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  • « Un jazz plus suave » par Trad Magazine
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    Moune de  Rivel est la fille de Fernande de Rivel qui, au début des années 30, était pianiste dans l’orchestre du « Tagada Biguine », cabaret à Montparnasse du du clarinettiste Stellio, Moune, qui a commencé peu après sa carrière, est connue surtout, même si elle a constamment voyagé, comme une figure de « La canne à Sucre », dans le même quartier, de 1945, aux côtés de Pierrre Louiss, à 1996. L’enregistrement vaut par le charme des inflexions d’une voix imprégnée de chant Antillais, mais surtout rompue au style exotique des cabarets, phrasant avec sensualité le créole des paroles. Les chansons aussi sont intéressantes (comme « La grève barré moin » d’une autre célébrité antillaise féminine, Léona Gabriel). Beaucoup de charme. Depuis Stellio, le style a évolué, l’influence d’un jazz plus suave et lisse est sensible. Frémeaux a toujours le sens de l’hommage.Claude RIBOUILLAULT-TRAD MAGAZINE

  • « Le bonheur de Moune de Rivel » par Alizés
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    Á 82 ans, la grande dame de la chanson traditionnelle créole sort un nouvel album Joie et nostalgie créoles. Fidèle amie de l’Aumônerie, Moune a reçu Alizés en toute simplicité, dans son appartement de Montparnasse à Paris où elle vit depuis 60 ans. Elle raconte son bonheur de vivre et de chanter. « Je me suis toujours considérée comme une femme heureuse ». D’emblée, Moune de Rivel fait part de son optimisme et de sa joie de vivre. Un bonheur tout simple qui passe nécessairement par la musique créole. « J’adore la musique mais ma vraie passion, héritée de ma mère, c’est la musique créole ».Ce n’est pas un hasard su Joies et Nostalgies Créoles est dédié à sa mère. Fernande de Virel, auteur compositeur interprète, premier prix de Conservatoire. Là où d’autres femmes se seraient montrées réticentes, la mère de Moune a toujours applaudi et encouragé le penchant de sa fille pour la musique. Son père, Jean-Louis Baghio’o était lui aussi amateur de beaux accords. « Il disait toujours : J [...]

  • «Rencontre » par Amina
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    Une carrière musicale et artistique hors du commun. Une vie consacrée à faire aimer dans le monde la chanson créole. Moune de Rivel est décidément une référence. Née il y a quatre-vingt-deux ans dans une famille de musiciens, Moune de Rivel est la fille de Fernande de Rivel, compositrice, pianiste et violoniste. C’est grâce à elle que la jeune fille de 13 ans débute sa carrière dans un restaurant russe de Montparnasse : le « Cabaret des Fleurs ». Deux fois, chaque soir, elle y interprète les chansons créoles de sa mère, au piano. Elle est ensuite engagée à la « Boule Blanche », le cabaret antillais de la rue Vavin. Et commence à être connue à Montparnasse. De 1945 à sa fermeture en 1996. Pendant cette période, elle se rendra également au « Café Society » de New York. Elle séduit les Américains et reste deux ans au lieu de deux mois initialement prévus. La Finlande, la Suisse, l’Allemagne, le reste de l’Europe et l’Afrique n’ont pas été insensibles à sa voix. Moune de Rivel est pas [...]

  • «Atmosphères à la fois jubilatoires et nostalgiques » par Répertoire
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    En Mai dernier, le bal créole a fait irruption à l’Olympia. Biguines langoureuses, violons en pleurs, tempo syncopé, atmosphères à la fois jubilatoires et nostalgiques, le concert de la Martiniquaise Gertrude Seinin a rallumé les souvenirs du Paname d’entre-deux-guerres…le Paris des années trente c’étaient aussi les fastes quelque peu exotiques du Bal colonial de la rue Blomet, du Bal de la Glacière ou de la Boule blanche, quand la rive gauche s’enfiévrait sur les notes étincelantes de la clarinette de Stellio ou les riffs rigoureux du trombone d’Alexandre Saint-Hillaire. Cette époque insulaire en métropole, qui connut un autre moment de gloire avec l’Exposition Universelle de 1937, animée par l’orchestre guadeloupéen de Roger Fanfant, on la retrouve dans les trois coffrets de 2 CD que la maison Frémeaux & Associés a publié en 1993-1994, et dans lesquels on entend, parmi d’autres, les voix fines et perçantes des vocalistes antillaises Nelly Lungla, Maïotte Almaby et Léona Gabriel. [...]

