<< 1 ... 447 448 449 450 451 >>
  • « Des plages immortelles » par Jazz notes
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    The Quintessence de Monsieur Dizzy Gillespie dans sa période de 1940 à 1947, soit 36 plages choisies par Alain Gerber, passé maître dans l’art de la sélection et dont le livret est une fois de plus des plus réussis. Initiateur avec Charlie Parker de la révolution Bop, plusieurs plages avec ce dernier d’ailleurs, mais aussi Lionel Hampton, Red Norvo, Slim Gaillard, puis en petites et grandes formations dont le fameux grand orchestre qui, à l’époque, fit tressauter la planète sur le plan musical. Un panorama complet de ce légendaire trompettiste d’une grande originalité, amuseur, mais aussi visionnaire et déterminé pour évoluer dans la modernité sans renier ses racines. Des plages immortelles, et qu’il ne faut en aucun cas ignorer. Grand.JAZZ NOTES

  • « Un blues très romantique » par Blah Blah News
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Quand on cherche Smith dans une anthologie de blues, on trouve pas mal de Smith. Mais c’est Bessie Smith qui est de loin la plus importante. Elle a droit au plus grand nombre de signes. Elle vit le jour au siècle dernier, dans la charmante ville de Chattanooga, Tennessee, traversée par la rivière du même nom sur laquelle navigua David Crokett. On peut sans peine imaginer cette bourgade il y a cent ans, comment le blues y fit son chemin, et quels furent les débuts de Bessie Smith, grande chanteuse de Blues devant l’Éternel. Elle commença à un coin de rue avant d’être remarquée et embarquée dans une tournée de blacks comme danseuse. La vedette en était Ma Rainey. Cette dernière remarqua que la jeune Bessie avait du coffre et l’encouragea à travailler son chant. La vieille Ma Rainey sentait venir la relève. Bessie Smith a été des débuts de l’aventure discographique dans les années vingt. Elle a eu comme musicien d’accompagnement un certain Louis Armstrong. Venant du Sud, elle a été o [...]

  • « The Quintessence, 1932-1943 » par Répertoire
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Une sélection arbitraire mais inattaquable. Vraiment un « best of Bechet ».RÉPERTOIRE

  • « Monument discographique » par Guitarist Magazine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Pour la première fois au monde, il y a un an, sortait dans la collection Masters of Jazz de Média 7 l’édition en huit volumes de l’œuvre complète de Charlie Christian, par ordre chronologique, avec historique et commentaires qui font de ce coffret un petit monument discographique, une référence. Ceux qui ne se sont pas procuré ledit coffret, trouveront avantage à acquérir le double CD The Quintessence qui, comme son nom l’indique, est une sorte de Best Of, comme on dit en français, des enregistrements de Charlie Christian. Il couvre la période de 1939-1941 du génial guitariste, le plus souvent au sein de l’orchestre du clarinettiste Benny Goodman, c’est à dire quasiment tout son parcours musical. En plus de ce double CD indispensable, un livret riche en informations avec un très joli texte d’Alain Gerber (directeur de la collection), qui écrit « Toute une école, depuis près d’un demi-siècle, cherche des idées dans ses trouvailles… ».Franck MÉDIONI - GUITARIST MAGAZINE

  • « Personne ne peut l’égaler » par Keyboards
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Dirigée par Alain Gerber, la collection « The Quintessence » de Frémeaux & Associés permet une excellente initiation à l’œuvre d’un musicien. Quitte à aller approfondir par la suite, sa sélection donne les bonnes clefs pour y accéder dans les meilleures conditions possibles. C’est pourquoi celui qui n’a jamais entendu une seule note de piano d’Art Tatum devrait y trouver son miel. Ce double CD couvre la période 193-1945 du plus extra-terrestre de tous les pianistes de jazz. Si je devais choisir la figure de tête du piano, je citerais bien sûr Art Tatum avant qui que ce soit. Personne ne peut l’égaler. Il a fait tout ce qu’on peut faire sur un piano, dit Herbie Hancock.Franck MÉDIONI - KEYBOARDS

  • « Aussi convaincant qu’élégant » par Jazzman
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Mesdames et messieurs, ce soir Dieu est descendu parmi nous ». Ainsi, dit-on, Fats Waller présenta Art Tatum venu en voisin. Une déification avalisée au fil des ans par la majorité des jazzmen et la quasi-totalité des pianistes, toutes catégories confondues. De Fletcher Henderson à Corea, en passant par Bud Powell, Erroll Garner , McCoy Tyner, Basie, Hancock et, dit-on – on ne prête qu’aux riches – Gershwin, Rachmaniov, Paderewski et Horowitz. Inclassable, étranger aux schémas et catégories habituels du jazz, Tatum fut une idole paradoxale. Son influence fut immense mais il n’infléchit en rien le cours de la musique afro-américaine et n’engendra pas la moindre école pianistique tellement son univers musical était indissociable de cette « superlative » technique qu’il sembla posséder d’emblée. A l’inverse de ses pairs, Tatum n’eut pas le souci de l’étendre mais bien de la canaliser au nom de la logique du discours. Ni vraiment compositeur – les thèmes qu’il signa, Gang O’Notes, J [...]

  • « Son apogée » par Jazz Notes
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Voilà bien le coffret nécessaire à tout amateur qui veut découvrir le premier grand saxophoniste ténor de l’histoire du jazz. Les enregistrements proposés le font apparaître dans sa période où il atteint son apogée, et aussi son attitude devant la révolution Bop. 36 plages qui vous feront découvrir ses principaux chefs d’œuvre, dont le fameux Body & Soul. Excellent livret du maître en la matière, Monsieur Alain Gerber, et anecdotes des plus délectables. Majeure.JAZZ NOTES

  • « L’intelligence et la sensibilité » par La Tribune
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Il était grave en notes – au piano – et généreux dans ses orchestrations, « Count » Basie. Ou, comme le dit Alain gerber, Count « économise tout, sauf l’imagination, l’intelligence et la sensibilité ». Sa plus belle période, c’était la fin des années 30 et le début des années 40. Au pupitre des anges, se côtoyaient Lester Young, Hershell Evans, Chu Berry. Aux trompettes Buck Clayton, Harry Edison. Et la rythmique comprenait Freddy Green à la guitare et Jo Jones à la batterie. Tout ce joli monde carburait, donnait de la voix, swinguait pour tout dire. Et sans longueurs, contrainte technique du 78 tours oblige : aucun morceau ne dépasse les 3 minutes 30. Un double albums de chefs d’œuvre avec notamment l’indicatif maison, « Jumpin’at the woodside ».Jean-Louis LEMARCHAND – LA TRIBUNE

<< 1 ... 447 448 449 450 451 >>