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  • « Un miracle à revivre d’urgence » par Soulbag
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    Le côté patchwork inhérent à toute intégrale est ici largement compensé par la qualité inégalable de la musique. Voici, en ouverture de ce nouveau volume, cinq magnifiques gospel songs écrites par Doris Mae Akers. Enregistrés en juin 1957 avec la fidèle pianiste Mildred Falls, ces titres intègrent parfaitement le répertoire de la reine du gospel. Puis, celle-ci apparaît aux côtés de Nat King Cole et du jeune Billy Preston dans St Louis Blues, un film sur W.C. Handy. Les extraits sont plus anecdotiques, mais il forme comme une respiration avant ce qui va suivre, des chefs-d’œuvre nés de flirts avec le jazz. Dans son livret, Jean Buzelin décrit bien les hésitations de Mahalia à interpréter autre chose que des spirituals ou des gospels songs. En 1958 pourtant, elle franchit la pas : d’abord en participant à l’album « Black, Brown And Beige » de Duke Ellington ; ensuite, en donnant un récital au festival de Newport. A l’écoute du résultat, on ne peut que se réjouir de ces modestes con [...]

  • « Un écrin sonore » par ABS
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    Saluons Patrick Frémeaux pour avoir confié à Jean Buzelin, un vrai spécialiste éclairé, la réédition de l’intégrale des enregistrements de cette chanteuse hors du commun. Nous voilà déjà au volume 8 d’une série dont chaque pièce semble indispensable. Riche en apparitions publiques en églises et dans des shows TV triés sur le volet, 1957 ne fut pas une années faste au plan discographique pour Mahalia qui n’a enregistré que 5 faces cette année-là, toutes écrites pour son amie Doris Akers. Elle est accompagnée entre autres par Mildred Falls, la pianiste la plus sous estimée de l’histoire du Gospel. Ces faces sont en tempo lent à médium, solennelles et très recueillis sauf Lead on Lord Jesus bien enlevé. Suivent 3 faces de 1958, assez conventionnelles, gravées à Hollywood pour le film « Saint Louis Blues », avec Pearl Bailey, Billy Preston et Nat King Cole. Précisons que Jackson montrait beaucoup de réticences à accepter de chanter en dehors d’un cadre strictement religieux, mais en 1 [...]

  • Tout est à écouter en boucle (...). Indispensable. par Jazz Hot
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    "Après le succès largement mérité de leur premier album, on les attendait un peu au tournant « les Pink Turtle », pour leur deuxième comparution discographique en différé, réforme judiciaire ou pas à la clef ! Le pari de faire mieux, une gageure ! En comparution immédiate, oui ! Z’allez voir ce qu’ils allaient voir, mon bon monsieur. Non mais ! Ne pas se prendre la tête, tout en restant exigeant et swinguant. Ne pas s’examiner le nombril en rond, indécent ! Ne pas proposer de la créativité « bobo la hure », impardonnable ! Et puis être populaire ! Vous imaginez la juste indignation de Téléravage ! On en a condamné pour moins que çà. Et bien tant pis et tant mieux pour nous. Les pisse-vinaigre de « la création sinon rien » en seront pour leurs frais. Sans compter, au passage, que cette dernière n’est pas du tout absente, tant s’en faut, des préoccupations du superviseur artistique Frank Jaccard et autre Christophe Davot, directeur musical du groupe. Ecoutez, par exemple, "I Can’t G [...]

  • Bigrement efficace par So Jazz
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    “Succès surprise de ces dernières années, les sept compères de Pink Turtle persistent et signent dans une formule simple mais bigrement efficace : Délivrer une bonne dose d’insouciance et de plaisir coquin en détournant avec swing et légèreté moult tubes, du « Billie Jean » de Michael Jackson au « Roxane » de Police. Mention spéciale pour leur version bossa d’ «Everybody’s Got to Learn Sometimes » et pour la performance d’un André Minvielle en grande forme sur l’éternel « Sir Duke » de Steve Wonder.”par SO JAZZ

  • « De formidables musiciens » par Jazzman-Jazzmag
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    Voici la compilation idéale pour retourner soixante ans en arrière sur la côte ouest des Etats-Unis, au temps où une bande de formidables musiciens décupla ses efforts et ses talents pour, tout simplement, vivre de son art. Shorty Rogers, Shelly Manne, Bud Shank, Art Pepper, Jimmy Giuffre, Bob Cooper, Gerry Muligan, Marty Paich, John Graas, Joe Mondragon, Bob Enevoldsen, Buddy Colette, Howard Rumsey, Barney Kessel, Lary Bunker, Howard Roberts… : le simple énoncé des (grands) noms qui incarnèrent ce style unique nommé faute de mieux west coast jazz fait surgir des images mortes – le ciel bleu et la plage, certes, mais aussi, et surtout les pochettes Pacific Jazz, Contemporary, Capitol, Tampa, Nocturne… - et bruisse de l’ineffaçable mémoire d’un son unique et doux-amer, de mélodies subtiles et d’arrangements au diapason. Les quarante-deux morceaux rassemblés dans ce double CD rendent parfaitement compte de l’étonnante variété d’un jazz inventif et raffiné qu’on a souvent tendance à [...]

  • « Dynamique, coloré et délicieux » par Le Soleil (Montréal)
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    "Et swingue la tortue rose ! Sept musiciens français issus d’un groupe éphémère des années 60 et qui avaient repris du service en 2008 remettent ça avec un album de la même monture que leur premier disque, il y a deux ans. Comme la formule de puiser dans la pop et le rock des années 70 et 80 fait fureur, pourquoi s’en passer ? Les revoici donc avec des relectures de titres comme Maniac, Roxanne, (I can’t Get No) Satifaction - avec un rythme latin et quelques couplets en espagnol ! -, We Will Rock You, Billie Jean et Hey Jude des Beatles, entre autres. Swing et jazz remplacent audacieusement les arrangements d’origine, avec des solos éblouissants. Parmi les sept musiciens, Patrick Bacqueville et Christophe Davot assurent la partie vocale avec un savoureux accent qui ajoute à la french touch qu’ils cultivent avec ce qu’on pourrait appeler le son Pink Turtle. Un disque sympathique, dynamique, coloré et délicieux."par Michel TRUCHON (collaboration spéciale) - LE SOLEIL (MONTREAL)

  • « Que de grands standards... » par Le Journal de Montréal
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    "Un ensemble néo-swing, jazz et lounge qui excelle dans le pastiche ; combo élargi et cuivré qui fait dans l’humour et la reprise, avec un goût certain. Que de grands standards, tels que Money, Satisfaction, Roxanne, Black Magic Woman, Billy Jean, Nights in white Satin, Hey Jude, etc., revisités, détournés et retournés sauce salsa, mambo et cool jazz, de manière très intelligente et efficace. Sans dénaturer la version originale et froisser les créateurs. Compétent et amusant. Pour les fans de The Lost Fingers."par le JOURNAL DE MONTREAL

  • « On ne peut faire autrement que d’en croire ses oreilles… » par Le Républicain
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    "Satisfaction : tout est dans tous et réciproquement, ce pourrait être la devise des Pink Turtle. Ce septet d’impeccables musicos est capable de transformer n’importe quel tube pop en, au choix, salsa, bossa, swing ou new orleans. Ainsi leur Satisfaction, de Jagger et Richards bien sûr, qu’on croirait joué par un orchestre de mariachis ! Il faut écouter, aussi, André Minvielle scatter en occitan sur Sir Duke de Steve Wonder. On ne peut faire autrement que d’en croire ses oreilles…"par LE REPUBLICAIN LORRAIN

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