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  • « La totale » par World
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    C’est la totale. Cette compilation nous fait croire qu’elle embrasse toute la musique cubaine contemporaine, de 1923 à 1995. Cela s’appelle Cuba et ça parle aussi de musiciens d’origine portoricaine (Tito Puente, Johnny et Tito Rodriguez, Noro Morales, Joe Loco). Cela débute en 1923 et ça parle essentiellement des années 40-50. Cela s’achève en 1995 et il n’y a que deux chansons datant de ces années sur une quarantaine de morceaux réunis en ces deux CD. C’est prétentieux alors que l’on a besoin, en période de gavage cubain, d’outils pédagogiques précis et clairs pour mieux connaître, discerner les riches musiques de la plus grande île des Caraïbes confisquée par Castro depuis quarante ans. Malgré tout ça, le plaisir est sauf quand on écoute (encore une fois) le « Barbare du rythme », Benny Moré avec l’orchestre d’un autre mythe Pérez Prado ; « l’Aveugle merveilleux » Arsenio rodriguez, Machito et ses Afro-Cubans, ou l’historique Sonora Matancera.B.D. - WORLD

  • « Expression de force et de joie » par Latina
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    La maison Frémeaux & Associés (catalogue gratuit sur demande au 20, rue Robert Giraudineau 94300 Vincennes) continue à consolider les racines patrimoniales de la planète en confiant à Isabelle Leymarie, spécialiste incontestée de ce domaine foisonnant, un panorama sonore cubain qui couvre pratiquement les trois-quarts de notre siècle. Les premiers témoignages enregistrés (1923) concernent des formes déjà très raffinées qui avaient la faveur de lieux publics élégants, reste sous-entendu tout un mode d’émotions et de tâtonnements émouvants, dont nous n’avons presque plus de traces, celui partagé par un prolétariat rural sauvagement exploité. Ces traces sont encore tangibles dans certaines fêtes locales et des défilés de carnaval. Faut-il rappeler que la magie du rythme cubain est l’héritage de l’infâme trafic des esclaves noirs ? Isabelle Leymarie dans son ouvrage « Du Tango au Reggae » (Flammarion, 1996), note : « Très tôt, les noirs brillèrent par leur talent musical et constituèr [...]

  • « Le rayonnement de la musique » par Républicain Lorrain
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    Cuba est en passe de devenir la destination touristique par excellence. Un choix justifié par la beauté des paysages, l’histoire, l’architecture, le climat, la personnalité des cubains et le rayonnement de la musique. Il existe peu de pays au monde où la musique est aussi présente et exubérante. Dans cette île, elle a toujours précédé arts plastiques et littérature. C’est vrai que durant 400 ans, des millions d’esclaves venus d’Afrique ont influencé les rythmes cubains, marqués des cadences de type espagnol. Tango, congo, clave, boléro, son, danzon, guajira, mambo, cha cha cha etc. personnalise les différents genres. Des variétés que l’on peut découvrir dans un double CD d’anthologie, paru chez Frémeaux & Associés et baptisé Cuba 1923-1995.RÉPUBLICAIN LORRAIN

  • « Étonnante richesse musicale » par Paris/México
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    Quelle île symbolise mieux la musique que Cuba ? Frémeaux vient de livrer une anthologie, Cuba 1923-1995, large éventail de ce que l’île a pu créer comme musiques et musiciens, qui commence par Ignacio Eusebio et finit sur Chucho Valdés, en passant par Miguel Matamoros et le Duo Los Compadres (Lorenzo Hierrezuelo et Compay Segundo). On peut s’étonner de ne pas trouver certains personnages, mais qu’importe, il faut faire des choix et ce double CD a l’avantage de surprendre et de donner envie de continuer à découvrir cette étonnante richesse musicale qu’est Cuba.PARIS/MÉXICO

  • « Abundantes textos y datos » par El Pais de las Tentaciones
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    Las discográficas francesas están entrando fuerte en el tesoro cubano y este doble panorámico, realizado con ayuda del sello barcelonés Tumbao, tiene el encanto de juntar temas eternos – Ay mama Inés, El manisero, Quizás quizás quizás – con decenas de piezas menos obvias interpretadas por agrupaciones no del todo legendarias. Como es habitual en los productos Frémeaux, hay abundantes textos y datos. Lástima que hayan intentado llegar hasta el presente : los 40 años   del castrismo sólo se representan con tres grabaciones (Bola de nieve, Frank Emilio, Chucho Valdés). Más que un error, un insulto.Diego A. MANRIQUE – EL PAIS DE LAS TENTACIONES

  • « Rétrospective officielle » par Cassandre
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    Contre les éphémérides de la mode et autres publicités médiatiques, une seule solution : les ressources de l’érudition lumineuse. C’est l’exercice auquel se livre le label Frémeaux & Associés qui vient de sortir une Rétrospective officielle des musiques cubaines, résultat de dix années d’enregistrement du Centre de la recherche et du développement de la musique Cubaine. A l’exception des chansons Afro-cubaines, tous les styles (Rumba, Son, Guaracha, Punto Cubaine, Danzon, Musique Traditionnelle) sont présentés dans leur évolution et leur authenticité sur quatre CD accompagnés d’un livret substantiel et explicatif. A noter la sortie, toujours chez Frémeaux & Associés, d’un coffret (deux CD) des Negro Spirituals : La tradition de concert.Nicolas BERSIHAND - CASSANDRE

  • « Des sentiments d’amour » par Diapason
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    La totalité de ce que Billie Holiday a confié à la cire est connu. Si votre choix s’est fixé sur la sélection éclairée plutôt que sur l’intégrale, ce double volume vous comblera, même s’il faut y ajouter une condition sine qua non : y joindre le double CD Billie Holiday/Lester Young, chez le même éditeur, et également composé par Alain Gerber, qui a pris la peine « de limiter ici au minimum les fruits de d’un des mariages esthétiques les plus réussis de la musique afro américaine ». Billie Holiday a suscité plus qu’aucune autre vocaliste de jazz des sentiments d’amour. Ses consoeurs ont fait naître l’admiration, le respect, l’envie ; elle éveille en nous la fêlure, le souvenir de la souffrance et des réveils désenchantés. Ses tendances à l’autodestruction sont connues. Pourtant, elle ne nous parlait que d’amour. Elle faisait des vœux candides (I Wished On The Moon, qui ouvre le premier disque), nous disait qu’elle s’en sortirait (I’ll Get By), avant de s’abandonner à l’amère résig [...]

  • « Coffret obligatoire » par Jazz Notes
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    Earl « Fatha » hines, 1905-1983, le père spirituel des pianistes, commence sa carrière avec J. Noone (cl) à l’Apex Club, puis accompagne Louis avec son Hot Five en 28. Il met au point le « Trumpet Style » afin de se faire entendre au milieu de l’orchestre : un style audacieux, préfigurant le piano moderne des années 40. En outre, il fut un chef d’orchestre remarqué. C’est donc un choix judicieux que celui d’Alain Gerber, maître en la matière et dont les textes de la pochette sont d’une saveur inégalable, avec, bien sûr, ces morceaux exemplaires : « Apex blues », « Weather Bird », « Monday Date », « Rosetta », « Blues In Thirds », « Boogie On The St Louis Blues ». Encore un coffret obligatoire.JAZZ NOTES

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