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  • « Il n’y a rien à jeter ! » par JAZZMAN
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    Tout le monde connaît le fameux trio sans batterie qui émergea au début des années 40, à l’époque où les grands orchestres tenaient le haut du pavé. Encore très influencé par Earl Hines, Nat King Cole y étalait une technique aussi époustouflante que celle de ses acolytes. Rapidement, cette influence s’estompa pour laisser place à des audaces harmoniques qui ne manquèrent pas d’intéresser les futurs boppers et toute une génération de pianistes tels Erroll Garner, Oscar Peterson, Ahmad Jamal. Hormis ses qualités pianistiques indéniables, Nat King Cole fut aussi un chanteur original capable d’interpréter les ballades de façon très personnelle. Ce sont tous les aspects de la personnalité musicale de l’artiste qui sont passés en revue dans le coffret « The Quintessence » très précisément analysés, remis en situation, expliqués par une passion que n’arrive pas à masquer Alain Gerber, responsable de la sélection et du livret d’accompagnement. Dix-huit faces présentent Cole chanteur au se [...]

  • « Blues du Mississipi a coloration jazz » par Jukebox
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    Né à Canton, Mississipi, le 18 Octobre 1906. Johnnie Temple bénéficie involontairement de la disparition de son père. Sa mère se remarie avec Lucien Slim Duckett, un pasteur qui soutient ses sermons à l’aide d’une guitare. Il apprend la guitare et la Bible au jeune Johnnie. Duckett a des contacts avec les musiciens de Jacksonville où Johnnie et sa mère se sont installés. Ce qui permet au guitariste en herbe d’apprécier le légendaire Charlie Patton, chanteur guitariste au jeu inventif. Johnnie se lie avec Tommy Johnson (chant, guitare, auteur de « Canned Heat blues », « Big Road Blues ») et les frères Charlie et Joe McCoy, musiciens professionnels, qui l’influencent. Au début des années 30, il partage une chambre avec Skip James (chant, guitare, piano) venu tenter sa chance à Jacksonville. Le style de Johnnie résulte de ces rencontres et, après avoir épousé Memphis Minnie, il suit les frères McCoy à Chicago. La scène de la capitale de l’Illinois est très fermée et Johnny Temple jou [...]

  • « Une musicienne avertie » par Jazz Notes
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    Monsieur Alain gerber compile en 36 morceaux la quintessence des plages de la Divine de 1944 à 1948. Que dire ? Que celle dont la sensualité était des plus apparente fut une musicienne avertie, possédant une voix admirable, dont la tessiture était des plus étendues, avec une technique vocale remarquable. Redécouvrez-la à travers ses magnifiques interprétations. Qui plus est, le livret est des plus intéressants et possède de nombreuses anecdotes pleines de saveurs, où elle va conquérir le monde, entourée de musiciens prestigieux, comme Parker, Gillespie.JAZZ NOTES

  • « Parfait en tous points » par Écouter Voir
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    Pour donner (à ceux qui auraient l’ombre d’un soupçon d’hésitation) l’envie d’acheter cet album, on pourrait reproduire intégralement le livret de présentation d’Alain Gerber, parfait en tous points et d’une rare pénétration d’analyse. Mais il paraît qu’on a pas la place…Soyons donc bref : ces 36 faces indispensables documentent excellemment les débuts et l’accession à la notoriété de The Divine, depuis les séances Continental de 1944 avec Gillespie et Leonard feather jusqu’aux gravures Musicraft de la fin de 1947. Plages 12 à 16 du 2e disque, cinq enregistrements privés mais vraiment crépitants. A noter aussi, The Lord’s Prayer où la vocaliste se rapproche, à travers le gospel, du chant le plus classique, et, déjà, deux titres distillés sur des tapis mœlleux de cordes, annonçant la Sassy chanteuse de variétés grand style des années ultérieures. Discothèque de base.Yves ALIX – ÉCOUTER VOIR

  • « Toute la richesse expressive » par Écouter Voir
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    Alain Gerber a réuni dans ces deux CD trente-six titres échelonnés de 1942 à 1947. Pour ceux qui ne connaîtraient ni Parker ni le be bop, cette anthologie bien conçue et présentée avec passion sera un excellent sésame : on y voit avec la plus grande clarté naître et se développer un style dont, ainsi que l’écrit André Hodeir, toute la richesse expressive n’a sans doute pas été explorée. Discothèque de base.Yves ALIX – ÉCOUTER VOIR

  • « Des perles inestimables » par Jazzman
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    On ne peut pas vous le cacher. Cette intégrale que nous attendions depuis longtemps a de la peine à prendre son envol. En 1935, Django est encore recherché comme guitariste de variété. Aussi les séances jazz sont-elles entrecoupées de séances d’accompagnement pour des chanteurs d’un inégal intérêt. Daniel Nevers multiplie les digressions au fil d’un livret confus dont on n’est cependant pas prêt d’épuiser les ressources. Et lorsqu’il nous apprend qu’un collectionneur lui a refusé trois pièces (deux alternate de Chinatown et un Bright Eyes pour une séance de balance) pour se la jouer perso dans une autre édition, on devient jaloux de ce que l’on possède. Des perles inestimables que Grapelli et Reinhardt parviennent à placer derrière les très ringards Nitta Rette, André Pasdoc, Jean Tranchant ou Yvonne Louis aux faces de Jean Sablon en parfaite symbiose avec ses accompagnateurs. Reste dix-sept titres du plus pur jazz interprétés par le Quintette (un St Louis Blues surréaliste et un [...]

  • « Un lyrisme communicatif » par Percussions
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    Alain Gerber qui dirige cette collection et assume la rédaction des livrets a de bonnes lectures (Réda, Hodeir, Malson), de très bonnes oreilles (le choix de ces trente-six pièces d’anthologie), et, surtout, un style où savoir et verve s’unissent dans un lyrisme communicatif. Sont mémorisés ici (entre autres), les débuts de Lionel Hampton au vibraphone et l’un des premiers enregistrements de Dizzie Gillespie ; mais c’est vraiment la quintessence. Ne ratez pas ce double cédé ! P+++- SG - PERCUSSIONS

  • « Exquisito buen gusto » par Cuadernos de Jazz
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    Este volumen de Frémeaux, uno m de la serie Quintessence, no hace honor a su título como otros anteriores dedicados a Armstrong, Holiday, Bechet, etc. La razón hay que buscarla en que los derechos de autor que prescriben a los 50 años dejan fuera, de momento, lo mejor de la producción de este pianista. De cualquier manera no me cabe duda, después de la escucha, de que se trata de grabaciones quintaesenciales de Garner durante los años que van de 1944 hasta 1947. Como solista absoluto, a la cabeza de su trío, o como sideman acompañando a don Byas, Wardell Gray o Charlie Parker, Garner muestra todas las virtudes que poco años después, durante los cincuenta, le convertirán en el favorito tanto de los aficionados exigentes como del gran público. Este virtuoso que, dicen, no leía múica, cimentó durante los años en que transcurren estas grabaciones un estilo propio que acabaría creando escuela (Jimmy Rowles sería uno de sus más aventajados discípulos) basado en un dominio armónoco realm [...]

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