<< 1 ... 46 47 48 49 50 >>
  • « Une tonicité et un entrain communicatifs » par Classica
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Le Klezmer rituel, musique instrumentale populaire des juifs ashkénazes, ne pouvaient échapper à l’influence du jazz (voire du reggae avec Du Shaynts Vi Di Zin), même si la tradition y vibre encore de belles couleurs. Alexandre Litwak et son Klez’N’Zazou interprètent ainsi quatorze chansons avec une tonicité et un entrain communicatifs, mêlant comme il est de rigueur dans le genre, la joie la plus terrestre à la nostalgie la plus poignante (Mashav), parfois au sein d’un même morceau (Yid Un Goy Fantasy). Soigneusement arrangé, le répertoire à l’interprétation essentiellement collective réserve de beaux moments où chante la mémoire et se lèvent les fantômes d’un peuple musicien dans l’âme. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « En mission dans les Aurès » par Enseignement catholique Actualités
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    À la fin de sa vie, l’ethnologue Germaine Tillion (1907-2008) a voulu revenir sur se premières années de recherches. En 1934, Marcel Mauss, professeur à l’EPHE, lui avait proposé de partir en voyage d’études en Algérie dans la région montagneuse des Aurès. Résistante déportée en 1943 à Ravensbrück, elle avait perdu toutes ses notes de travail. C’est cette expérience de jeunesse qu’elle décrit avec une précision toute scientifique mais aussi avec beaucoup d’humour dans le CD "Il était une fois l’ethnographie". À ce moment-là, la guerre d’Algérie était encore loin. Trente ans plus tard, fidèle aux villageois des Aurès auxquels elles s’est attachée, elle s’engagera pour tenter de tisser « une robe d’amitié » entre la France et l’Algérie. Mireille BROUSSOUS – ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE ACTUALITÉS

  • « Le charmeur de l’orgue à bouche » par Pascal Anquetil
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Assis sur son tabouret, ramassé sur lui-même, de grosses lunettes, une petite moustache et la crinière blanches, les mains tenant l’harmonica et les pieds marquant la cadence dans le vide, Toots, entre deux respirations, laisse échapper un petit rire de plaisir et aligne, heureux comme un jeune homme amoureux, les improvisations comme d’autres les rêveries. Avec l’élégance du poète et ce soupçon de nonchalance qui fait toute la différence. Entre larme et sourire, la  souplesse ondoyante de son jeu, la fièvre lyrique qu’elle communique, sans jamais tomber dans le piège de la joliesse ou de la nostalgie attendrie, forcent l’écoute et envoûtent. Dès qu’il joue, il n’a qu’un seul propos : chanter le plus naturellement du monde avec le plus ingrat et enfantin des instruments. Il y parvient à chaque fois qu’il embouche son harmonica, prenant le dessus sur les autres musiciens qui semblent s’effacer devant sa prise de parole aussi bouleversante qu’essentielle.Sa vie est un vrai conte de [...]

  • « Les perles sont nombreuses » par Soul Bag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Mai 1962 : sept mois après ses débuts parisiens (documentés par Frémeaux sur « The Complete 1961 Paris Recordings »), Ray Charles est de retour, cette fois-ci pour plusieurs soirées à l’Olympia. L’orchestre et les Raelets sont inchangés, mais Ray, qui avait choisi l’orgue en octobre 1961, est de retour au piano, et le répertoire proposé fait une place importante à des titres récents, parus en single ou sur l’album « Modern Sounds In Country & Western Music ». Le présent coffret ne reprend pas l’intégrale des concerts, mais une sélection de titres empruntés à six différents récitals, arrangés de façon à reproduire le format des concerts de l’époque, à savoir une série de titres instrumentaux, puis de morceaux chantés, avec l’arrivée en cours de route des Raelets et le final rituel du « What’d I say ». Une partie du programme présenté ici est déjà parue il y a quelques années chez Frémeaux (sous la référence FA 5466) dans la collection « Live in Paris », mais la présente édition y a [...]

