<< 1 ... 395 396 397 398 399 >>
  • « Entre jazz et déconne » par Cri du Coyote
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Étonnant, non ? Deux raisons poussent au départ à s’intéresser à la chose : la signature par le label Frémeaux & Associés et le dessin de Siné ; puis on trouve d’autres bonnes raisons (Marc Fosset à la guitare, et dans la liste des amis venus assister à l’enregistrement, Jackie Berroyer et Pierre Etaix. A la guitare aussi son fils Marc Edouard Nabe (qui, heureusement, ne parle ni n’écrit sur l’album !). On peut ranger Marcel dans la catégorie artiste maudit pour avoir toute sa vie nourri une passion pour le jazz et n’avoir été connu que pour son tube Tu veux où tu veux pas ? C’est sans doute très injuste mais, au fond, ça fait plaisir de le voir prendre encore aujourd’hui (86 piges aux cerises !) son pied sur sa musique, avec ses paroles, entouré de bons musiciens (Frémeaux & Associés eût il signé si ça n’avait pas été le cas ? Ses Cd partagent la 4eme de couv’ avec les Primitifs du Futur et les Parisiennes, on donne vraiment dans le kitsch). La voix n’est plus celle d’un jeune ho [...]

  • « Inaltérable foi » par Notes Bibliographiques
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Martin Gray s’est fait connaître, il y a une trentaine d’années, par son célèbre livre, Au nom de tous les miens, qui fut plus tard adapté au cinéma. Rescapé du ghetto de Varsovie puis de la déportation, il fonda une famille, eut quatre enfants qui périrent avec leur mère dans un incendie de forêt. Il rebondit en refondant une famille et en continuant à témoigner de son inaltérable foi en la vie de trois autres livres. Dans ce CD, il livre, au cours d’entretiens avec Anne Brownstone, sa profonde conviction que « la vie sans l’amour n’est rien ». Leur conversation est entrecoupée par la lecture d’extraits de son « livre de la vie » et des plages de la musique méditative. L’écoute de Martin Gray devrait réconforter ceux qui souffrent de la solitude ou qui s’inquiètent de l’avenir. Elle donne un coup de fouet à ceux qui s’interrogent sur le sen de la vie. Elle est tonique et bienfaisante.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « Une merveilleuse réédition » par Rock and Roll Revue
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    En même temps que voyait le jour notre dernier numéro 45, qui comportait mon article sur Sister Rosetta Tharpe, apparaissait sur le marché cette merveilleuse réédition, souhaitée, de la période de retour chez Decca (1954) de la chanteuse/guitariste, où l’orientation musicale se tournait résolument vers le circuit R&B, cette fois orienté vers le circuit rock’n roll des teenagers, mais également son prolongement chez Mercury en 1956 avec ces deux fameuses séances Doc Bagby. On découvrira dans ce volume 5, en 53 : le contagieux « Shadrack » en duo avec Marie Knight, puis deux titres avec l’orchestre swinguant de Leroy Kirkland ; en 1954 : avec le Sammy Price Trio, la Sister épaulée par le guitariste Everett Barksdale (présent sur les séances ultérieures), puis un plaisant « This Old House » (morceau repris par le Brian Setzer Orchestra – album « Dirty Boogie ») avec les Sy Oliver Singers ; en 1956 : ça balance toujours avec « I’ve Done Wrong », le trépidant « Can’t Do Wrong And Get B [...]

  • « Étonnante modernité » par L’Enseignant
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Il faut redécouvrir ce roman épistolaire de 1782 écrit par Choderlos de Laclos. Ni condamnation, ni éloge du mal mais constat qui reste d’une étonnante modernité. Didier Sandre (le vicomte de Valmont), Ludmilla Mikael (la marquise de Merteuil) et les autres comédiens qui lisent ces 175 lettres sont à la hauteur du texte.L’ENSEIGNANT

  • « L’éclat de Tharpe » par Jazz Magazine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Pas aussi dense que le précédent volume de cette intégrale, ce tome 5 ne manque ni d’allégresse bien dispensée, ni d’expériences nouvelles. La chanteuse-guitariste y achève en 1956 sa longue association avec Decca au profit de Mercury et va au devant d’un public plus large que celui du gospel, entre jazz et variété, un peu comme Mahalia Jackson en entrant chez Colombia. Mais on l’entend d’abord dans une série de formules – en duo, en petites formations, avec un choeur ou des groupes vocaux – qui la font aller et venir entre le religieux et le profane. Depuis ses débuts, Rosetta n’avait jamais reculé devant le pur spectacle et y excellait avec une ferveur qui ne lui valut pas que des compliments de son Eglise. Le contralto maîtrisé de sa grande partenaire Marie Knight, « Sanctified shouter », complète idéalement l’éclat de Tharpe et sa guitare de blueswoman. On aime aussi la retrouver auprès du pianiste Sam Price ou des Harmonizing Four – avec lesquels la chanteuse fait ses dernier [...]

  • « Exigence de qualité » par Centre Presse
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Malgré les efforts de deux générations de nouveaux éditeurs (Montalbetti chez Auvidis, puis l’équipe de chez Frémeaux & Associés), les collections de livres sonores sont rarement comparables à celles de l’édition littéraire « papier »…Trop souvent, par souci d’économie et pour toucher un grand public fantôme, on coupe les textes, on les adapte avec niaiserie…Un bon livre devient alors un mauvais feuilleton radiophonique. Ou alors, on exploite des comédiens populaires sans affinités avec les écrivains qu’ils lisent. Heureusement, la présente publication des « Liaisons dangereuses » est d’une telle exigence de qualité qu’elle fera désormais référence : non seulement l’essentiel du texte est respecté, mais le choix des comédiens est digne d’un vrai théâtre d’art…Qui, depuis Antoine Vitez, a pu réunir une telle affiche au service d’un grand texte ? Didier Sandre & Ludmilla Mickael aux charmes intelligents, rejoints par l’excellente Agnès Sourdillon…oui, quel théâtre saurait les réunir [...]

  • « Servi sur galette » par Le Magazine Littéraire
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Si ce discours semble trop long pour être lu en une fois… » Descartes l’a divisé en six parties, et le tout est servi sur galette par Jacques Bonaffé qui réalise l’exploit de donner à l’œuvre un rythme.. philosophique.LE MAGAZINE LITTERAIRE

  • « La pensée de Descartes » par Écouter Voir
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Lu par Jacques Bonaffé, le texte intégral du Discours de la Méthode prend tout son sens et impose, une fois de plus, l’importance de son propos sur la philosophie, les mathématiques et la physique. Le fameux esprit hypothético-déductif qui caractérise la pensée occidentale vient tout entier de cet enseignement. Si Descartes ne l’a pas inventé, il l’a du moins fixé dans la langue moderne et dans une forme qui aura survécu aux siècles. Pour la première fois, voici une interprétation de ce texte fondateur. Jacques Bonaffé dispose d’une voix, et choisit d’effectuer une lecture qui rendent prégnante la pensée de Descartes : mécaniste et systématique. N’hésitez pas à vous munir de l’ouvrage pour suivre le fil de ce coffret de 3 CD.ÉCOUTER VOIR

<< 1 ... 395 396 397 398 399 >>