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  • « Une formidable explosion de joie » par l’Affiche
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    Dans l’inconscient collectif, le Front populaire est synonyme d’une formidable explosion de joie. Ce double CD, truffés d’infos et d’illustrations d’époque, présente sans préoccupation historique formelle, et en trente-six titres, une sélection des airs diffusés entre 1934 et 1939 par notre bonne vieille TSF. Interprétées par Maurice Chevalier, Charles Trenet, Jean Gabin, Damia, Fréhel, Joséphine Baker, Lucienne Boyer ou Mistinguett, ces chansons ont accompagné parfois sans le savoir la marche du progrès, l’avènement du temps libre et les premiers congés payés. En ouverture, « La grève de l’Orchestre » par Ray Ventura et ses Collégiens retrace avec humour l’ambiance de ces années euphoriques de lutte. Tous les cinéphiles prendront plaisir à écouter ces airs qui servirent souvent d’illustrations sonores aux films noir et blanc de l’époque. L’histoire ne se répétant jamais, il faudra tout de même envisager de compiler des singles - puisque c’est ainsi que l’on dit aujourd’hui - qui [...]

  • « Un savoureux recueil » par Télérama
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    Un savoureux recueil réunit les Moncorgé, chanteurs et comédiens de père en fils. Ferdinand-Joseph fit les beaux soirs des caf’conç’, avec son épouse, la « diseuse » Hélène Petit : puis il se partagea entre théâtre, opérettes et revues. Des cylindres enroués, gravés entre 1896 et 1906, nous restituent ici ses « monologues réalistes » et « chansonnettes » alertes. Moncorgé fils a hérité de son goût pour la gouaille et des refrains guinchants… Les enregistrements de Jean Gabin constituent la majeure partie de ce coffret. Celui-ci s’ouvre sur ce fameux Ce que je sais, écrit par Jean-Loup Dabadie et publié en 1974, bilan narquois énoncé à voix rauque de fumeur inassouvi. Suivent des chansons enregistrées entre 1930 et 1936. Elles témoignent de la carrière de caf’conç’ du fils Moncorgé, comme cette P’tite Gueule, signée Van Parys : de sa participation à l’opérette Arsène Lupin Banquier, en 1930, qui lui valut d’être remarqué et par le public et par les producteurs de cinéma : de cette [...]

  • « A high quality release » by Blues & Rhythm
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    Born in Pointe-à-Pitre, in the former French colony of Guadeloupe in the eastern Carribean in 1945, Alain started on piano at the age of eight and by the sixties he was regurarly appearing on local records, playing all types of music – but particularly the biguine- and also absorbing the jazz sounds of the likes of Charlie Parker and Dizzie Gillespie. In 1973 he ended up in Paris and after accompanying many visiting American jazz stars, he now has his own successful solo carreer. This set was originally released by Sony in 1992 and has achieved legendary status in some circles. Alain goes back to his Caribbean roots, exploring the jazz inflected biguine sound of the early fifties known as « wabap ». He has an obvious fondness for the compositions of the late trombonist Al Lirvat (five out of the dozen titles include him as sole or co-composer), and there are three associated with Alain’s one-time employer, the sax player Robert Mavounzy ; experienced ears may hear hints of the maz [...]

  • A côtés des classiques [...] quelques curiosités par Le Monde de la Musique
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    Cette série dont le premier volume couvre les années 1919-1930 ne présente qu'une sélection des oeuvres de Maurice Chevalier. Mais il n'est pas certain qu'une véritable intégrale trouverait preneur. La sélection est assurée par Daniel Nevers, à qui l'on doit par ailleurs l'intégrale érudite consacré par Frémeaux & Associés à Charles Trénet. A Côté des classiques Dans la vie faut pas s'en faire et Valentine, on trouvera quelques curiosités qu'il aurait été dommage de laisser perdre tels cette parodie de Mon homme, retitré en 1920 C'est la bonne, le regard goguenard porté en 1921 sur les "négros" du jazz naissant dans les Jazz Bands ou, la même année, les calembours de Tous bolchéviques. On a également droit aux débuts discographiques de "Momo" en 1919 en Angleterre pour His Master's Voice : On the Level, You're a Little Devil, chanté avec un accent propre à décomplexer ceux qui n'osent faire usage de leur anglais. Le deuxième disque de ce double album compte un bon nombre de titres [...]