  • « Les grands classiques de Ray Charles » par Couleurs Jazz
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « La richesse de l’œuvre de Ray Charles est illustrée de façon satisfaisante par ses faces produites en studio. Cependant, il est bien utile pour en saisir toute l’ampleur de disposer aussi des enregistrements réalisés lors de concerts car le genius, en perpétuel renouvellement, testait souvent à ces occasions de nouvelles orientations musicales. C’est la voie empruntée par les éditions Frémeaux & Associés avec les coffrets « Live At Newport, 1960 » (FA 5643), « Ray Charles à Antibes, 1961″ (FA 5738) et « The Complete 1961 Paris Recordings, Palais des Sports » (FA 5748), tous concoctés de main de maître par l’éminent spécialiste Joël Dufour. Avec le même aux commandes, voici les trois CD de « Live At The Olympia 1962 » (FA 5811) qui reprennent une sélection de titres enregistrés lors des dix prestations de Ray et de son orchestre à l’Olympia de Paris.On trouve au répertoire les grands classiques de Ray Charles (What’d I Say, The Right Time) accueillis par les applaudissements nour [...]

  • « 224 minutes de swing et de félicité céleste » par Paris Move
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Décidément, chaque année vers la même période, le spécialiste français du Genius, Joël Dufour, semble tenir à nous gratifier de time-capsules plus roboratives les unes que les autres. Alternant blues depuis le fond du trou (“Danger Zone”, “Careless Love” ou l’inédit – et manifestement improvisé “on the spot” “Untitled Blues”), jazz échevelé à la frontière du swing et du bop (“Marie”, “Alexander’s Ragtime Band”) où étincellent les cuivres de son rutilant big band (avec pour solistes tueurs Hank Crawford et David ‘Fathead’ Newman), hits encore tout frais (“Hallelujah I Love her So”, “Unchain My Heart”, “Hit The Road, Jack”) et réminiscences gospel à tomber à genoux (“Georgia On My Mind”, “I Believe To My Soul”, “Drown In My Own Tears”), ce coffret triple CD déploie en 60 plages un panégyrique des dix récitals que Ray Charles offrit à la réputée plus belle ville du monde, du 17 au 25 mai 1962, tout en annonçant l’un de ses crossovers ultimes (l’alors imminent LP “Modern Sounds In C [...]

  • « Un événement, une évidence » par Jazz Magazine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Avec plus de trois heures de musique, vingt plages inédites et sept bonus, cette publication des moments forts des concerts que donna le chanteur à l’Olympia du 17 au 25 mai 1962 s’affirme, près de soixante ans plus tard, comme un événement. Alléluia ! [We love him so. NDR] D’abord un grand merci à Patrick Frémeaux d’ainsi raviver au fil de ses rééditions le souvenir fou et flou des ces instants magiques de jazz live. Après le Concert Band de Mulligan, voici le flamboyant florilège des premiers concerts olympiens que « Brother Ray » donna quelques mois après celui du Palais des sports en octobre 1961. A son écoute aujourd’hui, une évidence : jamais Ray Charles, propulsé par un formidable orchestre, aiguillonné par les Raelets menées par Magie Hendricks, n’aura autant mérité son surnom de « Genius » que lors de ces concerts, véritables cérémonies d’envoûtement collectif. Surtout en cette période, la plus prolifique de sa tumultueuse carrière. Impossible de ne pas se laisser emporte [...]

  • “Cannonball is in typically exuberant form” by the Los Angeles Jazz Scene
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    “Fremeaux & Associes (www.fremeaux.com), in addition to reissuing extensive series of classic studio jazz sessions, has unearthed a series of previously unreleased and very valuable live recordings of American greats performing in Paris. Recently they came out with two wonderful three-CD sets that are very well recorded and filled with rewarding music.(…) Cannonball Adderley 1960-61 is the best documentation that exists of Feldman with the group. The first three selections are from Nov. 25, 1960 while the other 19 pieces are the group’s Paris concert of Apr. 15, 1961. The music is essentially high-quality bebop with aspects of hard bop and soul jazz. Cannonball is in typically exuberant form (he always had such a joyful tone), Nat Adderley (whose playing would fade by the end of the decade) is heard near the peak of his powers, Feldman (who switches to vibes on three numbers) shows that he was a perfect fit for the band and the team of Jones (who plays cello on one number) and Hay [...]

<< 1 ... 46 47 48 49 50 >>