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  • « L’éclectisme des styles » par Presto
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    « En France, le blues a trois temps et s’appelle musette ». Cette citation de Boris Vian figure en exergue de ce second enregistrement des Primitifs du Futur (le précédent, World Musette, parut chez Sketch). Le noyau de cet aréopage à géométrie variable est constitué par Dominique Cravis (chanteur, guitariste et principal compositeur), Didier Roussin (dernier guitariste de Jo Privat), Daniel Huck (polysaxophoniste et chanteur)), Jean-Michel Davis (batteur et xylophoniste) et Robert Crumb (pape de la BD underground et par ailleurs joueur émérite de banjo et d’ukulélé) ; L’accorte accordéoniste Florence Dionneau complète le tableau, mais une demi douzaine d’olibrius du même acabit gravitent encore autour de ce kiosque à musique, couvrant un répertoire où se mêlent musette, ragtime, biguine, jazz tsigane et blues. Aristide Bruant et Boris Vian semblent avoir bercé la muse de nos amis, puisque par delà l’éclectisme des styles abordés, ils se fendent de croustillantes saynètes telles q [...]

  • « Originality and charm » par Dirty Linen
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    For the first half of the 20th century the accordion-based music known as bal-musette was more or less the musical soundscape of Paris. The style, which was created by Emile Vacher, eventually became a Parisian cliché, but it has undergone a bit of a revival in recent years. In 1990, a group decided to pay tribute to the great Gypsy waltzes, and Paris Musette, the resulting album, won prestigious prizes in France. The 23 tracks feature such French masters of the accordion as Marcel Piazzola, Marc Perrone, Jo Privat, and Richard Galliano, sometimes playing in tandem and always backed by the rhythmic guitar of Didi Duprat, the last of the great exponents of the musette guitar. Interspersed between the waltzes are a few tangos, a mazurkas, and three tracks with vocals. Although musette was originally derived from from the cabrette music of the Auvergne Region, this approach to the form shows an urbane sophistication which can proudly stand nexte to other musical genres from [...]

  • « Joliment troussé » par La Croix
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    Pas de doute, Stan Laferrière est un arrangeur doué. Les pièces composées pour ce « Tentet » sonnent bien. Les parties de cuivre, notamment, sont fluides à souhait. On pense aux grands orchestres classiques, celui d’Ellington évidemment, ou à de somptueuses machines plus récentes comme le big band de Thad Jones et Mel Lewis. Stan Laferrière aime aussi s’amuser. Son Blues de Ravel qui ouvre l’album est joliment troussé. Et sa version de Love Me tender d’Elvis Presly est empreinte d’une douce nostalgie qui faisait défaut à l’original. En revanche, certains morceaux traînent un peu en longueur. Et peut-être Stan Laferrière aurait-il dû se faire remplacer au chant, notamment sur un Fever un peu faiblard. Mention spéciale à une coloriste de talent, Morgane (6ans), auteur des beaux dessins de la pochette.Yann MENS – LA CROIX

  • « Soirée chic et chaude » par Jazz Notes
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    Le digne représentant des grands orchestres français, Claude Bolling, comprenant 16 musiciens plus celui que l’on considère comme l’élégant crooner, lui aussi français, Guy Marchand enregistrent au Petit Journal Montparnasse. Une soirée chic et chaude devant un public conquis d’avance. Certes les puristes vont rigoler, mais cela vaut bien les concerts d’invertébrés néo free où les gens applaudissent en se tirant en douce à l’entracte. Heureusement qu’il nous reste des ensembles de ce genre pour continuer la tradition du jazz éternel, en plus Marchand avec sa décontraction et sa chaleur est loin d’être ridicule.JAZZ NOTES

  • « Un disque d’amis » par Jazz Notes
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    Stan, qui a désormais 40 ans, se remémore les années 1980, celle des Supertramp, Bee Gees, Eagles et autres, les tubes de sa jeunesse…Il les transpose à sa façon jazz en compagnie de Pierre Maingourd (cb), Laurent Bataille (dr) et en invités : Emmanuel Bex (org), Michel Perez (g), Marc Berthoumieux (accord). Une façon astucieuse de renouveler ces thèmes en laissant se développer les retrouvailles ou chacun adapte son tempérament et ses connaissances. Un retour à sa jeunesse en y mêlant l’évolution. Un disque d’amis, heureux de se retrouver et d’interpréter ces différentes plages des plus charmantes.JAZZ NOTES

  • « Une profonde inventivité » par Le Monde
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    Chanteur, bassiste, compositeur, ancien membre fondateur du groupe Henry Cow, puis membre de National Health et de Soft Heap – soit quelques-unes des formations les plus influentes des rencontres de l’improvisation jazz et du rock des années 1970 et 1980 -, compagnon régulier du guitariste et parolier Peter Blegvad, John Greaves est un artiste intègre, d’une profonde inventivité, à mi-chemin de plusieurs mondes musicaux (le cabaret, le rock, le jazz, la poésie chantée…). Sa voix est l’une des plus singulières que la Grande Bretagne ait amenée au monde. Avec Greaves à la basse et aux claviers, le guitariste Patrice Meyer et le batteur Manuel Denizet. Précieux, comme ses deux précédents enregistrements, The Caretaker et On the Street where you live (Blueprint/Mélodie).LE MONDE

  • « The charm is in the details » par Dirty Linen
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    Greaves has occasionally found himself in the shadow  of legends, having played with Fred Frith in the influential avant-garde jazz-rock band Henry Cow and later with Michael Mantler and Carla Bley. He also collaborated with Peter Blegvad, who wrote the lyrics to two of this album’s songs. La petite bouteille de linge (The Small Bottle of Linen), the reissue of an album recorded and released 10 years ago, is well-nigh unclassifiable in terms of musical genres. Avant-pop will probably do as well as anything. Some songs have cryptic lyrics while others are very melodic. The charm is in the details, such as in  Sophia Domancich’s quirky piano playing, the haunting melancholia of « Rose C’est la Vie » (a French song that is featured in two very different versions), and the brass band on « Le Garon Vert ».PEC – DIRTY LINEN

  • « Juste du plaisir » par Écouter Voir
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    Enfin du plaisir ! Ce disque inclassable qui dérive, sans limites, du rock british, à la bluette canadienne en passant par le folk irlandais et le fanfare délivre avant tout un sentiment de gaieté vraie. Une multitude d’invités prestigieux sont entraînés, et entraînent, Greaves dans un tourbillon d’expressions réussies. Pas d’étiquette, définitivement. Juste du plaisir.Lucas FALCHERO – ÉCOUTER VOIR

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