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  • « Classiques du genre » par La Montagne
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    « On peut discuter le tango, et nous le discutons, mais il renferme, comme tout ce qui est authentique, un secret ! », disait Borgès. Le tango, danse de salon après avoir gagné le vieux continent, est à l’origine une musique citadine venue des quartiers pauvres de Buenos Aires et Montevideo. Frémeaux & Associés a réuni en deux disques couvrant la première moitié du siècle qui vient  de s’achever, quelques-uns des classiques du genre par ces maîtres incontestés que sont Carlos Gardel, Edmundo Rivero, Osveldo Pugliese, Roberto Firpo, Astor Piazzolla et bien d’autres encore. Et si, là encore, les styles ont évolué, ces témoins du passé conservent toute leur pouvoir évocateur d’une mélancolie plus ancrée au cœur de l’homme, quelque soit l’époque à laquelle il appartient.LA MONTAGNE

  • « Danse de malfrats » par Centre Presse
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    Argentine…Buenos Aires…Patrie du tango. A l’origine, il y a un siècle, le tango était une danse de malfrats du port de Buenos Aires, qui se dansait entre hommes. Et puis les prostituées sont entrées dans le bal, accentuant encore davantage la sensualité provocante de cette danse qui fit scandale lors de son arrivée en Europe après la guerre de 14-18. Mais le snobisme aidant, le tango devint alors un art sophistiqué, grâce à ne musique de plus en plus raffinée, hautement mélancolique…D’Edmundo Rivero à Astor Piazzolla, en passant par Osvaldo Pugliese et la star du genre, Carlos Gardel, vous entendrez dans cette anthologie rare le meilleur des premiers tangos.Christophe DESHOULIERES – CENTRE PRESSE

  • « Une belle anthologie » par Phonoscopies
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    Dans l’excellent livret illustré de 24 page, Philippe Lesage nous fournit toutes explications utiles sur cette musique de danse, devenue genre musical, née vers 1870. Il nous renseigne également sur ces orchestres dont les noms ne sont connus que des spécialistes : Edmundo Rivero, Anibal Troilo, Osvaldo Pugliese, Roberto Firpo, Alfredo de Angelis. Une belle anthologie.PHONOSCOPIES

  • « La flamboyance » par Le Monde de la Musique
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    Nous avions déjà salué Ildo Patriarca d’un « choc ». C’était la première fois que nous entendions cet accordéoniste, et le mot « choc » n’était pas trop fort pour qualifier les effets de cette première rencontre. Ce second disque relativise la qualité du premier, parce qu’ici un vrai producteur a pris la chose en main. Points d’écarts vers la valse musette ou le jazz qui ne conviennent pas au vocabulaire de notre Argentin. Il se consacre à ce qui l’a bercé depuis qu’on lui offrit un accordéon et un phonographe à pavillon. Jusque là privé de musique dans la ferme familiale où il naquit dans les années 40, il découvre les grands orchestres de tango. En autodidacte, il essaye d’en reproduire non pas seulement les parties du bandonéon, mais toute l’orchestration grâce à une main gauche d’une formidable indépendance. Toute la flamboyance des compositions de Gardel (Volver), Troilo (Sur), Decaro (Flores Negras) ou Piazzolla (Vernoa Porteño) se trouve ainsi restituée sur l’accordéon à to [...]

  • « Disque solo pour virtuose imaginatif » par Trad Magazine
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    Ildo Patriarca est né en Argentine au début des années 1940. dès l’âge de 6 ans, il découvre l’accordéon et le tango. C’est en autodidacte qu’il apprendra l’instrument, développant un jeu à la main gauche riche et complet. Ce disque est le deuxième enregistrement disponible en France. C’est en soliste qu’il y interprète tangos, milongas et autres valses argentines. C’est grâce à ce jeu de main gauche qu’un disque solo pour virtuose imaginatif devient une superbe leçon d’accordéon. A noter la participation de Raul Barboza sur un titre (« La pugnalada »). Un superbe disque et une invitation à découvrir Ildo sur scène.Thierry LAPLAUD – TRAD MAGAZINE

  • « Remarquables ressources musicales » par Espaces Latinos
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    Cet accordéoniste est né à Cordoba en Argentine. Ni sa ville natale, ni son instrument ne le prédisposait à jouer du tango, mais plutôt ce que l’on nomme en Argentine, la musica folclorica. C’est-à-dire que l’on s’attendait à entendre des gatos, zambas et autres chacareras. Et pourtant non ! C’est bien du tango que l’on entend. Et du bon. Sur une quinzaine de standards qui vont de El Choclo en passant par Volver et Los Mreados, Ildo Patriarca nous montre ses remarquables ressources musicales démontrant ainsi qu’il a parfaitement intégré le genre et qu’il est un excellent musicien. Un très bel album qui doit figurer dans toute bonne anthologie de musique argentine.Michel PLISSON - ESPACES LATINOS

  • « Torrents harmoniques » par Lylo
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    Argentin. Il s’est baigné dans les torrents harmoniques des grands orchestres de tango (Carlos Gardel) et essore ici son jeu unique dans l’art du piano à bretelles latin (avec Raul Barboza).LYLO

  • « Délicieusement surannées » par Télérama
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    C’était l’époque où l’on ne parlait pas encore de world music, mais de « musique typique ». L’époque de la première vague Cubaine à Paris, juste après la Seconde Guerre Mondiale, dans des cabarets nommés le Big Ben, le Keur Samba, et aussi, déjà, La Coupole. Arrivé en France dans les années 20, le flûtiste, clarinettiste, saxophoniste, compositeur et directeur d’orchestre Filiberto Rico a d’abord joué dans des formations de jazz qui, entre un fox-trot et un charleston, glissaient parfois un son, un danzon ou une rumba. Dans son Rico’s Créole Band, les danses cubaines ne cessent de se cacher derrière le paravent « jazz » en s’associant à d’autres musiques « typiques » comme la samba brésilienne. Le chanteur cubain Oscar Lopez y officie aux côtés d’interprètes français, pour guincher sur des ambiances rétro-kitsch délicieusement surannées, enregistrées en 78 tours (flûtes guillerettes, swing cuivré, maracas endiablées). Ce double album s’arrête en 1951, avant les dérives baloche, en [...]

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