  • « L’âge d’or du music-hall français » par L’Express
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    Un de ces jours, je promets de vous pondre un beau papier, un vrai topo exhaustif sur la maison Frémeaux et Associés. Même si le terme peut sembler anachronique, Frémeaux est réellement le genre de boîte pour laquelle il convient de parler de « maison », plutôt que de label ou de firme, termes décidément trop corporatifs pour ces mordus de jazz classique, de musiques oubliées (biguine, western swing, musique hawaïenne, on trouve de tout dans leur catalogue) et, surtout, de toutes ces voix qui firent l’âge d’or du music-hall français. Chez Frémeaux, donc, on ne fait jamais les choses à demi. Les compils bâclées, réduisant un artiste ou une époque à quelques repères trop familiers, ne sont pas le genre de la maison. A l’instar de l’étiquette américaine Yazoo ou, plus près de chez nous, de la collection Les refrains d’abord, Frémeaux peut se vanter d’avoir sauvé de l’oubli une quantité inestimable de 78 tours antédiluviens, grâce à un fastidieux travail de recherche, de dépoussiérage [...]

  • « Dans la joie et la bonne humeur » par Le Midi Plus
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    […] Marcel Zanini qui est né à Marseille en 1923 et qui aime le jazz depuis la seconde guerre mondiale, a tout naturellement croisé Henri Salvador. Avec qui il a tourné à la fin des années 50 et au début des années 60. Comme lui, il assume ce double goût  pour une musique proche du parfait et des fantaisies très approximatives. Et toujours sur la brèche, le petit moustachu au chapeau retourne volontiers en studio. Souvent avec l’illusion qu’on peut faire du neuf avec du vieux. Dans sa nouvelle galette, la grande question qui fut un tube ravageur en 69 (année érotique), est toujours posée. Tu veux ou tu veux pas ? n’a sans doute plus la même importance aujourd’hui. Mais après tout, le Carpe Diem est un concept hors mode. D’autres titres immortels comme un Scotch, un bourbon, une bière sont réenregistrés. Et avec toujours une libido à fleur de clarinette (ou de sax ténor), l’artiste invite Nina à la maison (Vous lui et moi) ou pratique l’africanisme un peu douteux avec Kelbokuta. Cô [...]

  • « Marcel Zanini vient d’enregistrer Kelbokuta » par Le Midi Libre
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    [...] A cette occasion, il avait joué en avant première une chanson intitulée « Kelbokuta », en phonétique, qu’il envisageait d’enregistrer sur son prochain disque. C’est fait ! L’artiste, sous son petit chapeau, derrière sa moustache et ses lunettes rondes, l’a « gravé » sur un magnifique CD intitulé tout simplement « Tu veux ou tu veux pas ? », qui recèle de superbe morceaux de jazz, teintés de blues, de bossa-nova, de mélodies nostalgiques avec des textes pleins de poésie ou parfois plus légers : bref, un vrai régal ! L’album débute par le célèbre « Un scotch, un bourbon, une bière » très swinguant, et alterne les nouvelles compositions, avec des standards tels « Tu veux ou tu veux pas ? », joué très jazz, « Naïma », la merveilleuse création de John Coltrane, ou encore « Que reste-t-il de nos amours ? » de Charles Trenet, un pur joyaux qui brille de mille feux dans un écrin de velours. A 84 ans, Marcel Zanini nous offre douze très beaux titres et prouve, s’il en était encore be [...]

  • « Les grands standards sont là » par Jukebox Magazine
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    Il y a quelques semaines, Mireille a encore une fois étonné et ravi tous ceux qui ont eu la chance de pouvoir assister à son spectacle. Energique, électrisée de vie, pinçante et grinçante, charmant pourtant, elle interprète de sa voix inimitable, acide et haut-perchée – elle a terrorisé bien des élèves du Petit Conservatoire ! – tous ses classiques, sans cesser de dialoguer avec le public ! Née Mireille Hartuch en 1906, chanteuse d’opérette, elle enregistre « J’Prends La Vie En Rigolant », son premier disque (pour Colombia), en janvier 1929. Réputée rarissime, cette face est incluse ici. Dès « Tout Petit », face B de «Ah ! L’Est Pourtant Temps De Me Marier » (style folklorique), le deuxième 78 tours, apparaît le signature de Jean Nohain- fils du poète Franck Nohain et frère du comédien Claude Dauphin - dont les textes, associés aux mélodies de Mireille, vont révolutionner la chanson française. Parfaitement informée quant à la musique américaine. Mireille apporte un style neuf. Le [...]

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