Michael Jackson dans l’album Thriller dix ans plus tard, mais ici repris par Manu lui-même en 1978, lors d’une séance de studio à Kingston, avec la section rythmique jamaïcaine, Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. On regrette d’autant qu’il n’y ait ici aucune trace de l’album le plus expérimental de Manu Dibango, Electric Africa, enregistré en 1985 avec Herbie Hancock, Bill Laswell et Bernie Worrel [...]

  • « Musique du monde sans doute, musique noire certainement » Par Trad Mag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « L’infatigable Manu Dibango a enregistré partout. Il a coloré son makossa d’esprit soul ou bien encore reggae selon les moments. Dans les années 1970 et 1980, il a roulé sa bosse avec d’excellents musiciens, allant même jusqu'à Kingston (Jamaïque) pour enregistrer avec les pointures du reggae. Cette compilation offre quelques bons moments de ses voyages. Manu Dibango est bel est  bien l’un des piliers des genres urbains. Musique du monde sans doute, musique noire certainement. A écouter pour retourner à ces carrefours que seuls quelques artistes sont capables de nous montrer. »Par Etienne Bours — TRAD MAG

<< 1 ... 363 364 365 366 367 >>