  • « Antilles » par Le Monde de la Musique
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    Tandis que les noirs Américains inventaient le jazz en défilant en défilant dans les rues de la Nouvelle-Orlé&ans, les descendants des esclaves de Martinique et Guadeloupe inventaient la biguine dans les orchestres de carnaval de Saint-Pierre puis Fort de France. Comme le jazz de la Nouvelle-Orléans se fit connaître sur disque à Chicago et New York, c’est à Paris que la biguine fut fixée dans la cire. Attirés par le succès que celle-ci y rencontrait, les meilleurs musiciens antillais affluèrent en effet dans la capitale dès 1924 et multiplièrent les enregistrements à paertir de 1929, à la suite du clarinettiste Alexandre Stello, du violoniste Ernest Léardée, du tromboniste Archange Saint-Hilaire ou de la chanteuse Léona Gabriel. Ce sont ces faces Odéon, Parlophone, Columbia et Pathé qui sont enfin rééditées après des années d’oubli. Deux CD et un passionant livret de vingt-deux-pages pour revivre les grandes heures du Bal colonial de la rue Blomet. Franck BERGEROT - LE MONDE DE LA [...]

  • «Claude Bolling Big Band - A Tone Parallel In Harlem» by Duke Ellington Society
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    Although 12 mouths after Ellington’s centenary the not-quite millenium year of 2000 saw several record releases devoted to his music or commemorating him some way. These three come from France, probably the most Ellingtophile European country and, as far as I can discover, have not received coverage in British jazz publications. Claude Bolling needs no introduction to Blue Light readers for his devotion to Duke. I was in Paris in june 1999 at the Theatre des Champs Elysées for his one-night only representation of A Tone Parallel In Harlem, part of his acclaimed Homage a Duke Ellington concert. Tone Parallel is the opening (and longest, at just over 14 minutes) track of this generous helping of Ellington à la Bolling. Alas it is not taken from the concert but, like most of the tracks, is a studio recording. However it is gratifying to have a version other than Duke’s of this special work and Bolling does it full justice. Most of the remaining 14 selections are predictable Ellin [...]

  • « Biguines d’antan de Paris en deux CD » par France Antilles Hebdo
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    En 1993, deux CD retraçant la vie des orchestres antillais à Paris entre 1935 et  sont sortis. Un heureux évènement. Un monument musical historique…Les CD « Biguines » de Jean Pierre Meunier (chez Frémeaux & Associés SA), sont des chefs d’œuvre du patrimoine harmonique contemporain. De la musique de variété, du jazz tel qu’on le pratiquait à la belle époque à Paris, on ne finit pas de rééditer ces 78 tours en CD, ceux de Jean Sablon, Maurice Chevallier, Sydney Bechet,  Stéphane Grapelli entre autres. Manquait au panorama une présence Outre-Mer, une présidence antillaise. Ces deux ouvrages ont été réalisés par deux auteurs complices (dans leur texte explicatif du CD ils se renvoient l’éloge du travail bien fait). D’autant plus que leur démarche se veut complémentaire. L’ouvrage « Biguines » de Jean-Pierre Meunier (co-auteur d’une sublime biographie de Léardé) s’intéresse à la biguine (assurément) mais aussi à la valse et la mazurka créoles. Jean-Pierre Meunier s’est axé sur la péri [...]

  • « Boîtes à souvenir» par l’Express
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    Paru en deux volumes chez Frémeaux & Associés, les spécialistes de la réédition de luxe, Biguine (FA 007 et FA027/Distribution SRI) documente la rencontre magique entre la musique des îles - Guadeloupe et Martinique, encore une fois - et le cadre fertile de la métropole. Ville d’accueil, donc de métissage Paris s’est toujours vantée de cultiver – et d’afficher – un certain goût de l’exotisme. C’est sans doute ce qui lui a valu de devenir, durant les années 20 et 30, la capitale en exil du tango (grâce à Carlos Gardel, notamment), mais aussi de la biguine, qui fleurissait alors sous les doigts du légendaire clarinettiste Alexandre Stellio, sous l’archet de Roger Fanfan, et dans les voix de Crémas Orphélien ou Léona Gabriel. Le public du Bal Nègre et des autres cabarets créoles de Paris était remarquable pour sa mixité, ce qui contraste avec une Amérique où, à la même époque, on vous tabassait pour moins que ça. Mais à bien y penser, cette fraternité était le corollaire naturel d’un [...]

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